Mousseline

architecturées. « Vigor – Mortis » pouvant signifier « la vigueur de la mort » renvoyant au décès et l’autopsie nous met sur la voix de sa collection anatomique. Les textiles et matériaux de cette collection de trente et une créations sont composée de mousseline de soie, de textile thermo réactif (qui change de couleur en fonction de la chaleur du corps), de tissu à gros grain en fibre d’élasthanne, de perles ou encore de jersey (drapé ou gravé) avec des structures sinueuses redessinant la silhouette

On aurait pu lui reprocher trop d'embonpoint ou plutôt un négligé artistique. Aussi les 30 femmes en général la trouvaient-elles de mauvais ton. Elle parlait lentement : c'était une voix modulée, musicale et douce… Elle avait une robe fine, de mousseline blanche, qui laissait voir les contours moelleux de son bras. Quand elle se leva pour partir, elle mit une capote3 blanche avec un seul 35 noeud rose ; elle le noua d'une main fine et potelée4, une de ces mains dont on rêve longtemps et qu'on

Minuit et demi. Tchen tenterait-il de lever la moustiquaire ? Frapperait-il au travers ? L'angoisse lui tordait l'estomac ; il connaissait sa propre fermeté, mais n'était capable en cet instant que d'y songer avec hébétude, fasciné par ce tas de mousseline blanche qui tombait du plafond sur un corps moins visible qu'une ombre, et d'où sortait seulement ce pied à demi incliné par le sommeil, vivant quand même - de la chair d'homme. La seule lumière venait du building voisin : un grand rectangle d'électricité

concentre plus sur les ressenti et les mouvements des personnages. De plus, le lecteur voit les pensées de Tchen, "Il connaissait sa propre fermeté, mais n'était pas capable en cet instant que d'y songer avec hébétude" (l2-3) ; "fasciné par ce tas de mousseline" (l3) ; "mais Tchen sentait qu'il ne pourrait jamais s'en servir" (l24-25) et les mouvements de ce dernier sont énumérés "Dans ses poches, ses mains hésitantes" (l22) ou encore "Il éleva légérement le bras droit" (l28). On peut voir la même chose

replace son savoir-faire dans un certain air du temps. Les cabans ultracolorés, en satin de soie peint à la main, des tulles et mousselines de soie froissés-compressés, les drapés teints et surteints à la main dans des couleurs ambre, rubis, lapis-lazuli et améthyste, ont une vraie délicatesse. Spécialiste des matières : satin de soie, le tulle, la dentelle, la mousseline de soie et beaucoup de teinture, peinture Ventes personnalisées au showroom - Pas de réseau boutique Prix : env. 65 000€ Fabrication

enrichies de plumes qu’elle affectionne. Après huit longues années de mariage, alors que la Cour attend un héritier, elle donne enfin naissance à son premier enfant en 1778. « Madame Royale », à laquelle Marie-Antoinette donne le surnom de « Mousseline la sérieuse », est bientôt suivie par le dauphin Louis Joseph Xavier-François, né en 1781. Quelques années plus tard, elle met au monde Louis-Charles, qu'elle surnomme « Chou d'amour » et qui devient Dauphin à la mort de son frère aîné en 1789,

bissectrice est une droite qui divise un angle en deux parties égales Cochez la ou les propositions qui vous semblent justes : ❏ 1. une concave présente une surface sphérique en creux ❏ 2. une concave présente une surface sphérique en relief La mousseline est un tissu léger souple et transparent. Parmi les tissus suivants, quels sont les tissus légers ? ❏ 1. le molleton ❏ 2. le voile ❏ 3. l’étamine ❏ 4. le drap ❏ 5. la toile de jute Parmi les tissus suivants, quels sont les tissus d’origine animale

Dans le présent le passé restauré ! Ainsi l’amant sur un corps adoré Du souvenir cueille la fleur exquise. De ses cheveux élastiques et lourds, Vivant sachet, encensoir de l’alcôve, Une senteur montait, sauvage et fauve, Et des habits, mousseline ou velours, Tout imprégnés de sa jeunesse pure, Se dégageait un parfum de fourrure. Charles Baudelaire, Les fleurs du mal → Désir, ivresse, sensualité Le soleil Le long du vieux faubourg, où pendent aux masures Les persiennes, abri

large chapeau de paille, avec des rubans roses, qui palpitaient au vent, derrière elle. Ses bandeaux noirs, contournant la pointe de ses grands sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amoureusement l’ovale de sa figure. Sa robe de mousseline claire, tachetée de petits pois, se répandait en plis nombreux». Il décrit Madame Arnoux avec des adjectifs pour que l'on puisse s'en faire une représentation, il commence par décrire le chapeau puis les rubans, es bandeaux, ensuite il passe au

lui confère une première impression de douceur et de sensualité créée par le contraste des couleurs paille, rose et noir. - pureté des lignes découpées ( « se découpait sur le fond de l'air bleu ») - vêtements: douceur et légèreté du tissu (« mousseline» ); luminosité du motif (petits pois) ; générosité et grâce connotées par les plis nombreux . - détails aux lignes : ils correspondent à un regard insistant, à un gros plan sur telle partie du corps isolée des autres, dont la vue occasionne un