Mouvement Des Indignés

I ) UN POEME ARGUMENTATIF Victor Hugo, poète engagé se sert de sa plume comme d'une arme. A travers son texte, il apparaît comme un observateur indigné dénonçant le dur travail des enfants et ses conséquences. 1/ L'état physique des enfants Le poème commence par une triple interrogation à partir du même adverbe et du même verbe « où vont » (v.1). Ce vers 1 s'ouvre sur l'image d'un groupe important « tous ces enfants », caractérisé par une négation « dont pas un seul ne rit » traduisant l'absence

création habituellement inaccessibles. C’est par de tels subterfuges que certains acteurs inventent donc de nouvelles formes théâtrales, qualifié de théâtre de l’absurde car il donne à voir des situations illogiques. Pirandello s’inscrit donc dans ce mouvement. Comme Samuel Beckett (“En attendant Godot", où, durant toute la représentation les comédiens attendent un personnage, Godot, qui jamais ne viendra) ou Eugène Ionesco, mais aussi, Jean-Paul Sartre, Albert Camus et Raymond Queneau, entre autres

force de la pensée et la profondeur de l’analyse ». Source : Wikipédia En conclusion, l’œuvre suscita une vive controverse mais finalement s'imposa comme étant une analyse profonde des sentiments et de ce fait un « livre fard » du mouvement romantique. Un peu de réflexion : Bref résumé de l’œuvre : Le livre est le journal d'un condamné à mort, ou encore un monologue intérieur, qui se propose d'écrire ce qu'il vit pendant les dernières semaines (à partir d'un peu avant son jugement

de Paul Fort) et représentée pour la première fois le 10 décembre 1896. Il s'agit de la première pièce du cycle d’Ubu. Son nom pourrait être inspiré de celui de la tragédie de Sophocle, Œdipe Roi. Cette pièce est considérée comme précurseur du mouvement surréaliste et du théâtre de l'absurde. Jarry y mêle provocation, absurde, satire, parodie et humour gras. Résumé global Le père Ubu tue volontairement le roi Venceslas de Pologne, et il prend le pouvoir ; il fait tuer les nobles « J'ai l'honneur

ces marins, vraiment indignes d'agir comme ils le font. Baudelaire donne une image du poète vivant dans un monde à part. Il se laisse porter au dessus et descendu sur terre devient maladroit, ridicule car dépaysé, loin de l'air, de la lumière, du pays qui lui ressemble : c'est pour ça qu'il ne sait pas marcher au rythme des mesquineries, qu'il a honte (adverbe 'piteusement') B/ un éloge des pouvoirs de la poésie Quel est l'éloge de Baudelaire ? b1. Le mouvement des phrases prend une

conclusion du discours, elle comprend une récapitulation, la passion qui vise à émouvoir le spectateur, et éventuellement l’amplification. Entre confirmation et péroraison se place parfois une description qui est une digression visant à émouvoir, indigner, distraire le spectateur. Ethopée : description physique et morale d’un personnage. Constitutive du portrait. Le discours du personnage a des fonctions particulières dans le dénouement. -fonction phatique (souvent adresse au personnage, qui

accusatrice de ce dernier « Voilà mon crime, messieurs, et il sera puni avec d'autant plus de sévérité, que, dans le fait, je ne suis point jugé par mes pairs. Je ne vois sur les bancs des jurés quelque paysan enrichi, mais uniquement des bourgeois indignés ». Julien Sorel dénonce clairement cette injustice inique du XIXème siècle et qu'il le révèle dans un tribunal, face aux injustes mêmes rend la scène encore plus marquante par le fait que « toutes les femmes fondaient en larmes » et « Madame Derville

toujours trop orgueilleux pour demander de l’aide même à son frère. Ce qui est surprenant est que les deux frères aient choisi deux chemins complètement différents. L’un pharmacien, avec des études, de la culture, l’autre un simple mais non pour ça indigne homme qui travaillait la terre. * Là où ils sont allé habiter ils partageaient la cour avec d’autre 5 familles : l’on décrit les femmes et leur bizarre goût de se dire n’importe quoi d’offensif pour après faire la paix. * Les valeurs dont

quel élément favorisant l'action du sujet.► Marius PAUMELLE  | → Maupassant commence sa nouvelle par l’évocation des paysans qui habitent à Goderville et qui se dirigent vers le bourg. C’est le jour du marché. Il décrit les gens à travers leurs mouvements. Il recourt à une description dynamique en se déplaçant entre les paysans. L’auteur nous révèle une image souvent négative par l’usage d’un lexique dévalorisant qui témoigne d’un dégoût et d’une médiocrité provinciale »glapissantes, sauvages, affreuse… »

ciel d’en avoir la pensée ! Mais aux ombres du crime on prête aisément foi, et ce n’est pas assez de bien vivre pour soi. Madame, je vous crois l’âme trop raisonnable, pour ne pas prendre bien cet avis profitable, et pour l’attribuer qu’aux mouvements secrets d’un zèle qui m’attache à tous vos intérêts. 8 • Arsinoé loue Alceste et lui avoue que Célimène est infidèle. Le Misanthrope est mis en avant ! ACTE 3 SCENE 5 (p154-p156) Arsinoé. Laissons, puisqu' il vous plaît