Mortalité infantile

une chute de 65 millions en 1400. c) Les causes de la faible croissance démographique : -une forte natalité (mais grande mortalité infantile) -La peste noire (1347) et ses conséquences : 1/3 et ½ de la population est décimé. -Famines: mauvaises récoltes Conclusion : Une forte natalité mais aussi une forte mortalité (stabilité) 2) La transition démographique En Europe : accélération de la croissance démographique à partir de la deuxième

économique (libre échange/protectionnisme) Ouverture sur l’extérieur Taux de change Budget destiné à la santé Taux d’inflation Taux de chômage Indicateurs démographiques Population totale % de la population >60 ans Taux de natalité/mortalité infantile Taux de fécondité Environnement politique Régime politique actuel Stabilité politique Normes d’hygiène Statut des hôpitaux (public/privé) CRITÈRES SPÉCIFIQUES Facteurs sociaux et culturels La langue La religion La culture populaire

moins de mortalité infantile, elle exploitée partout dans le monde. La transition démographique Définition : Passage d’un état à un autre. Régime démographique traditionnel : Natalité élevé, mortalité élevée (pour compenser).En conséquence, une croissance naturelle faible (stable). Régime démographique moderne : Natalité basse, mortalité basse. En conséquence une croissance naturelle faible (stable). Phases de transition Phase 1 : la natalité demeure forte (stable), la mortalité chute

courante qui s'avère exacte : on meurt généralement jeune. Si les comportements démographiques de la France de l'Ancien Régime sont variables selon les régions, des tendances générales caractérisent tout le royaume : le mariage tardif, la très forte mortalité notamment des enfants, l'existence de crises démographiques périodiques. Le royaume le plus peuplé d'Europe L'évolution du nombre des habitants Nous ne possédons pas de chiffres fiables du nombre d'habitants en France sous l'Ancien Régime

l’Afrique subsaharienne. Tout d’abord, différents arguments nous permettent de démontrer que l’Afrique subsaharienne cumule les mots d’un mal développement. En effet, nous constatons que sa croissance démographique reste trop forte. Le taux de mortalité est élevé, l’espérance de vie d’un Africain du « Sud » est aujourd’hui de 52 ans ce qui correspond à la plus faible moyenne au monde, loin derrière les pays du Nord qui avoisinent les 70 ans. Cette faible espérance de vie résulte du fait que l’accès

de la mortalité, en revanche, ne s'est jamais démentie : elle concerne aussi bien la mortalité infantile que la mortalité générale. Le résultat final est le vieillissement des populations dans les pays développés. c. L'évolution de la population dans les pays du Tiers Monde L'accroissement naturel est en forte augmentation après 1945 en raison d'une très forte fécondité (4 à 8 enfants par femme), de la baisse très sensible de la mortalité infantile et de la baisse progressive de la mortalité générale

continent. Selon les données globalement concordantes de l’ONU, de l’OMS et de l’Unicef, l’Afrique sub-saharienne comparée à toutes les autres régions du monde occupe le bas du classement dans le domaine de la santé. Détentrice du record de mortalité infantile et infanto-juvénile, l’espérance de vie n’y atteint pas 50 ans contre près de 78 ans pour les pays industrialisés. Evidemment, devant le mauvais état de santé des populations, on est tenté de voir dans la pauvreté le principal facteur explicatif

régime d’accès aux soins universel pendant la seconde moitié du 20ème siècle Le rapport Black, rendu en 1982 au gouvernement britannique, a relancé la recherche sur les inégalités sociales de santé2. Indicateurs de santé : taux de mortalité (générale, infantile, par causes) taux de morbidité (déclarée ou médicale) accès aux soins incapacité comportement à risque pour la santé de stratification sociale : individuels (revenu, éducation, logement, etc.) géographiques : exemple : la défavorisation3

famille paysanne pendant la veillée. | 1856 | Document 2 | La population de la France de 1851 à 1911. | Tableau de l’évolution de la population française entre 1851 et 1911. | | Document 3 | Natalité, mortalité et nuptialité en France au XIXe s. | Graphique du taux de natalité, de mortalité et de nuptialité en ‰ en France de 1800 à 1910. | | Document 4 | La croissance des villes françaises au XIXe s. | Carte de France de 1806 et de 1911 avec en vert ses villes de 50 000 à 100 000 habitants

inhérent à la vie et les États doivent assurer, dans toute la mesure du possible, la survie et le développement des enfants. Pour l'UNCRC la santé est une priorité absolue, pour ça, plusieurs mesures sont pris en place, comme essayer de réduire la mortalité infantile, assurer aux mères des soins pré et postnataux appropriés, développer les soins de santé préventifs, et de veiller à ce que les parents et les enfants aient accès aux informations sur la santé et la nutrition de l’enfant, ainsi que sur la prévention