Muraille

bâtiment qui se meurt.On retrouve également la métaphore « ancienne citadelle démantelée » (l.22) qui souligne l’aspect dégradé du moulin. On note enfin une énumération d’éléments d’architecture bricolés avec «  un pêle-mêle d’encoignures, de petites murailles, de constructions ajoutées après coup, de poutres, et de toitures qui donnaient au moulin un aspect d’ancienne citadelle démantelée » (l.21-22). Ces procédés mettent en valeur l’ancienneté et la dégradation du moulin en opposition au cadre spatial

impossible de remonter la rivière rapide sur laquelle vous êtes arrivés par miracle, et qui court sous des voûtes de rochers. Les montagnes qui entourent tout mon royaume ont dix mille pieds (2) de hauteur, et sont droites comme des murailles ; elles occupent chacune en largeur un espace de plus de dix lieues (3) ; on ne peut en descendre que par des précipices. Cependant, puisque vous voulez absolument partir, je vais donner 10 ordre aux intendants des machines d’en faire

longueur du passage, s’étend une muraille contre laquelle les boutiquiers d’en face ont plaqué d’étroites armoires ; des objets sans nom, des marchandises oubliées là depuis vingt ans s’y étalent le long de minces planches peintes d’une horrible couleur brune. Une marchande de bijoux faux s’est établie dans une des armoires ; elle y vend des bagues de quinze sous, délicatement posées sur un lit de velours bleu, au fond d’une boîte en acajou. Au-dessus du vitrage, la muraille monte, noire, grossièrement

conditions d’une telle éclosion. Elles ont sans doute connu l’une et l’autre la caricature. On a trouvé des caricatures peintes sur des vases grecs et sur les murailles de Pompéi, on en a même, rencontré dans les ruines de l'ancienne Égypte. Comme spécimen de la caricature romaine, citons celle de Jésus crucifié, peinte sur une muraille du palais de César. C’est une satire contre les premiers chrétiens. La caricature est l’expression la plus évidente de la satire (moquerie souvent ironique) dans

matérialisée par des bornes en pierre ou des poteaux en bois. Son frère saute le sillon pour se moquer Romulus le tue. Le Pomerium est impénétrable en arme, fortification double, la muraille en pierre à l’extérieur du Pomerium et ce dernier protection religieuse Découverte par Carandini d’un petit bout de muraille au pied du Palatin daté du VIII° av Maison d’Auguste sur le Palatin à côté d’un cabane dite cabane de Romulus, pour asseoir son statue de refondateur de Rome Roi mal vue : derniers

et hachée) - la négresse = figure d’exilée rongée par la maladie, anonyme. Constitue une transition vers tous les exilés anonymes. Le vers 43 évoque un paysage africain « absent[s] » qui s’oppose à « la muraille immense du brouillard urbain » (notez la dimension hyperbolique du terme « muraille » et de l’adjectif « immense »), allitération en (m) qui renforce cette immensité. - L’évocation des exilés s’élargit ensuite dans les deux dernières strophes à des figures anonymes qui ont subi une perte

exagère et qui relève de celui de la tragédie ou de l’épopée (éloge des héros guerriers où intervenait le merveilleux). Le genre tragique et épique employé ici sert à Matamore dans sa démonstration vantarde. « Le seul » au vers 233 s’oppose à « murailles » et à « batailles » aux vers 233, 234. Matamore fait preuve d’autorité et de vaillance lorsqu’il nomme des êtres exceptionnels tel qu’ « empereurs » au vers 235 et auxquels il semble supérieur et auxquels il se compare. On relève également la

il faut qu'elle se désaltère, / Fût-ce dans du poison" (vers 801 et 802). Elle repense à son mystérieux inconnu en l’idéalisant : : il est présenté comme un preux chevalier venant au secours de la reine : « s'aventurer » v8 « mur » (v4), «la muraille si haute » (v6) tout ça suggère une reine prisonnière et un épisode romanesque : l'évasion Elle idéalise aussi son rang social, son importance la « dentelle » (v10) suggère la noblesse du héros en même temps que sa beauté et son élégance. On

ce n’est pas dit explicitement. Puis une muraille apparaît au loin, ils s’en rapprochent dans leur ronde autour de la ville. Et lorsqu’ils sont assez près, on comprend que cette muraille est la séparation entre là-bas et ici. Face à cette muraille, à l’initiative de l’homme qui marche, ils se dénudent, et creusent la terre. Ils dorment la, tous enterrés. C’est le passage crucial de ce texte, au réveil, ils aperçoivent leurs enfants au travers de la muraille qui se meut. Et peuvent enfin leur parler ;

meilleure. En effet elle décrit sa vie comme une vie perdue : solitude, menace de Salluste, imagination du jeune homme risquant sa vie pour elle (elle accentue particulièrement l'intérêt du jeune inconnu pour elle : "Pourquoi vouloir franchir la muraille si haute ? / Pour m'apporter les fleurs qu'on me refuse ici" (vers 758 et 759), désir d'être aimée vouée à l'impossible. - La plainte Et c'est la plainte qui prend ainsi naturellement le dessus. La reine est malheureuse, elle est impuissante