Moucharabieh

une renommée internationale. Ses principales réalisations sont, par ordre chronologique : • 1987 : Nemausus un ensemble de logements sociaux construits pour la ville de Nïmes • 1987 : l'Institut du monde arabe à Paris dont la façade à moucharabiehs l’a fait connaître du grand public • 1993 : la rénovation de l'Opéra de Lyon (photo ci-dessus) • 1994 : la Fondation Cartier • 1999 : le Palais de la culture et des congrès de Lucerne • 2000 : le tribunal de Nantes • 2002 : la Dentsu

l'illusion de réalisme : la seule réalité qui compte alors, c'est celle de la peinture-même. -Le goût des motifs et des arabesques : cédant à la mode de l'orientalisme toujours en vogue à cette époque, Matisse voyage au Maroc, à Tanger. Mosaïques, moucharabiehs, nids d'abeilles et céramiques aux décors enchevêtres, tapissant, influencent et confirment un style basé sur la simplicité des contrastes de lignes et de couleurs, ainsi que sur la répétition des formes. -Le noir chez Matisse : il met en valeur

patio rappelle l'intériorité des maisons méditerranéennes. La façade nord est tournée vers le Paris historique, et organisée en relation avec la ville ancienne. La façade sud reprend les thèmes historiques de la géographie arabe, avec ses 240 moucharabiehs en étoiles ( dispositif de ventilation naturelle forcée fréquemment utilisé dans l'architecture traditionnelle des pays arabes ), qui varient en fonction de la lumière, et sont censés s'ouvrir et se fermer à chaque changement d'heure. Les collections

micro-cité semblant flotter sur l’eau * Relevez les éléments montrant que l’architecte s’est inspiré du monde arabe : - Coupole blanche symbole de la civilisation arabe Coupole perforée (résille) « pluie de lumière » à l’intérieur comme les moucharabiehs = grillages posés aux fenêtres permettant de voir sans être vu, utilisés dans l’architecture traditionnelle arabe. - Sorte de médina (quartier commerçant des villes arabe) en continuité avec la ville ou ressemblance avec un souk = alternance

Andalous, situé de l'autre côté de la kasba et au pied de la colline sur laquelle se dresse l'ancien fort d'Espagne. On parvient au quartier des Andalous en longeant la rue de l'Abattoir, où l'on peut découvrir de belles portes cloutées et des moucharabiehs. Malheureusement la Médina de Bizerte, offre aujourd'hui le spectacle d'une cacophonie architecturale. En effet, les constructions modernes commencent à remplacer les anciennes demeures, faisant perdre à la Médina un cachet authentique longtemps

le contraste entre une terre aride et la mer) la coupole blanche est symbole de la civilisation arabe, de plus cette coupole perforée est composée de grilles métal superposées ce qui crée «une pluie de lumière» qui fait appel à la tradition des moucharabiehs arabes. Le musée est ouvert sur la mer. A l’extérieur l’eau agit comme un miroir et crée, à l’aide du vent un micro-climat agréable .Ce musée va être construit dans le but d’offrir aux visiteurs des grands repères pour comprendre l’histoire des

touristes étrangers que de marocains pur jus. Les 20 000 m2 de la salle de prière peuvent recevoir jusqu’à 25 000 personnes ; les hommes y occupent l’espace au sol et les femmes suivent le prêche depuis d’ingénieuses mezzanines, cachées derrière des moucharabiehs (mezzanines qu’on ne peut malheureusement pas visiter). Vous pourrez par contre parcourir les immenses allées de la salle de prière, vos chaussures enfermées dans un petit sac plastique et les pieds nus caressant le froid marbre multicolore. Sensations

signe le Centre médico-chirurgical du Val-Notre-Dame à Bezons (1976) et le Collège Anne-Franck à Antony (1978). Il est choisi en 1981 pour la réalisation du premier des grands travaux mitterrandien, l'Institut du monde arabe, dont la façade à moucharabiehs le fait connaître au grand public. Il réalise ensuite l'immeuble de logements sociaux Nemausus de Nîmes, l'Opéra de Lyon qu'il coiffe d'une grande verrière en 1993, et la Fondation Cartier tout en verre en 1994.  Le Palais de la culture et des

simple, et qu’il ne cessera de toujours mieux simplifier jusqu’à la condenser en une image. Grâce aux processus d’analogie, de la métaphore ou de la métonymie il va difracter cette image mais sans jamais la compliquer : l’exemple en est du mur de moucharabieh mécaniques de l’Institut du Monde Arabe, des bâtiments du port de La Corogne (qui ressemblent à des containers), du musée Guggenheim de Tokyo (dont la masse, couverte de cerisiers qui fleurissent et changent au gré des saisons, veut flatter le

signe le centre médico-chirurgical du Val-Notre-Dame à Bezons (1976) et le collège Anne-Franck à Antony (1978)2. Il est choisi en 1981 pour la réalisation du premier des grands travaux mitterrandien, l'Institut du monde arabe, dont la façade à moucharabiehs, terminée en 1987, le fait connaître au grand public, la même année. Il réalise ensuite l'immeuble de logements sociaux Nemausus 1 de Nîmes, l'Opéra de Lyon qu'il coiffe d'une grande verrière en 1993, et la Fondation Cartier tout en verre en 1994