Muezzin

Age : Birama, Sira, Samou, Kany Benfa, Père Aladji, Maman Koumba, Koniba, Maman Téné Situation sociale : Samou, Kany, Birama Maman Téné, Maman Koumba, Djigui, Père Benfa Comportement : Benfa, Sibiri, Famagan, le muezzin Samou, Kany, Birama Idées : Samou, Kany, Birama, Maman Téné Nianson, Karamoko, IV. FICHE ANALYTIQUE : 1. Le point de vue : L'auteur s'efface derrière le narrateur. Il est extérieur à l'action. 2. composition de l'ouvrage

solution possible : un équilibre entre tradition et modernisme. 2- LES PERSONNAGES SECONDAIRES Ils sont nombreux mais on peut citer: Père Aladji, Mamari, Koniba, Siré, Maman Koumba, Koniba, Thiémoko, Moussa, Sory, Tiékoura, le Féticheur, Fadiga le muezzin, Nianson, Karamoko. Mata, Soukhoura, Koria, Sira, Sidi, Aminata, Makhan, M. Donzano, (…) V-APPRECIATION DE L’ŒUVRE : L'auteur s'efface derrière le narrateur. Il est extérieur à l'action. Le roman est facile à lire car l’écriture est lisible et il

Age : Birama, Sira, Samou, Kany Benfa, Père Aladji, Maman Koumba, Koniba, Maman Téné Situation sociale : Samou, Kany, Birama Maman Téné, Maman Koumba, Djigui, Père Benfa Comportement : Benfa, Sibiri, Famagan, le muezzin Samou, Kany, Birama Idées : Samou, Kany, Birama, Maman Téné Nianson, Karamoko,

termes qu’il est contraint de faire répéter à ses interlocuteurs : Arabo ? Musulman, L’I ? Mam, Le ? Muezzin, Le ? Raïs. Il confond les pharaons et les rois d’Egypte contemporains, s’émerveille devant le canal de Suez comme une splendeur datant de l’Egypte antique (la grandeur de votre civilisation) et méconnaît tous les usages relatifs à la pratique de la religion musulmane. Les coups assénés au muezzin (qui ne sont d’ailleurs que suggérés) attestent le manque de culture de cet homme sans parler de

wa-l-fadîla(ta) wa-d-darajata rafî`a(ta) wa b`ath-hu maqâm-l-mahmûda-l-ladhî wa `adtah wa rzuqna shafa`atahu yawma-l-qiyama(ti) innaka lâ tukhliful-mî`ad De même, d'après 'Omar (Radhia Allâhou anhou), le Prophète  a dit :  1. « Si le muezzin dit : « Allah Akbar - Allah Akbar », l'un d'entre vous dit : Allah Akbar, Allah Akbar ; 2. quand il dit : « Achhadu an là ilaha illa Allah », il dit : Achhadu an là Ilaha illa Allah ; 3. quand il dit : « Achhadu anna Muhammadan rasulu Allah

figure est exclue de l’art musulman dans les bâtiments sacrés. Il n’y a donc ni formes humaines, ni formes animales. Ce sont des motifs végétaux qui se renouvellent. Le minaret est un symbole du culte dans la religion musulmane car c’est là d’où le muezzin appelle les fidèles à la prière cinq fois par jour. Au centre de la cour se trouve une fontaine aux ablutions qui permet de se laver et de se purifier. Dans la salle des prières, les fidèles musulmans se tournent vers le mur de la qibla, qui indique

l’école inculque aux jeunes la liberté d’expression et d’opinion dans leur famille et dans la société. Les idéologies deviennent alors opposées entre les adultes formés par la tradition et les jeunes qui sont auprès du Blanc. Dans ce contexte que le muezzin Fadigua affirmait à la page 22 « Ma fille à moi ne verra jamais les portes de l’école». En résumé l’éducation occidentale est l’une des majeures causes de la mésentente entre jeunes modernes et vieux traditionnels. Le choix du mari de Kany La deuxième

Enard nous laisse savourer la perle de ses mots délicats, nous entraînant dans des réflexions sur l'art de créer, la mort, l'amitié, l'amour, les différences culturelles, la religion, les peurs humaines. Au son des accents étrangers, du chant du muezzin en haut des minarets, de l'activité de la ville, nous explorons Constantinople où même la lumière, les couleurs et les senteurs sont différentes de nos contrées. Et nous nous laissons prendre aux rêves, tout comme Michel-Ange, qui hésitera entre fascination

saleté ? » -Ils dirent : - «  Il n’en reste sûrement rien » - il dit : - «  c’est là l’image des cinq prières quotidiennes avec lesquelles Dieu efface les péchés. N’est – ce pas dans la prière que se manifestent la justice et l’égalité. Quant le muezzin lance soin appel :-« Venez à la prière, venez au succès ! ».Parmi ceux qui répondent, il y’a le riche et le pauvre, le grand et le petit, le prince et le simple citoyen, réunis, ils se tiennent debout sur un seul rang sans distinction, ni séparation

dalâlatine ) . Yobeulou bisbi le 28/11/2013 : Aux étudiants, étudiantes et élèves qui ont l’habitude d’oublier les leçons déjà apprises : D’abords taisez-vous quand on récite le saint coran, écoutez attentivement les appels à la prière que font les muezzins et répétez-les dans la mesure du possible et apprenez ces mots puis récitez-les 3 fois après apprentissage des leçons. Allah le tout puissant vous aidera à vous ressouvenir de celles-ci inchallah  ( allahoumâ in-nî astawdihôuka mâ-hâlamtani fah-fazhou-lî