Muezzin

surtout chez les Noirs dont Nini blâme la conduite en ces termes : « Ils profitent de toutes les fêtes : la Tabaski et le Ramadan […] les fêtes chrétiennes ou républicaines » p.139. Même les blancs sont tentés par ce syncrétisme, et à l’invocation du muezzin, Martineau et Perrin faillirent faire un signe de croix p. 22. Le thème de l’amour est le ressort du roman. Chez Nini l’amour ne signifie rien. Ainsi s’interroge-t-elle sur l’amour prescrit par la religion « Aimez-vous les uns les autres ». On dit

proclamation aux gens, de la part d'allah et de son messager, au jour du grand pèlerinage)[8] Le mot "muezzin المؤذن" qui veut dire en arabe le crieur, l'aviseur, indique l'homme qui fait appel à la prière. "...ثم أذن مؤذن أيتها العير إنكم لسارقون"[9] (Ensuite un crieur annonça: "Caravaniers! Vous êtes des voleurs"[10] La "mi'dhana" est donc l'endroit d'où le "muezzin" fait appel à la prière. 4. Le minaret Les trois mots définis ci-haut, la "soumaa"

chapelet et les respirations sporadiques de son mari inerte. Et quelquefois des coups de feu, des explosions qui nous tirent de ce huit clos. D’autre part, le récit est également ponctué par l´égrenage du chapelet à L’intérieur, et la prière du muezzin à l’extérieur de la maison : « A l’aube, lorsque la voix éraillée du mollah appelle les fidèles à la prière, le bruit des pas traînants se fait entendre dans le couloir de la maison (…) » (idem: 32) ; « Un tour de chapelet s’achève. Quatre-vingt-dix-neuf

porteurs du thème de la tradition Les personnages porteurs de thème de la tradition sont les ainés. On peut citer : -Le père Benfa avec ses trois frères qui sont Tiemoko, Moussa et Sori -Maman Téné qui est la femme ainée du père Benfa -Fadigan le muezzin -Sibiri le fil ainé du père Benfa -Famagan l’homme que le père Benfa veut que Kany sa fille marie -Le père Djigui -Le féticheur -Le père Benfa a d’autres femmes citées dans le roman seulement comme coépouse de maman Téné plus jeunes qu’elle et jouissant

Age : Birama, Sira, Samou, Kany Benfa, Père Aladji, Maman Koumba, Koniba, Maman Téné Situation sociale : Samou, Kany, Birama Maman Téné, Maman Koumba, Djigui, Père Benfa Comportement : Benfa, Sibiri, Famagan, le muezzin Samou, Kany, Birama Idées : Samou, Kany, Birama, Maman Téné Nianson, Karamoko, b- Structure de l’œuvre L'étude de cette œuvre reflète trios grandes parties: de la page 13 à la page 85:Division de la famille Benfa suite au projet

table d’hôtes permettant non plus au pèlerin fatigué, de nos jours inexistant, mais au citadin en quête de ressourcement et de quiétude de venir s’y reposer. Et ce dans la pure tradition qui est la leur. Pareillement, l’appel à la prière faite par le muezzin depuis le minaret bénéficie d’un haut parleur, issu du progrès et de la modernité, permettant d’atteindre le grand nombre de fidèles que nos villes comptent maintenant dans leur développement et qui ne ressemblent plus aux villages à l’origine dans

réglementation de la prière fait de la mosquée un cadre privilégié pour l’exercice du culte islamique, d’autant plus que «  la prière en commun dépasse de 27 degrés celle faite isolément » . La prière à la mosquée est toujours précédée d’un appel du muezzin, perché du haut d’un minaret. « Cette prière doit s’accomplir dans un état de parfaite pureté rituelle obtenue après avoir effectué des ablutions et en se tournant vers la direction de la Mecque ». La prière est placée sous la direction d’un imam

des cultures et des traditions… Et puis, plus les jours avancent plus tu prends confiance dans cet univers qui te semblait si étranger au départ… La religion est omniprésente au Sénégal, on s’en est vite rendu compte car réveillé à 5h du mat par le muezzin les premiers jours…Elle interfère aussi avec la santé parfois, certains patients préférant suivre les bons conseils de leur marabout plutôt que ceux du corps médical !!! Il est très fréquent de voir des patients, surtout chez les petits IMC, couverts

pillage (icones, ors) autorisé après 3 jours de siège Basilique chrétienne ⇒ mosquée : comment ? - recouvert mosaïque figurative par de la chaux, -minbar = chaire où Imam prononce ses serments, -Mihrab = niche tournée vers la Mecque, -Minaret (le muezzin appelle à la prière) Fin XVIe, ville renommée -> Istanbul, embellie ville (bains, mosquée, écoles coraniques) Palais sultan : Topkapi, sur acropole Byzance, parcs dominant Bosphore, immensité, s’agrandit avec successeurs, multiculturel, bâtiments

| |[pic]Zoom | De cette richesse historique résulte une ambiance singulière. Une ville entre tradition et modernité. Des coupures d'électricité à répétition dans le vieux quartier de Sultanahmet, des muezzins qui chantent la grandeur de Dieu à 5 heures du matin, des chats qui se promènent jusque dans Sainte-Sophie sous l'oeil bienveillant de l'ensemble de la population... Istanbul, c'est aussi une passion pour le football et le backgammon, un regard amusé