Mousseline

[…] descendaient très bas et semblaient presser amoureusement l’ovale de sa figure ». Qui aurait décrit des bandeaux avec tant d’admiration s’il n’était pas follement amoureux ? Il continue en parlant de ses vêtements à la ligne 11 : « Sa robe de mousseline claire, tachetée de petits pois, se répandait à plis nombreux. ». Puis, il évoque à la ligne 13 « son nez droit, son menton ». Il nous précise ensuite, ligne 15, « qu’elle gardait la même attitude » nous pouvons donc traduire que c’est une femme

viendrait m’embrasser quand je serais dans mon lit. Mais ce bonsoir durait si peu de temps, elle redescendait si vite, que le moment où je l’entendais monter, puis où passait dans le couloir à double porte le bruit léger de sa robe de jardin de mousseline bleue […], était pour moi un moment douloureux. Il annonçait celui qui allait le suivre, où elle m’aurait quitté, où elle serait redescendue. De sorte que ce bonsoir que j’aimais tant, j’en arrivais à souhaiter qu’il vînt le plus tard possible,

d’œufs supplémentaires. 3. La sauce hollandaise et ses dérivés. La sauce moutarde : Additionner à la hollandaise 1 cuillérée à soupe de moutarde. La sauce noisette : Sauce hollandaise + noisettes torréfiées, broyées très finement. La sauce mousseline : Additionner à la hollandaise 1 dl de crème fraîche fouetté bien ferme. La sauce maltaise : Additionner à la hollandaise le jus d’une orange sanguine et le zeste taillé en julienne et blanchi. La sauce mikado : Ajouté le jus d’une mandarine

songes blancs, ses cheveux d’ange, le trait finement ourlé de ses yeux clos, le réseau transparent de ses veines , l’inexprimable fraîcheur de son souffle qui trace sur la main meurtrie d’Emile comme une invitation au silence . Soulevant le voile de mousseline, Mathilde présente son oeuvre à son grand homme. Car elle le voit grand dans sa triste tenue de combat qui sent la sueur, la poussière, l’infortune des armes. Elle lit dans ses traits durcis, dans les plis inédits de son visage autour de sa bouche

est dans le monde des exclus, caractérisé par un silence très long (3 pages) alors que l’acte lui même ne fait qu’un phrase. • L’auteur a mis en place un jeu d’oppositions: entre la lumière (l.9-10), le silence (l.44), le bruit (l.13/16). • La mousseline blanche: c’est l’interdit qu’il faut transpercer, c’est ce qui sépare le Tchen normal du Tchen meurtrier. Symbolique du voile : passage de le vie à la mort. • On est immédiatement plongé dans l’action, aucune indication exacte sur le lieu et les

domination politique au niveau mondial. Cependants la colonisation à eu aussi des aspects négatifs comme nous le montre les document 2 et 3. Il y a eu l'exploitation économique, le pillage et la destruction du tissu industriel local comme les mousselines indiennes. Ainsi que l'acculturation et la perte d'identité comme nous le montre le document 3 « bousillé toute la culture birmane »,ce qui à causé beaucoup de dommages moraux. Les inégalités sociales sont flagrantes et la domination politique

la puissance et les courants migratoires vers quelques colonies (Commonwealth ou Algérie). Thème 3 : l'exploitation économique : le pillage (affiche + formes d’exploitations cf cours).) ; destruction du tissu industriel local (doc 3: les mousselines indiennes, Gandhi). l'acculturation et la perte d'identité (doc 2 les cartes de l'Europe et des Pays-Bas ; doc 3 « bousillé toute la culture birmane ») + cours « Tintin ». Inégalités sociales et domination politique : émergence d'une nouvelle

« s’élevaient », « retombaient » : création de mouvement qui accentue l’idée d’immensité II. « Le spectacle prodigieux » 1. « l’exposition de blanc » les variations de la nuance du blanc par les différents articles : « nacre », »molleton », « soie », « mousseline », « draperies », « duvet », « piqué » « hermine », des adjectifs comme « blancheur éclatante » 2. les paysages évoqués « les steppes » + « aurore boréale », « constructions », « comme une envolée de cygnes » + « duvet », « nappe neigeuse », « papillons

la culotte et portent des pantalons, complétant leur tenue par une grande cape et un chapeau haut-de-forme. De 1820 à 1850, la mode subit encore des changements. Les femmes dénudent leurs épaules et le canezou devient tendance, une pèlerine en mousseline brodée dont les pans sont passés dans une large ceinture. Au cours des années 1820 à 1830, les jupes et les manches augmentent encore en volume mais dans les années 1940, sous le règne de Louis-Philippe (1830-1848), les codes vestimentaires s’assagissent :

une épouse parfaite, solicitude avec Mme de Rosemonde dans le film ( formule finale de politesse dans les lettres). a. physique film = personnage plus avenant que dans le roman, ajout d'éléments du XXème pour séduire, désir du XXème (fichu de mousseline, foulard..) ils lui apportent de la séduction, robes comparatives à celles des autres femmes. au cinéma c'est un personnage positif, une belle femme (2ème moitié du XXème). b. le film réduit le personnage à sa naïveté exacerbée jugements, remords