Mozart, l'opéra rock

L.C. Dersoir D. Janvier G. Delacour D. Locqueneux D. Bonne J. Niskanen D. Armellini P.-L. Rousseau T. Le Beller TRIO - COUPLÉS - TRIO O. - COUPLÉ O. 1 REVE DE COEUR 2 RITCHY CREPIN 3 ROYAL LUXOR 4 REGENCE DU GITE 5 RISALDE FOUTEAU 6 RIZANITA 7 ROCKER DU RIB 8 RERAISNA 9 ROI DES AJONCS 10 RAPIDE JO #$ 11 REGENCE DE L'ITON 12 RODGERS 13 REMEMBER MY NAME 14 RIVIERA DE COSSE 15 RAISSA DU GITE 16 REAL DREAM 17 RUBIS DAIRPET H4 M4 H4 F4 F4 F4 H4 F4 H4 M4 F4 H4 M4 F4 F4 M4 M4 2725 2725 2725 2725 2725

eu le contrat pour les iPhone. Laurene POWELL : étudiante brillante et pétillante, diplômée de l'unive- rsité de Pennsylvanie. Travaille chez Goldman Sachs, puis suit les cours de la Stanford Business School. Mariée à Jobs en 1997. Arthur ROCK : investisseur légendaire du secteur technologie, l'un des premiers membres du conseil d'administration d'Apple, autre figure paternelle pour Jobs. Jonathan Mike John RUBINSTEIN (« Ruby ») : travaille avec Jobs chez NeXT, devient, chez

n’a pas eu le contrat pour les iPhone. Laurene Powell : étudiante brillante et pétillante, diplômée de l’université de Pennsylvanie. Travaille chez Goldman Sachs, puis suit les cours de la Stanford Business School. Mariée à Jobs en 1997. Arthur Rock : investisseur légendaire du secteur technologie, l’un des premiers membres du conseil d’administration d’Apple, autre figure paternelle pour Jobs. Jonathan Rubinstein (« Ruby ») : travaille avec Jobs chez NeXT, devient, chez Apple, directeur du département

mal réveillé, Martin écrase un bâillement et serre la barre de l'autobus à la suspension fatiguée qui tangue dans un virage. Il porte sur ses épaules un manteau en moleskine, un jean troué, des baskets usées et un tee-shirt à l'effigie d'un groupe de rock. Cet été-là, tous les jeunes ont quelque chose de Kurt Cobain. Dans sa tête, les souvenirs de ces deux mois passés aux États-Unis se bousculent. Il en a pris plein les yeux et plein le cœur. La Californie l'a emmené tellement loin d'Évry et de la banlieue

mal réveillé, Martin écrase un bâillement et serre la barre de l'autobus à la suspension fatiguée qui tangue dans un virage. Il porte sur ses épaules un manteau en moleskine, un jean troué, des baskets usées et un tee-shirt à l'effigie d'un groupe de rock. Cet été-là, tous les jeunes ont quelque chose de Kurt Cobain. Dans sa tête, les souvenirs de ces deux mois passés aux États-Unis se bousculent. Il en a pris plein les yeux et plein le cœur. La Californie l'a emmené tellement loin d'Évry et de la banlieue

la tienne ! lança-t-il en tendant à Jonathan un verre de vin. – Donc, c’est Noël avant l’heure, conclut le Français en allumant le poste de radio Art déco qu’il avait récupéré dans un marché aux puces de Pasadena. Il régla l’appareil sur une station rock qui diffusait une version live de Light My Fire. – Ah ! c’est bon ça ! s’extasia Marcus en se calant au fond de la banquette, sans que l’on sache s’il parlait du cabernet ou de la musique des Doors. Jonathan essaya à son tour de se détendre. Il déboutonna

m’attendais mais un timbre haut perché et légèrement éraillé. Je ne jugeai pas très opportun de rectifier (le piano du club n’était pas un Steinway mais un Bosendorfer) et répondis par un simple hochement de tête. — Qu’est-ce qu’on va jouer, ce soir ? Mozart ? Beethoven ? C’étaient manifestement les seuls noms de compositeurs qu’il connaissait. — Mais non ! s’exclama-t-il en se tapant le front de la main. Paul Eicher ne fait pas dans la queue de pie et la partition à l’ancienne, n’est-ce pas ? Monsieur

Juilliard School, devant laquelle elle était déjà passée avec Seymour. Derrière la façade transparente, on pouvait apercevoir les pas de danse des ballerines ainsi que l’intérieur des studios où répétaient les musiciens. – Le parking souterrain de l’opéra ! lança-t-elle en désignant une rampe bétonnée qui s’enfonçait dans le sol. Gabriel acquiesça. Ils se faufilèrent dans les entrailles goudronnées en évitant les voitures qui remontaient vers la sortie. Arrivés au premier sous-sol, ils mirent à

Juilliard School, devant laquelle elle était déjà passée avec Seymour. Derrière la façade transparente, on pouvait apercevoir les pas de danse des ballerines ainsi que l’intérieur des studios où répétaient les musiciens. – Le parking souterrain de l’opéra ! lança-t-elle en désignant une rampe bétonnée qui s’enfonçait dans le sol. Gabriel acquiesça. Ils se faufilèrent dans les entrailles goudronnées en évitant les voitures qui remontaient vers la sortie. Arrivés au premier sous-sol, ils mirent à profit

révolutionnaire, le Paris des grands travaux haussmanniens et les nouveaux quartiers parisiens. La période est effectivement marquée par les grands travaux d’Haussmann, préfet de la Seine depuis 1853 : percement de larges avenues  ; construction de l’Opéra, des nouvelles Halles, des gares du Nord et de l’Est ; extension des réseaux d’égouts par mesure d’hygiène ; création de nombreux parcs avec pelouses et massifs boisés (bois de Boulogne, bois de Vincennes, parc Monceau) ; rattachement à la capitale