Mouron

spectres évoquant le passé. Puis dans L'aïeul de Maupassant sont évoqués les remords concernant le vécu du personnage, ses jours heureux, ses amours et … son décès. Voltaire évoque sa vie plus globalement : ''nous naissons, nous vivons, […] nous mourons'' et insère beaucoup la métaphore de la nature pour refléter ses sentiments dans A Mme Lullin. Dans A la Marquise Pierre Corneille met en scène un personnage qui s'adresse à une femme plus jeune que lui et la met en garde contre les effets du temps

rayonnantes. Des inconnus, soudain éblouissant les yeux, Se dressaient, et faisaient aux trompettes sonnantes Dire leurs noms mystérieux. Ils faisaient de leurs jours de sublimes offrandes ; Ils criaient : Liberté ! guerre aux tyrans ! mourons ! Guerre ! - et la gloire ouvrait ses ailes toutes grand Au-dessus de ces jeunes fronts ! II Aujourd'hui c'est la ville où toute honte échoue. Là, quiconque est abject, horrible et malfaisant, Quiconque un jour plongea son honneur dans

stances marquent l’instabilité du héros par leur irrégularité. Ensuite on peut voir que Rodrigue est un Héros qui souffre, avec les différents champs lexicaux comme celui de la mort « mortelle », « coup qui me tue », « trépas », « mourir », « mourons » ou encore le champ lexical de la maladie « mal », « guérir ». Rodrigue pousse un cri de désespoir, cela renforce l’expression des sentiments qu’il veut nous faire partager, une plainte sur sa souffrance et ses tourments Enfin l’état instable

tranquille paix, Ont su se faire un front qui ne rougit jamais. Je connais mes fureurs, je les rappelle toutes. Il me semble déjà que ces murs, que ces voûtes Vont prendre la parole, et prêts à m'accuser, Attendent mon époux pour le désabuser. Mourons. De tant d'horreurs qu'un trépas me délivre. Est−ce un malheur si grand que de cesser de vivre ? La mort aux malheureux ne cause point d'effroi ; Je ne crains que le nom que je laisse après moi. Pour mes tristes enfants quel affreux héritage

moment où se situe le retournement de situation, dans la dernière strophe : « Je dois tout à mon père avant qu’à ma maîtresse ». Après un moment d’hésitation, qui crée du suspense, il semble préférer l’amour à l’honneur « (…) Puisqu’il faut mourir, Mourons au moins sans offenser Chimène ». Pourtant, soudain, il décide finalement de sauver son honneur « Je rendrai mon sang pur comme je l’ai reçu. ». Donc on comprend que le dilemme apporte le malheur. Les deux options offertes au personnage dans le dilemme

grand amour ; Et les multitudes noires Ont pour grelot le tambour. La gloire, sous ses chimères Et sous ses chars triomphants, Met toutes les pauvres mères Et tous les petits enfants. Notre bonheur est farouche ; C'est de dire : Allons ! mourons ! Et c'est d'avoir à la bouche La salive des clairons. L'acier luit, les bivouacs fument ; Pâles, nous nous déchaînons ; Les sombres âmes s'allument Aux lumières des canons. Et cela pour des altesses Qui, vous à peine enterrés, Se feront

exposé aux mêmes maladies, soigné de la même façon, dans la chaleur et le froid du même hiver et du même été que les Chrétiens ? Si vous nous piquez, ne saignons-nous pas ? Si vous nous chatouillez, ne rions-nous pas ? Si vous nous empoisonnez, ne mourons-nous pas ? Et si vous nous bafouez, ne nous vengerons-nous pas ? » Musique : Lors de la scène hippie, on peut entendre Lovin' You de Minnie Riperton ; on entend aussi un titre de Syd Dale (en) : The Groupie. La musique et le Vertigo shot lors

héros de tragédie qu’il adresse ses reproches à Manon infidèle pour des considérations bassement matérielles. Il se plaît aussi à montrer l’évolution de Manon qui devient une héroïne prête au sacrifice par amour avant d’embarquer pour l’Amérique: «Mourons, me répéta-t-elle; ou du moins, donne-moi la mort, et va chercher un autre sort dans les bras d’une amante plus heureuse». Cette perspective tragique lui permet de se présenter comme une victime persécutée par le destin. Ainsi, quand il regarde sa

Après trois ans, un couple doit se quitter, se suicider, ou faire des enfants, ce qui sont trois façons d’entériner sa fin. La beauté finit en laideur, le destin de la jeunesse est d’être flétrie, la vie n’est qu’un lent pourrissement, nous mourons chaque jour Elles attendent le Prince Charmant, ce concept publicitaire débile qui fabrique des déçues, des futures vieilles filles, des aigries en quête d’absolu, alors que seul un homme imparfait peut les rendre heureuses Un moustique dure

faire appel à la voix de la raison. La vengeance s’annonce alors comme la seule issue possible. Diverses tournures de phrases sont utilisées pour montrer la volonté de Rodrigue. Elles sont très importantes : L’utilisation de l’impératif : «mourons » qui semblent montrer de la résignation et l’utilisation de l’infinitif : « mourir » : qui exprime la surprise et la colère. Il y a aussi l’emploi du champ lexical de la maladie avec les termes suivants : « atteinte » vers 48 et « abattue » vers