Moskova

principal qui se prénomme Fabrice est un homme assez naïf qui ne comprend pas ce qu'il se passe à la guerre. Il ne sait pas ce qu'il se passe, il est perdu . Le personnage est aussi tellement admiratif devant ses héros comme Napoléon ou le prince de la Moskova qu'il réussit à oublier sa peur d'être tuer ou de se vexer après avoir était insulter par le maréchal. Il éprouve de la compassion pour les hommes morts à terre même si il ne sait pas qu'ils étaient leurs ennemis avant la guerre. Dans le dernier

La bataille de Waterloo fut en Belgique le 18 juin 1815. L’armée du nord (armée française) fut conduite par Napoléon Ier er le maréchal Ney (« le brave des braves », « le Prince de la Moskova »). Aujourd’hui on peut visiter la butte de Waterloo et voir la statue d’un lion qui regarde vers l’Angleterre. On retrouve dans ce passage très peu de termes techniques, avec un minimum du champ lexical militaire qui montre aux lecteurs les dégâts de la guerre. La description de la bataille est faite avec

"Wind of change" est une chanson d’un groupe de métal, hard-rock : Scorpions. Cette chanson est une chanson d’espoir qui montre l’attachement du groupe envers son pays. En effet, les premières paroles signifient « Je longe la Moskova en direction pour le Gorky ». Le Moskova est le fleuve qui traverse Moscou et le parc Gorky est un parc de la même ville. La chute du mur fut un choc politique entre ses deux patries. Cette chanson symbolise la chute du Mur de Berlin ainsi que celle du bloc soviétique

suivent les troupes russes, mais elle perd ses forces car la stratégie de napoléon n’est pas adaptée à un terrain sans route, immense et plus froid que d’habitude. C’est le 7 septembre 1812 que les russes décident d’attaquer, c’est la “bataille de Moskova“ un carnage qui sert à rien. L’armée russe se retire vers moskou, et quand les soldats français y arrivent et ont une chance pour se reposer, ils retrouvent la ville en feux. Le coupable est probablement le gouverneur de la ville Rostpochine. Mais

extrait donne le point de vue d'un personnage qui n'est pas un héros dans la bataille de Waterloo. A. L'extrait relate un événement historique, la bataille de Waterloo. Chefs militaires nommés : noms propres : "Maréchal Ney" l.20 et périphrase "Moskova" l.22 Ennemies identifiés : couleurs : "habits rouges" l.4 On peut se situer : CCT "à ce moment" l.32 et CCL "à cinq pieds" l.36  Réalisme et contexte guerrier : termes techniques "l'escorte" l.2 et champs lexical de la guerre "les canons"

monarchies européennes contre la France depuis 1792. Il conduit les hommes de la Grande Armée, du Nil et de l'Andalousie jusqu'à Moscou. Obtenant de nombreuses victoires (Arcole, Rivoli, Pyramides, Marengo, Austerlitz, Iéna, Friedland, Wagram, La Moskova) face aux diverses coalitions montées et financées par le Royaume de Grande-Bretagne (devenue le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande en 1801). L'historien britannique Eric Hobsbawm, note qu'aucune armée n'était allée aussi loin depuis les

the most famous of the city • The museum of Beaux-Arts Pouchkine is the largest museum of European art. It's situate in front of the Saint Sauveur Cathédral • The Convent of Novodievitchi is the most famous monastery of Russia • The Moskova is the river which across Moscow • The Armory of Moscow is a building which was built to celebrate the victory of the Russian army against the Napoleon's army • The Moskva City is the future business district of the city. I chose this city

l’ex pouvoir soviétique. Cet ensemble prestigieux est le plus célèbre des Kremlins, il a une forme semi triangulaire, et rassemble à l’intérieur de son enceinte des palais et des cathédrales. De sa grandeur, elle domine la Place Rouge, ainsi que la Moskova (rivière d’où la ville de Moscou tient son nom). II) Histoire du Kremlin de Moscou La première forteresse placée au même endroit que le Kremlin, et donc considéré comme le Kremlin fut bâtit en 1331, par le prince Ivan Kalita, elle était d’un talus

des armées et ignore les stratégies des généraux que Fabrice n'entend pas. 3. La désacralisation des idoles * le maréchal Ney le portrait est construit en décalage : « le plus gros de ces généraux » + « il jurait » ≠ « ce fameux prince de la Moskova, le brave des braves » > le portrait objectif (càd avant de savoir de qui il s'agit) est trivial avec défaut physique mis en avant (et qui sous-entend en plus que tous les généraux sont gros, ce qui sous-entend aussi que ce ne sont plus des guerriers)

t’écris. Je garde en moi ce doux parfum qui me rempli de bonheur à chaque aspiration. Je dois cependant te raconter avec quelle bravoure j’ai combattu il y a 3 nuits durant cette fameuse bataille de Waterloo. Même le maréchal Ney, le prince de la Moskova, le brave des braves, m’a personnellement félicité pour mon héroïsme ! C’était un matin brumeux et silencieux, on ne pouvait même plus distinguer les cadavres qui sentait la mort et qui remplissait à présent tous le champ de bataille. Pour en revenir