Mouchoir

duvet/ appareil a aspiration/ vibrant / brosses rotatives Spatules Pinceaux Brosse manuelle Pince à épiler/ goupillon Ciseaux, éponges, bâtonnets de buis, coupelles, tire comédons Antiseptique Désinfectant Savon bactéricide Cotons, mouchoir jetables, gaze Démaquillant, lotion yeux, lotion, gommages, masques, crème et huile de modelage, crème de soin Serviettes Bandeau Paréo Peignoir Charlottes Blouses Housse pour lit Tapis de sol Cabine épilation Espace clos 6

qui m’avait fait cadeau d’un beau cabochon de verre, avait du chagrin* ; mais la raison* profonde peut-être, c’était celle que je donnais à ma mère lorsqu’elle s’arrêta, épuisée. Toutes les femmes s’arrêtèrent, s’essuyèrent le visage, qui avec un mouchoir*, qui avec le bas de sa chemise. Je continuais* à pousser des cris* prolongés. Elles essayèrent* de me consoler*. Ma mère me dit : -Arrête ! Sidi Mohammed, on retrouvera Zineb, arrête ! Tu vas te faire mal aux yeux avec toutes ses larmes. Hoquetant

l’ancienne Chine car les pluparts des décisions importantes sont prises par les hommes. L’aspect Moral Kwei-Lan comme une vraie Chinoise avant son mariage était d’accord avec toutes les décisions de ses parents. « C’est curieux, lui-même prend son mouchoir, et le remet ensuite dans sa poche! Une dégoûtante habitude occidentale! » (p.39). Elle croyait que se bien de se maquiller chaque jour pour plaire a son mari. Elle croyait que d’avoir des petits pieds, c’est beau, car c’était la mode de l’ancienne

par l’homme qui a tué ses frères, deux cœurs sanglants, ou seront gravés ces noms : Edouard et York. Peut-être alors elle pleurera. Présente-lui aussi comme autrefois Marguerite. Présenta à ton père, trempé dans le sang de Rutland un mouchoir, dis lui que ce mouchoir a étanché la sève pourpre du corps de son tendre frère. Et prie-la d’essuyer les larmes de ses yeux avec. Si cette incitation ne la pousse pas à t’aimer, envoie-lui par écrits le récit de tes nobles actions : dis-lui que tu as expédié

La chevelure O Toison, moutonnant jusque sur l'encolure! O boucles! O parfum chargé; de nonchaloir! Extase!Pour peupler ce soir l'alcôve obscure, Des souvenirs dormant dans cette chevelure, Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir! La langoureuse Asie et la brûlante Afrique, Tout un monde lointain, absent, presque défunt, Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique! Comme d'autres esprits voguent sur la musique, Le mien, ô mon amour, nage sur ton parfum. J'irai là-bas où l'arbre

qui m’avait fait cadeau d’un beau cabochon de verre, avait du chagrin* ; mais la raison* profonde peut-être, c’était celle que je donnais à ma mère lorsqu’elle s’arrêta, épuisée. Toutes les femmes s’arrêtèrent, s’essuyèrent le visage, qui avec un mouchoir*, qui avec le bas de sa chemise. Je continuais* à pousser des cris* prolongés. Elles essayèrent* de me consoler*. Ma mère me dit : -Arrête ! Sidi Mohammed, on retrouvera Zineb, arrête ! Tu vas te faire mal aux yeux avec toutes ses larmes. Hoquetant

le cœur ; l’avocat général, qui aspirait aux faveurs de l’aristocratie, bondissait sur son siège ; mais malgré le tour un peu abstrait que Julien avait donné à la discussion, toutes les femmes fondaient en larmes. Mme Derville elle-même avait son mouchoir sur ses yeux. Avant de finir, Julien revint à la préméditation, à son repentir, au respect, à l’adoration filiale et sans bornes que, dans les temps plus heureux, il avait pour Mme de Rênal… Mme Derville jeta un cri et s’évanouit.

source ; les agiter avec ma main comme un mouchoir » > oxymore : « dans la nuit […] je vois resplendir. » Il s'agit dont bien d'un texte poétique. Une tension dans l'écriture De nombreux critiques au 19e siècle ont reprochés à Baudelaire la chute du poème : 5 strophes centrales qui sont sans contextes lyriques mais avec une image bien prosaïque, pour ne pas dire volontairement maladroite de l'homme qu'on voit « agiter » les cheveux « comme un mouchoir odorant », pour « secouer des souvenirs

qu’on peut lire dans les livres, que le bacille de la peste ne meurt ni ne disparait jamais, qu’il peut rester pendant des dizaines d’années endormi dans les meubles et le linge, qu’il attend patiemment dans les chambres, les caves, les malles, les mouchoirs et les paperasses et que peut-être, le jour viendrait où, pour le malheur et l’enseignement des hommes, la peste réveillerait ses rats et les enverrait mourir dans une cité heureuse. La Peste, Camus, excipit. Problématique choisie : Dans quelle

le vide papier que la blancheur défend Et ni la jeune femme allaitant son enfant. Je partirai ! Steamer balançant ta mâture, Lève l’ancre pour une exotique nature ! Un Ennui, désolé par les cruels espoirs, Croit encore à l’adieu suprême des mouchoirs ! Et, peut-être, les mâts, invitant les orages, Sont-ils de ceux qu’un vent penche sur les naufrages Perdus, sans mâts, sans mâts, ni fertiles îlots … Mais, ô mon coeur, entends le chant des matelots ! Stéphane Mallarmé L’appel du large