Mur-rideau

Cependant j’ai effectué une toilette au lit, car elle était atteinte de fort trouble d’équilibre. J’ai frappé et je suis entrée dans la chambre double, lui ai expliqué que j’allais faire sa toilette, cela ne lui posé aucun problème. Ainsi, j’ai tiré le rideau de la fenêtre, je suis sortie de la chambre pour préparer les affaires dont j’avais besoin. J’ai pris : 2draps, une taie d’oreiller, 2 gants de toilettes, 2 serviettes, 1sac poubelle noir pour les éléments sales, un sac blanc pour jeter les gants

fait par un rideau relevé chez Raoux et Vermeer et par le peu de profondeur chez Metsu qui donne l’illusion au spectateur d’être un témoin proche de la scène. La lettre : Mise en évidence par sa place, souvent centrale, par la lumière, par l’ensemble oublieux de l’extérieur qu’elle forme avec la lectrice. La lettre est un objet qui voyage : la fenêtre ouverte préfigure son arrivée et la servante représente l’intermédiaire entre celui qui a écrit et celle qui reçoit. Chez Metsu, le rideau à demi soulevé

 tirant de sa ceinture un poignard et une bourse. — Daignez, madame, Choisir de cette bourse ou bien de cette lame. Doña Josepha, prenant la bourse. Vous êtes donc le diable ? Don Carlos. Oui, duègne. Doña Josepha, ouvrant une armoire étroite dans le mur. Entrez ici. Don Carlos, examinant l’armoire. Cette boîte ? Doña Josepha, refermant l’armoire. Va-t’en, si tu n’en veux pas. Don Carlos, rouvrant l’armoire. Si ! L’examinant encore. Serait-ce l’écurie où tu mets d’aventure Le manche du balai qui te

se joindre à la foule. Effet réussi car Napoléon aussitôt s’exclama : « se n’est pas une peinture on marche dans se tableau ». Tout les regards se tende vers la couronne qui est le point focale du tableau qui se détache derrière elle sur un pend de rideau vert comme pour attirer encore plus le regard vers cette couronne. La scène centrale est comme cadré dans un rectangle ou ne sont représenter que Joséphine et Napoléon, qui est arqué par les deux manteaux rouge. Mais ils ne sont pas enfermés pour

souriant et assez agréable à entendre, la visite semble vouloir être parfaite. La caméra elle ne bougera pas : une personne, avec une écharpe rouge, de dos (on ne voit pas son visage, mais la silhouette est féminine) fixe un point invisible sur le mur. Elle semble voir quelque chose que le spectateur ne voit pas. – Coupure – Nous retrouvons K, qui justement donne des explications sur un tableau. Il fixe son assistance, et demande s’il y a des questions. Devant l’absence de réaction, il fait un

Traitement : Les parfums d’Istanbul Scène 1, EXT-JOUR Un homme âgé se balade au milieu d’échoppes remplies de légumes. Il s’approche près d’un stand de légumes, regarde le prix. Il s’en éloigne, se retourne et va à l’échoppe d’en face qui vend aussi des légumes. Le vendeur l’interpelle, l’homme lui répond en turc et les deux acteurs se lancent dans une discussion animée au sujet du prix des tomates. L’homme serre la main au marchand, paye, prend son sac de tomates et continue sa route. Scène

▪ La caractéristique majeure de ce monde interlope est d’être louche, suspect aux yeux de la loi : l’érotisme ambiant des femmes du club s’accorde avec l’idée d’une corruption sous-jacente du lieu, ainsi que les jeux de regards, ou encore le rideau d’où sort Santi qui cache des coulisses où se joue peut-être des scènes suspectes. Mattei de façon ironique souligne l’ambiguïté du milieu comme un fait établi : d’abord il évoque la clientèle de ta boîte, puis il affirme : tu diras que tu as des

cette dame semble assez absorbé et effacé par sa lecture , son corps parait inamé comme un objet .On peut dire que l' atmosphère est calme et que chaque chose est a sa place. Au troisième plan on peut remarquer une petite fenêtre blanche et le rideau qui retombe légèrement sur la fenêtre La palette de couleur est réduit seul trois couleurs sont presentes dans ce tableau. Le vert est la couleur principale. Le vert est utilisé pour peindre le compartiment et la moquette. Les teintes vertes, froides

lumière et l'ombre. L'intérieur est contemporain et à la mode, avec une petite table sur laquelle repose les débris d'un miroir, une fiole et un livre. La salle est décorée avec des rideaux rouges en velours situés derrière le lit. D'une partie du rideau émerge la tête d'un cheval aux yeux argentés. Pour les spectateurs contemporains, le tableau évoque le rapport entre, d'une part l'incube et le cheval (une jument) et, d'autre part, les cauchemars. Cette œuvre a probablement inspiré le cauchemar

qu’il voit : l’horreur des zones de conflits raconté de manière très cru (corps en putréfaction, essaims de mouches, cadavres noirâtres, etc.). L’idée de choc, de violence est accentuée par le mot cadavre, et la comparaison du champ de bataille à un rideau de théâtre qui se lève. Son regard se porte sur tel ou tel détails qui renforcent l’idée de dégoût. L’odeur du charnier sature l’atmosphère. René Jacob établit un différence entre la carnage humain et la ruine des choses qui, elle, est plus forte