Mortification

travail, se contentera dès lors ne n’exécuter qu’un très petit nombre de tâche, ce qui ne développera pas l’intelligence du travailleur, ne le faisant plus réfléchir, car soumis à un geste monotone et répétitif. C’est ce que Karl Marx va appeler la mortification de l’ouvrier, la ruine de son esprit. Cela va aboutir à ce que le travailleur se sente étranger à son travail, et qu’il subisse ses journées de travail. Lorsque la division du travail va se manifester avec une parcellisation du travail, l’être

garçons, y compris Conrad, se levèrent pour voir ce qui allait se passer. […] De toutes mes forces, je frappai Bollacher au visage. […] Pompetzki entrait dans la classe. Bollacher se mit sur pied. Me désignant du doigt tandis que des larmes de mortification coulaient sur ses joues, il dit : Schwarz m’a attaqué. Pompetzki me regarda. - Pourquoi avez-vous attaqué Bollacher ? - Parce qu’il m’a insulté, dis-je, tremblant de tension et de rage. - Il vous a insulté ? Que vous a-t-il dit ? demanda Pompetzki

concrètes  La référence symbolique • Caractéristiques structurelles vs variations particulières 1.2) Les caractéristiques des institutions totales • La désadaptation/ La déculturation du reclus (Objectif fonctionnel) • Les techniques de mortifications de la personnalité ou de la représentation de soi: prêt à endosser un nouveau statut (ex. celui de malade mental) et un nouveau rôle (droits et devoirs)  L’isolement  Les cérémonies d’admission  Le dépouillement  La dégradation de l’image

toute morale de perfectionnement, y compris la chrétienne, a été un malentendu ». Nous pouvons prendre comme exemple le christianisme avec le péché originel ou encore l’ascèse, discipline spirituelle qui tend à la perfection de l'esprit par la mortification des sens. Mais pourquoi vouloir toujours exiger le perfectionnement de l’être humain ? Est-ce un soucis vital et primordial pour que l’homme devienne parfait et détaché de tout péché ? Ces doctrines idéalistes dictant une manière de vivre

s’est retiré de la société pour se retrouver seul avec Dieu. Il a fondé la Chartreuse où treize moines vivent dans leur propre cellule. Ils sont très pauvres et porte un cilice, qui leur abîme la peau (document 3), c’est ce que l’on appelle la mortification de la chaire. Pour finir, étudions l’architecture d’une église médiévale. Au Moyen âge, d’immenses églises étaient construites pour montrer l’importance de la religion. L’intégration des images dans ces lieux chrétiens

volume des organes ) -Hypertrophie ( contraire d'atrophies , c'est une augmentation du volume des organes ) -Nécrose ( Les cellules sont le siège d'assimilation et de destruction ) , les microbes peuvent donnés des nécroses ( ex : la gangrène mortification des tissus suivie de putréfaction ) 19 . Luxation & entorse Une luxation est le déplacement permanent et anormal des extrémités osseuses qui forment ensemble une articulation alors que l'entorse est le déplacement incomplet et peu durable

‘image d’un homme d‘église obsède par la morale chrétienne. - Apparence d’un homme d’église : l’apparition de Tartuffe est très théâtrale : s’apercevant de la présence de Dorine il se met a jouer son personnage. D’abord par le recours a la mortification, souffrance que l’on s’inflige pour se prémunir du pécher, c’est le sens de son interpellation :’’ Laurent, serrez ma haire avec ma discipline’’. Ensuite, Tartuffe se présente comme un homme de foi pratiquant les vertus chrétienne : le partage

par des choses futiles, ils préfèrent se couper du monde et vivre de ce qui leur est vraiment nécessaire en opposition avec les Clunisiens -->l.28 " tout cela n'est pas nécessaire mais excite la convoitise des yeux" Le renoncement et la mortification doivent permettre un enrichissement moral à condition de saisir la signification de ce qu'ils représentent.La pauvreté et la chasteté sont des valeurs qui leurs sont chères , la pauvreté n'est pas seulement une situation matérielle mais quelquechose

effectuées. Adaptations primaire et secondaire Deux forces s’opposent dans ces institutions : • D’un côté, elles ont une dimension englobante, une capacité à assigner aux reclus un rôle bien déterminé. Cela passe par diverses techniques de mortification, de dépersonnalisation, d’aliénation (contamination physique, morale, cérémonies d’admission, dépouillement des biens, perte de l’autonomie, embrigadement…) justifiées de diverses manières (raisons d’hygiène, de sécurité…). Ces techniques vont

l'orphelin. Il n'attend rien des hommes, mais leur fait tout le bien dont il est capable». Un tel humanisme se situe à rebours de l'espérance chrétienne: «La vertu consiste à faire du bien à ses semblables et non pas dans de vaines pratiques de mortifications», écrit encore Voltaire. Foin des prières et des cierges dans les églises, il faut des actes. Tout l'effort de connaissance est orienté vers l'utilité commune. Cette conception utilitariste fait du bonheur le bien suprême. Elle tourne le dos à