Mouvement républicain et citoyen

pousse Villèle à démissionner en 1828 et Charles X à libéraliser un peu plus son régime. Cependant a la suite d’élections perdue, Charles X réinstaure des lois répressives qui mèneront à la Révolution de Juillet (27, 28, 29 juillet 1830) : les Républicains poussent le peuple à se soulever contre le pouvoir en place et s’emparent de l’Hôtel de Ville. Charles X refuse l’arrêt des combats en échange du retrait des ordonnances, et se retrouve finalement contraint à s’exiler en Angleterre (16 Août 1830)

marchandises. Notamment les idées républicaines. Les progrès de l'éducation civile et de scolarisation : On observe à travers l'école une uniformisation de la langue, dont le français s'impose, et où on va enseigner les principes républicains, l'histoire commune et la géographie française. Cela favorise l'appartenance de la société. La mise en place du suffrage universel : En effet l'intégration national va se produire dans et par le suffrage. Les citoyens prennent conscience de leur ampleur

dans laquelle droits, égalité, liberté ne sont pas considérés. 25 octobre 1866. Jean Macé, enseignant et journaliste républicain fait un article dans le journal " L'Opinion nationale " dans lequel il appelle tous ceux qui désirent contribuer à l'enseignement du peuple, à se rassembler pour former une Ligue de l'enseignement dans laquelle chacun apprendrait à devenir citoyen. L'instruction est pour lui indispensable car elle garantie la démocratie. La France en plein désarroi social, est touchée

individus. L'Etat est l'instituteur du social. Avec la révolution, bouleversement de la souveraineté: on passe de la souveraineté du roi à celle de la nation. Remise d'un ordre social lié à la monarchie. Après la révolution apparaissent des citoyens, des individus. Nécessité de construire une société à partit d'un agrégat d'individus. Question de l'État et de la souveraineté avec la question de la forme du régime. Cette question de forme du régime n'est pas tranchée tout de suite. (il

d’un CD avec 18 chansons paru en février 2007 lors de la « Semaine anti-coloniale ». Lors de notre étude sur le paradoxe de l’histoire coloniale2, il s’agissait d’affronter le passé de Marianne et de ses colonies dans le contexte d’une France républicaine et fondatrice des droits de l’homme qui s’enfonce dans des contradictions politiques, économiques et morales afin de perpétuer la belle image de sa « misséologie civilisatrice », aussi à travers un enseignement globalement positif dans les écoles

l'assemblée confia à Guizot, Bérard, Constant et Villemain la rédaction d'une proclamation au peuple français expliquant les mesures que les députés avaient prises pour résoudre la crise. Cette proclamation avait aussi pour but de ralentir les ardeurs républicaines suite à la révolution de 1830. Approuvé par 95 députés, le texte est scindé en trois parties: il débute par un éloge de l'héroïque population de Paris au moment de la révolution, annonçait et justifiait la nomination du lieutenant-général et poursuivait

l’inadaptation de la Constitution à la société. La seule marge de manœuvre dont dispose le gouvernement aujourd’hui, c’est de couper le budget des domaines dont il a la responsabilité et qui sont la santé, l’éducation, l’administration publique… Les citoyens sont donc directement touchés, dans leur vie quotidienne, par les dysfonctionnements de la Constitution. Il faut donc agir au plus vite et se concerter pour donner à la Californie la constitution qu’elle mérite, en « réparer » les erreurs et les

charge du Clergé et de l’Eglise par l’Etat. La constitution de 1791, qui met en place une monarchie constitutionnelle, avec l’assemblée Nationale, la « législative » qui lie le pouvoir au peuple. Les électeurs sont des citoyens « actifs » qui paient l’impôt, mais ils y a aussi les citoyens « passifs » dit les errants, les domestiques les moins de 25 ans et les plus de 25 ans vivant chez leurs parents, et les femmes. Avec la fin de la Monarchie, Louis 16 garde certains droits de veto ce qui va ralentir

tous ceux qui ne participent pas à la hiérarchie ecclésiastique. Le mot laïcité n’apparaît en français qu’après 1870. Il s’applique alors à une politique détachée de toute référence religieuse où l’État, respectueux de la liberté de conscience des citoyens, affiche pour sa part une stricte neutralité et fait du rapport à la religion une affaire exclusivement privée. On confond parfois laïcité et sécularisation. Ce terme - venu du latin saecularis, mot par lequel l’Église désignait les membres de la

devenant des citoyens français à part entière). Le principe d’égalité politique fait quant à lui, un grand pas en avant avec la mise en place du suffrage universel, cependant réservé aux hommes de plus de vingt et un ans. Le parti de l'Ordre était en France en 1848 le regroupement non réellement structuré de personnalités conservatrices, partisanes de l'ordre, de la sécurité et des bonnes mœurs. Le parti est composé de monarchistes légitimistes, surtout d'orléanistes mais aussi de républicains adeptes