Moustache

inversé  Scène très visuelle, rythme narratif de scène (le rythme se confond avec celui du récit)  L’auteur fait référence aux attitudes des personnages  Scène dynamique grâce au dialogue (// rythme des cartoons)  Chat et petite souris à moustaches noires (Tom & Jerry)  C’est la souris qui demande à être mangée par le chat  Chat nonchalant « Ca ne m’intéresse pas énormément »  Débat argumentatif : la souris insiste. Argument : « Je suis encore jeune, et jusqu’au dernier moment, j’étais

recueil, accorde un certain amour aux objets, à l'inanimé. L'exemple le plus flagrant est certainement « La Chevelure » où le personnage s'éprend réellement d'amour pour une chevelure féminine. Mais encore dans « La Moustache » où une femme accorde une sorte d'amour insensé à une moustache. Mais il y a aussi le coté fidélité que Maupassant voit aussi comme très important, comme dans « Une Vendetta » où l'amour d'une mère pour son fils va au-delà de tous ses principes, ou dans « Première neige » où l'amour

caractérisées par certaines formes de moustaches ou de coupes de cheveux par exemple. Le poil pouvant être coupé sans douleur, il permet « de parler de soi ». Le poil peut coder, selon C. Bromberger l’âge, la génération, le rang, l’appartenance communautaire etc. Encore une fois, le poil est aussi appréhendé comme antihygiénique, à certains endroits ils sont donc considérés comme des impuretés et doivent être systématiquement retirés. Au contraire le port de la moustache permet selon sa coupe (sünnet ou

dit-elle, j'y consens. Fermez donc les yeux ! » L'autre s'exécute. La mésange prend une grosse poignée de mousse et de feuilles. Comme elle n'a aucune envie de l'embrasser, elle lui en frotte la moustache et, au moment où Renart s'imagine l'attraper, ses dents ne prennent qu'une feuille accrochée à la moustache. La mésange lui crie : « Eh ! Renart, la belle paix que voilà ! Encore un peu et vous rompiez la trêve si je ne m'étais pas reculée ! Vous disiez que la paix était officiellement proclamée. Votre

dévoilé. Les premiers paragraphes nous informent plutôt sur la silhouette du personnage marquée par son passé militaire, « cambra la taille », « frisa la moustache », jeta un de ces regards de joli garçon », « la poitrine bombée », « par chic de beau soldat », « portait beau ». Le dernier paragraphe est plus précis , « grand,bien fait,blond , « moustache retroussée », « des yeux bleus ,clairs », « des cheveux frisés ». Ce procédé d’énumération d’adjectifs qualificatifs et d’appositions en début de phrase

du début à « moins vulgaire » . Quand la caissière lui eut rendu la monnaie de sa pièce de cent sous, Georges Duroy sortit du restaurant. Comme il portait beau, par nature et par pose d’ancien sous-officier, il cambra sa taille, frisa sa moustache d’un geste militaire et familier, et jeta sur les dîneurs attardés un regard rapide et circulaire, un de ces regards de joli garçon qui s’étendent comme des coups d’épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières

Séquence V : Le déplacement du sens tragique au XXème siècle : Ionesco, Rinocéroce et le théâtre de l’absurde Objet d’étude : Le théâtre du XVII au XXIème siècleEn quoi le théâtre de l’absurde est-il paradoxalement un tremplin idéal à la dénonciation ? Cerner la tragédie du langage et de la condition humaine dans le théâtre moderne.Séance n°1 : Visionnement de la pièce de l’Ionesco, mise en scène de Demarcy-Motta, théâtre de la Ville, Paris, 2009, prise

|C’est à Paris, en 1919, que Duchamp réalise l’une de ses œuvres les | |Marcel Duchamp. L.H.O.O.Q. (La Joconde aux moustaches), 1919 |plus provocantes en ajoutant au crayon, sur une reproduction en | | |couleurs de La Joconde de Léonard de Vinci, une paire de moustaches | | |et une barbe. S’attaquant à une image canonique de la peinture

on dira d'ailleurs plus tard que c'est un battant. Sa silhouette est marquée de son passé militaire qui lui a laissé une certaine prestance : " Comme il portait beau, par nature et par pose d'ancien sous-officier, il cambra sa taille, frisa sa moustache d'un geste militaire et familier" et également tout le cinquième paragraphe : " Il marchait ainsi qu'au temps où il portait l'uniforme des hussards, la poitrine bombée, les jambes un peu entrouvertes, comme s'il venait de descendre de cheval ; et

orgies. Le tableau évoque aussi le pouvoir du vin qui fait oublier les soucis et adoucit la vie-On voit que les paysans sont tous rassembler à côté de Bacchus, on a une impression de mouvement, de bousculade sur de part le deuxième paysan ayant une moustache, peut être est-ce du a la quantité de vin absorbée et que étant quelque peu enivré, il n’arrive plus à se tenir tranquille lors du couronnement de l’un de ses semblables. Notre analyse sera déroulera en deux parties : premièrement, nous verrons