Motif de répétition

végétal, le cadre de l’existence, un cadre distant et difficile à appréhender. Les artistes portent leur attention sur le règne végétal, ils le regardent comme objet de l’art quelque soit sa forme d’expression. L’artiste peut utiliser le végétal comme motif bien sûr, comme support ou comme matériaux, voire comme outil. Au tournant du XXème siècle, l’art nouveau, en réaction à une industrialisation appauvrissant l’esthétique comme le processus de création, entreprend d’intégrer l’art à la vie, en soumettant

rebelles » (v. 20). Il s’agit donc d’un portrait partiel, voire d’un blason. Le poète fait ici l’éloge de la femme à travers sa chevelure, qui lui donne accès à un monde idéal. Cette idéalisation est marquée par la plénitude qu’on retrouve dans la répétition de « tout » et « toutes » (v. 1, 4, 6, 11) et l’adjectif « plein » (v. 6), mais aussi à travers le superlatif (« plus bleu et plus profond », v. 8), les hyperboles (« grandes », v. 7 ; « fourmillant », « immense », « l’éternelle chaleur »,v. 10-12

instrument qui rentre n’est autre que la batterie, rappelant les rythmes militaires (d’autant plus que le batteur du groupe a fait partie de fanfares). La guitare joue un riff, élément propre au rock (ri ff : répétition d’un motif mélodique ou parfois rythmique dans le rock). Ce motif sans c esse répété durant toute la chanson va pourtant disparaître à certains moments clés, notam ment sur le refrain. Cet effet de rupture mettra alors en valeur le texte, qui justement s’ad resse à l’auditeur

(1909-1910) sont caractéristiques du style bergien : chromatisme expressionniste, lyrisme de type « bel canto ». Le Quatuor op.3 (1910) est basé sur la notion de « prolifération motivique », c’est-à dire sur la variation d’un motif donnant peu à peu naissance à d’autres motifs. Les 5 pièces pour clarinette et piano op.5 (1913) représentent le seul essai de Berg dans le domaine de la « petite forme ». Cette œuvre est typique de son expressionnisme basé sur l’inaudible (ppp) qui évolue vers le sfff

brisé », « vin », « vigne », « verre »…) ; il tremble sous l’effet de l’ivresse (« vin trembleur »). De plus, il fait froid dans les cabarets (sens propre), et il se réchauffe près du feu. Il relate un moment d’ivresse où va surgir le surnaturel. La répétition des sons « l » et « r », qui sont des sons liquides, font penser au passage du Rhin. La rupture du poème : Il est scandé. La structure est classique, en alexandrins, mais il y a un effet de surprise au dernier vers : il est seul, c’est une

objet une fin. Prétérition : procédé de style qui consiste à dire quʼon ne fera quelque chose en le faisant par ce biais. Pathos : faire un pathétique lourd, exagéré. Paul JENNEPIN, 2e2 Mise en abyme : procédé qui consiste à reproduire le même motif plusieurs fois. Aposiopèse : interruption brutale de la parole. Rythme binaire : diviser deux mots au lieu dʼun. Rythme ternaire : diviser trois mots au lieu dʼun. Redondance : redire 2 fois la même idée. Antiphrase : dire le contraire de ce que lʼon

Au bord de la mer Auguste RENOIR, 1883 Metropolitan Museum of Art, NY 2. L'impressionnisme : une technique révolutionnaire 2.1. Thèmes et motifs AU BORD DE L'EAU Édouard Manet, Argenteuil Travaillant volontiers par petits groupes de deux ou trois, les impressionnistes ont une prédilection pour les sites au bord de l'eau, les vues tranquilles de villages et les petites villes de la région

la lettre de Ramatoulaye adressée à son amie Aissatou. Cependant la lettre ne se manifeste pas uniquement par l’émotion, car les émotions se manifestent dans l’emploi des figures de mise en valeur : l’interrogation, la question rhétorique, la répétition etc...) 1-Comparaison : Définition : Une comparaison est construite selon un modèle très simple : on rapproche deux choses qui ont un point commun, c’est-à-dire une ressemblance. Ce rapprochement s’effectue à l’aide d’un mot de comparaison.

Problématique : Axe 1 : Malaise du Personnage Axe 2 : Geste Tragique I) Un malaise du personnage Tout d’abord le personnage est touché par un malaise physique avec par exemple une chaleur insupportable qu’il « ne pouvait pas supporter » (21), la répétition de « brûlure » amplifie le malaise du personnage. Ensuite, on peut remarquer la douleur est centrée au visage car il écrit que « mon front surtout me faisait mal », l’adverbe d’intensité « surtout » accentue sur le malaise, un malaise qui s’inscrit

n° 428/1990, du 29 décembre 1990, portant sur le mécanisme de la répétition de l’indu pour les entreprise ayant acquitté des taxes contraires aux normes communautaires, sous réserve que le montant en cause n’avait pas été répercuté sur une autre personne, a manqué aux obligations qui lui incombent en vertu du traité CE. Selon elle, cette pratique est contraire aux principes juridiques développés par la Cour en matière de répétition de l’indu. Il ressort de cet arrêt la problématique de l’engagement