Mort subite

chez les Earnshaw ainsi qu'une grande partie de sa vie : M. Earnshaw a deux enfants : Hindley et Catherine. Un jour en rentrant de voyage il décide d'adopter un jeune bohémien de 6 ans, Heathcliff, se qui va déchirer cette famille. En effet, à la mort de M. Earnshaw, Hindley, deviens le maître du domaine et ayant toujours détesté Heathcliff le traite comme un domestique. Mais Catherine et Heathcliff s’aiment tendrement et leurs sentiments enfantins deviennent plus profonds encore à l’adolescence

15/03/2011 T°6 D.M de Philosophie (6) Sujet : « L’expression « se tuer au travail » signifie-t-elle que le travail est la mort de l’homme ? » Il est sans nul doute que chacun d’entre nous a pu assister à une scène où son père ou sa mère, rentrant du travail, s’exprima poussivement : « Je suis mort. Je me suis tué au travail aujourd’hui ». Objectivement, cette remarque est positive. En effet, elle révèle un réel investissement personnel dans son travail

donne » et « La scène du désespoir de Charles après la mort d’Emma » (3ème partie, chapitre 9), « Il s’enferma dans son cabinet, pris une plume… il se jeta dessus et s’endormit », on peut s’interroger sur les caractéristiques que donne Flaubert au personnage de Charles. On constate que dans ces trois extraits, Charles est un personnage qui inspire la pitié. Il est avant tout victime de son destin. Dans la scène de l’entrée au collège, il subit les moqueries de sa classe, cette idée est présente

lac » de Lamartine, le poète s’abat sur la mort de sa femme alors qu’il n’y peut rien, ou alors dans « Pauline » d’Alexandre Dumas, Pauline subit l’amour d’Orace et se marie à lui sans se poser de questions. C’est deux exemples montrent bien le fait que les personnages romantiques s’abattent contre de choses où ils n’y peuvent rien, et préfère donc l’observer que la diriger. De plus l’hommes n’est rien face à l’immensité du monde. Celui-ci devant la mort ou le temps qui passe, est amené à un douloureux

exilé, comme en témoigne le titre de l’œuvre, par rapport à sa famille qu’il voudrait rejoindre. Celui est impossible puisqu’il déclare « Si je pouvais » mais il ne peut pas puisque sa famille est morte. Cette mort est d’ailleurs très présent avec les termes « cercueil », « froid », « ô mort que je pleure ». L’auteur se sent donc en exil par rapport à sa famille. Il se sent en exil aussi par rapport à la nature évoquée par les « amandiers », « l’herbe »,le « lilas » Il veut se rapprocher de cette

une simple chose, un outil, dépourvu biensur de tout droit civique. Les chaîments infligés aux esclaves sont cruels (exemple : le fouet). Lorsqu'il est condamné à mort il subit le supplice de la croix (crux,arbor infelix). Si un ou plusieurs esclaves assassinent leur maître, tous les esclaves présents dans la maison sont mis à mort. b) Les conditions de vie des esclaves la familia rustica : Il y'a une grande différence entre les esclaves travaillant dans une propriété ou dans une exploitation

L'euthanasie en Europe : Les pays légalisant l'euthanasie : Aux Pays-Bas, depuis le 1er avril 2002, l'euthanasie active directe (administration d'un médicament provoquant la mort) est autorisée lorsque le patient en fait la demande en pleine possession de ses moyens et subit des souffrances "insupportables et interminables" dues à une maladie diagnostiquée par un médecin comme incurable. L'avis d'un second médecin est nécessaire. La Belgique suit en septembre 2002, légalisant partiellement

l'embryon L’embryon peut bénéficier d’une protection juridique limitée par les autorisations données à des IVG et par une jurisprudence qui refuse toute protection pénale de l’enfant à naître, l’hypothèse étant celle de la perte d’un enfant à naître subit par la mère du fait d’un accident ou du atteinte à sa personne, en raison d’un traumatisme provoqué par un tiers. En pareil cas, la perte de l’enfant n’est pas retenue par le juge pénal et notamment l’incrimination d’homicide par imprudence n’est pas

Jeanne meurt. L’Europe subit un déclin démographique majeurs, les statistiques vont jusqu’à affirmer une perte de 50 à 90% de la population, cela varie selon les régions. A cette époque les avancées médicales, scientifiques ne permettaient pas de soigner toute la population, ni de stopper l’épidémie, ce pourquoi le nombre de mort s’accumulait et que la maladie se propageait si vite. Un tiers de la population européenne est touchée, soit 25 millions de personnes trouvent la mort en Europe entre 1348

cloche fêlée. L'âme reste fêlée ou déchirée car elle subit des plaies internes et profondes, occasionnées par les ennuis. L'âme s'use et s'affaiblit au fur et à mesure de la progression d'âge. À un moment donné, l'âge ne " chante" plus. Elle pousse un "râle" avant de s'agoniser. ''Sous un tas de mort" donne l'image d'un poids appréciable qui étouffe le poète et qui le plonge vers le bas en dépit de ses efforts. Cette image symbolisant la mort est en opposition avec celle présentant les souvenirs