Mousseline

flotter les pans flétris de sa redingote (proposition subordonnée participiale) - qui cachait mal une culotte presque vide, (proposition subordonnée relative) - et des jambes en bas bleus montrant son gilet blanc sal et son jabot de grosse mousseline recroquevillée (proposition subordonnée participiale) - qui flageolaient comme celle d’un homme ivre (proposition subordonnée relative) - qui s’unissait imparfaitement à sa cravate cordée autour de son cou dindon (proposition subordonnée

lancer son parfum, Chanel n°5. Ainsi, elle est la première couturière a en avoir l'idée, et les moyens.En 1926 elle crée sa célèbre petite robe noire. Après la crise de 1929, elle offre aux femmes des vêtements plus féminins, comme des robes de mousseline, de dentelle ou de tulle. La Seconde guerre mondiale l'oblige à fermer boutique jusqu'en 1954. Le 5 Février 1954 Grâce aux frères Wertheimer, sa maison de haute couture rouvre ses portes. En 1971, Chanel meurt à l'âge de 88 ans en disant: "Vous

Diaghilev. En 1925 , suite à un incident de réchaud qui brûle sa chevelure, elle coupe ses cheveux courts inventant ainsi une nouvelle coiffure. Après la crise de 1929, elle offre aux femmes des vêtements plus féminins, comme des robes de mousseline, de dentelle ou de tulle. Elle apporte sa contribution au monde du théâtre et du cinéma en collaborant aux œuvres suivantes: Le Train Bleu, 1924, Tonight or Never (Ce soir ou Jamais) en 1931, ainsi que de nombreux films de Jean Renoir, tels que

Les premiers verbes de ce texte sont des verbes d’action (« tenterait-il » et « frapperait-il »). On observe de nombreux éléments propres aux techniques cinématographiques : plusieurs plans se succèdent : Tchen s’apprête à tuer, voit un « tas de mousseline blanche » puis sa victime (de prime abord réduite à son pied → métonymie) : « ce pied », « au-dessous du pied » et « rien n’existait que ce pied » (gros plan). Le décor est symbolique : on note l’opposition lumière (« la seule lumière », « un grand

d’imagination, formaient l’image de la concierge vautrée devant le récepteur. Moi, calfeutrée dans mon antre, je n’entendais rien mais savais que quelqu’un passais. Alors, dans la pièce voisine, par l’œil-de- bœuf sis face aux escaliers, cachée derrière la mousseline blanche, je m’enquérais discrètement de l’identité du passant. L’apparition des cassettes vidéo puis, plus tard du dieu DVD, changea encore plus radicalement les choses dans le sens de ma félicité. Comme il est peu courant qu’une concierge s’émoustille

métal à l’aide d’un acide. Elles diffèrent en revanche par les outils ou vernis à graver utilisés. Pour la taille en creux, ce sont les sillons creusés qui reçoivent l'encre lors de l'impression. Cette opération est réalisée à la main avec une mousseline ou à l’aide d’un tampon. Le surplus d'encre déposé sur la surface plane du métal est délicatement essuyé avec la paume de la main. La plaque est ensuite recouverte d’une feuille de papier. Pour permettre le démoulage de l’encre contenue dans les

d’exemples précis. → Texte C. Notre regard se limite à celui du pers. « Aujourd’hui maman est morte » ; « j’ai pris l’autobus » → Texte B. Le narrateur nous rapporte les pensées de Tchen, et ce qu’il voit « y songer avec hébétude, fasciné par la mousseline blanche(…) » « Il se répétait que cet homme devait mourir ». Nous sommes également témoin de son état d’esprit perturbé. Ses sentiments nous sont livrés comme dans un monologue intérieur : emploi de l’exclamation : « Découvert ? Combattre, combattre(…) »

même temps que le personnage (Tchen). Les premiers verbes de ce texte sont des verbes d’action (« tenterait-il » et « frapperait-il »). * techniques cinématographiques : plusieurs plans se succèdent : Tchen s’apprête à tuer, voit un « tas de mousseline blanche » puis sa victime (de prime abord réduite à son pied → métonymie) : « ce pied », « au-dessous du pied » et « rien n’existait que ce pied » (gros plan). * Le décor symbolique : on note l’opposition lumière (« la seule lumière », « un

du réel. *hyperbole « il ne distingua personne » éblouissement, ne peut détacher son regard d’elle. LA SACRALISATION DE LA FEMME *expression « blandeaux noirs » « peau brune » image d’une madone, ressemble à la vierge marie. * « robe de mousseline claire » pureté, immaculée, * métaphore « que le lumière traversait » imagerie religieuse traditionnelle, oréolée de lumière comme les saintes. *Hyberbole « chose extraordinaire » divinisation, sacralisation LE PORTRAIT DE MME ARNOUX

Fromage au Choix (supplément de 4€ / pers) (Duo Crémier : Petit Chèvre à l’Huile et Vache sur Lit de Salade Verte ( Petit Chèvre Grillé aux Amandes sur Petite Verdure Craquante Le Dessert au Choix ( Mousseline de Chocolat Framboises sur Crème Vanillée ( Mille-Feuille à l’Orange en décor de biscuit ( Indulgent au Café sur coulis de chocolat ( Bavarois aux fruits exotiques sur miroir ( Salade de Fruits au Sirop Vanillé Les Boissons : Eau Minérale