Mouvement De Foule

égocentrique « Il ne pensait qu’à lui ». Ses gestes ne sont pas naturels, ils restent toujours très étudiés. Duroy veut se faire remarquer. « Il allait lentement, d’un pas calme, la tête haute … ». Le terme « foule » est présent dans les deux extraits mais cependant la position de Duroy par rapport à cette foule n’est plus la même. Dans l’incipit Duroy fait partie du peuple et il tente de se faire remarquer en « poussant les gens… », Contrairement à l’épilogue où il est contemplé par « le peuple de Paris »

dans les tons marron. ARRIÈRE PLAN On peut voir un orchestre et une foule d’hommes et de femmes. La foule et le fond verdâtre sont floue, voir presque effacé.b. analyse iconographique et plastique (Technique Impressionniste) - c’est une scène d'extérieur qui se passe un dimanche après-midi, un jour de beau temps on voit la lumière qui passe à travers le feuillage des arbres - La ligne directrice de cette composition est un mouvement diagonal allant du coin inférieur gauche au coin supérieur droit comme

à partir d’un appui statique sur la neige et vers l’arrière. En skating l’appui est glissé (donc en mouvement) et les propulsions sont latérales. Cela demande un bon équilibre qui se caractérise par la capacité à tenir de longues phases de glisses sur un ski (équilibre unipodal) et à maintenir cet équilibre en mouvement, pendant la glisse. En skating, on prend appui sur un ski en mouvement. La méthode de base est dite "pas de patineur deux temps". Cela signifie que la poussée des deux bras

la gloire, aux superstitions d'un passé révolu . Rien que du moderne, une modernité à la Baudelaire, un regard vers l'avenir, une innovation technique comme un miracle, la recherche d'une prose poétique assez souple et heurtée pour s'adapter aux mouvements lyriques de l'âme, aux ondulations de la rêverie et aux soubresauts de l'âme. Cette ville de Londres n'a-t-elle pas cette modernité de s'adapter aux soubresauts de l'histoire, aux ondulations de l'âme, c'est le modèle dont il faut s'inspirer. C'est

| | | |La foule : | |Elle veut assister à l'exécution du protagoniste. Elle est très nombreuse.

de Rougemont se trouvait en Allemagne à Nuremberg au moment d'une manifestation nazie. Il nous raconte qu'il se trouvait au milieu d'une foule compacte attendant l'arrivée de Hitler. Les gens donnaient des signes d'impatience lorsqu'on vit apparaître, tout au bout d'une avenue et tout petit dans le lointain, le Führer et sa suite. De loin, le narrateur vit la foule qui était prise, progressivement, d'une sorte d'hystérie, acclamant frénétiquement l'homme sinistre. L’hystérie se répandait, avançait

 la vie de l'albatros apparaît donc comme une  parabole qui définit l'existence du poète. Le poète et l'albatros sont associés dans la dernière  strophe et cette association oblige à une réinterprétation : le voyageur ailé devient le poète,  les hommes d'équipage : la foule et les planches : le théâtre social.    B­ L'élévation  ­­­­­Les thèmes du poète  ­ La verticalité, l'aspect aérien. L'albatros est évoqué dans toute sa grandeur comme le  confirme l'enjambement des vers 1 et 2 qui suggère l'immensité des espaces que l'albatros a 

dans son ensemble et s’attache ensuite à certains détails qu’il juge caractéristiques. Du particulier au général : le narrateur détaille d’abord des éléments marquants (il s’agit souvent du visage) puis décrit l’allure générale. Suivant d’un mouvement du regard, souvent de haut en bas. Les composantes du portrait peuvent être les suivantes : L’aspect physique (silhouette, visage) ; L’habillement, souvent signe d’une appartenance sociale ; Les traits de caractère. Il faut noter que

pour accompagner la foulée et garantir le mouvement naturel ; semelle extérieure : talon en caoutchouc AHAR®, avant du pied en DuraSponge® Caractéristiques: Pointures du 40 au 47. Poids 345 g en 43. Avantages Adaptabilité morphologique Concepts permettant une meilleure adaptation à la morphologie du pied. Amorti Protection intégrale grâce à la combinaison de la semelle Solyte et du GEL. Maintien IGS® : respect du déroulé naturel du pied, convient aux foulées supinatrices. Dynamisme

de la coulisse de gauche, en montrant du doigt »,) concrétise la présence d'un rhinocéros littéralement invisible sur scène. Ce jeu de regards est repris par les différents personnages (« tous suivent du regard »), il est encore renforcé par les mouvements de tête (« montre sa tête » « montrant sa tête » « sortant sa tête » « on verra la tête du Vieux Monsieur », etc.). Le passage du rhinocéros est aussi perceptible à travers les commentaires des personnages qui décrivent son trajet et permettent