Mouchoir

compte à voix haute même si quelque un(e) ne savent pas bien compter (1er maternelle), le renard qui passe! (Les enfants s'assoient en cercle et l'un d'entre-eux tourne autour d'eux en tenant un mouchoir... Tous chantent: "Ne regardez pas le renard qui passe,…" A un certain moment, il lâche le mouchoir derrière un des enfants. Celui-ci doit alors se lever rapidement et le rattraper au plus vite! Et le cache-cache ! (un des enfants compte pendant que les autres vont se cacher, et celui qui compte

Plein couillon (11) ! Le père nègre hésitait à s'en aller avec ce mouchoir. Le gratteur fit alors mieux encore. Il connaissait décidément tous les trucs (12) du commerce conquérant. Agitant devant les yeux d'un des tous petits Noirs enfants, le grand morceau vert d'étamine : « Tu le trouves pas beau, toi, dis morpion (13) ? T'en as souvent vu comme ça, dis ma mignonne, dis ma petite charogne, dis mon petit boudin, des mouchoirs ? » Et il le lui noua autour du cou, d'autorité, question de l'habiller

l’ennemi. Elle résistera. Ce récit poignant décrit avec une grande justesse l’histoire d’une époque à ne pas oublier Critique : Ce livre qui se passe pendant la seconde guerre mondiale est extrêmement triste mais magnifique. Un conseil, sortez vos mouchoirs. J'ai cru, à certains moments que j'allais pleurer mais malgré ça, j'ai adoré. Je ne sais pour quelle raison mais j'adore les livres tragiques qui parle souvent de sujets très dur comme la seconde guerre mondiale. Justement, c'est un moment de l'histoire

oeuvre, renvoie une image réaliste de la scène. Ainsi, pour que ce tableau devienne un véritable miroir de la réalité, Courbet à représenté cet ensevelissement en apportant une importance majeure à certains détails. On peut ainsi observer que les mouchoirs utilisés par certains personnages sont peints avec finesse et ont fait l’objet d’une attention particulière. On retrouve également la mort dans cet enterrement avec l’allégorie que représente le crâne présent au bord de la fosse. La présence d’un

grand mouchoir très vert qu'il avait été cueillir finement dans une cachette du comptoir. Le père nègre hésitait à s'en aller avec ce mouchoir. Le gratteur fit alors mieux encore. Il connaissait décidément tous les trucs (12) du commerce conquérant. Agitant devant les yeux d'un des tous petits Noirs enfants, le grand morceau vert d'étamine : « Tu le trouves pas beau, toi, dis morpion (13) ? T'en as souvent vu comme ça, dis ma mignonne, dis ma petite charogne, dis mon petit boudin, des mouchoirs ? »

vain. Le cerceau tombe qui a tant roulé. Abrah ! Abrah ! Abrah ! Le pied a failli ! Le bras a cassé ! Le sang a coulé ! Fouille, fouille, fouille, Dans la marmite de son ventre est un grand secret Mégères alentour qui pleurez dans vos mouchoirs ; On s'étonne, on s'étonne, on s'étonne Et on vous regarde On cherche aussi, nous autres, le Grand Secret. Henri MICHAUX ; Qui je fus, Gallimard, 1927 1) Biographie : Michaux a lui-même rédigé une brève autobiographie. Dans un style très

armée était prête, 1350 - Fait dire à l'empereur que je lui tiendrais tête... Don Salluste, interrompant Ruy Blas et lui montrant son mouchoir qu'il a laissé tomber en entrant. Pardon ! Ramassez-moi mon mouchoir. Ruy Blas, comme à la torture, hésite encore, puis se baisse, ramasse le mouchoir, et le présente à don Salluste. Don Salluste, mettant le mouchoir dans sa poche. – Vous disiez ? ... Ruy Blas, avec effort. Le salut de l'Espagne ! – oui, l'Espagne à nos pieds, Et l'intérêt public

 fenetre ouverte et ensuite elle etait fermer.trouver un  papier dans cheminer.     Chapitre 7   veilleuse neclair pas gros.lassassin mesure environ 1metre 80. R examine tt la chambre. R  pense quil etait cacher en dessou du lit. ya la bete du bon dieu sa ressemble a un monstre.  yavait un mouchoir et un berait qui etait dans chambre (indice) fred larson pense qui c la  solution du probleme. R a trouver un cheveux blond sous le lit.     Chapitre 8  mme S se reveille. on linterroge. la porte nétait pas fermer a clee. partie 1h faire une 

Construction des deux portraits de manière parallèle : les deux propositions conclusives viennent trancher par leur brièveté avec la syntaxe précédente. Elles invitent à un jeu d’écho entre les détails (forme du corps, façon de parler, taille du mouchoir) au point que le lecteur pourrait anticiper le portrait de Phédon. L’ensemble repose sur un système simple et apparent d’opposition, l’un étant l’ envers de l’autre : voc du plein contre le voc du vide/ groupes binaires pour Giton et groupes ternaires

de souffrance. Le portrait que Zola fait de la femme est tel qu'il inspire la pitié : elle est « pieds nus », n'a pas songé « à remettre ses savates tombées » et exprime son malheur avec le mouchoir. Celui-ci est repris plusieurs fois : ainsi elle « tamponna un mouchoir sur sa bouche », et mit son « mouchoir sur ses lèvres ». Par ailleurs, son désarroi et son désespoir provoquent un déséquilibre qui s'avèrera être mortel. Ici, elle est pour ainsi dire tiraillée par la peur. Elle est sans réponse