Mouchoir

portrait partiel de Jeanne Duval. En effet, il ne la décrit que par sa chevelure. Même si aucun autre aspect physique n'est évoqué, on peut dégager plusieurs caractéristiques grâce à elle. D'abord, elle dégage un parfum enivrant. Il la compare à un « mouchoir odorant » qui développe cette odeur. Dans la suite du poème, on comprend que ce parfum sucré ou fleuri. « L'atmosphère est parfumée par les fruits, par les feuilles ». Mais cette chevelure dégage aussi des des parfums exotiques combinant le « tabac

faite par ses lecture romantiques. La mention « du mouchoir brodé d'un large chiffre » revêt une symbolique importante. Le mouchoir au XIXème est un objet culturel qui indique la classe à laquelle on appartient. C'est une marque ostentatoire de richesse selon la marque de sa broderie, utilisé en mode superfétatoire. Dans ce contexte le mouchoir symbolise donc la noblesse mais également la sensualité et l’érotisme. En effet, tenu en main, le mouchoir entre à cette époque dans le jeu de la séduction

SOINS DU NEZ SOINS DU NEZ OBJECTIFS Dégager les voie aérien supérieur Indication Impossibilité pour le patient de se moucher, coma, paralysies, personne âgées etc. MATERIEL • 1 plateau • 1 haricot • Compresses stériles • Sérum philosophique • Mouchoir en papiers • Protection (carre d'alèse) • Savon liquide et essuie-mains à usage unique TECHNIQUE (ce soin doit être pendant la toilette et hors de la toilette) *Prévenir le patient *Allumer la présence *Installer la protection *Faire moucher

adoptif de Clov. Ce dernier qui semble dormir montre que les apparences sont finalement trompeuses. Son premier geste est d’ « ôter le mouchoir de son visage », linge tâché de sang. Cette symbolique macabre pourrait apparenter le sommeil à la mort : en effet la couleur blanche du mouchoir peut référer à la pâleur d’un cadavre, de même que le fait que le mouchoir recouvre le visage de Hamm peut s’apparenter au linceul qui recouvre les morts. Quant au sang, il corrobore cette association puisqu’il

lentement vers la fenêtre, la ferme, et revient vers DS qui, assis dans le fauteuil, le suit d’un air indifférent » DS « interrompant RB et lui montrant le mouchoir qu’il a laissé tomber en entrant » RB « hésite encore, puis se baisse, ramasse le mouchoir et le présente à DS » DS « mettant le mouchoir dans sa poche » Toute ces didascalies montre bien l’attention que porte DS à rabaisser RB ; en effet ce sont belle et bien des actions de valet effectué

| |02 |Mouchoir | | | | |23 |Il pleure. Il ouvre un paquet de mouchoirs en papier, | |17

la fin, ce n’est qu’une succession d’actionsrépétitives et sans intérêt qui sert d’intrigue. Rien ne fait avancer les choses, tout reste tel quel du début à la fin de l’œuvre : (au début p. 13) « un grand mouchoir taché de sang étalé sur sonvisage » ; (à la fin p. 110) « il approche le mouchoir de son visage ». (Au début p.14) « Hamm_ : à moi. (Un temps.) De jouer. » ; (à la fin p.108) « Hamm_ : à moi. (Un temps.) De jouer. » La situationfinal est la même que la situation initiale, comme si il ne

ZAZIE DANS LE METRO CHAP 1 RESUME : Gabriel attend zazie dans le métro sur le quai , pendant ce temps , une odeur exécrable lui envahit les narines , il sort donc un mouchoir en tissu de sa poche qui lui-même est imprégné de l’odeur d »un parfum ‘célèbre’ «  fior » . ce mouchoir est cause de dispute entre Gabriel , et un couple , en effet , la dame lui demande ce qui pue autant et il lui répond que c’est son parfum , la dame insiste en lui disant que ce parfum ne sent pas bon , lu réplique en

aumônes que j'ai, partager les deniers. | DORINE | | Que d'affectation, et de forfanterie! | TARTUFFE | | Que voulez-vous? | DORINE | | Vous dire... | TARTUFFE. Il tire un mouchoir de sa poche. | | Ah! mon Dieu, je vous prie, | | Avant que de parler, prenez-moi ce mouchoir. | DORINE | | Comment? | TARTUFFE | 860 | Couvrez ce sein, que je ne saurais voir. | | Par de pareils objets les âmes sont blessées, Et cela fait venir de coupables pensées. |

Elle le fixa avec une telle intensité que le pauvre être se figea si fort que l'on eut dit que tous ses minuscules membres allaient éclater sous la pression, sans doute venait-il de se rendre compte de ce qui l'attendait. Soudain, elle retira son mouchoir de col et exposa aux yeux du Destin ses atouts. Il rougit, à la fois gêné et timide. Cherchant un prétexte pour se rapprocher de lui, elle lui demanda de lui gratter le dos afin d'y retirer quelques petites bêtes qui la gênaient, déjà gêné par la