Muscat

de celle Qu'aucun des deux ne trompa Et leur sang rouge ruisselle Même couleur même éclat Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Il coule il coule il se mêle À la terre qu'il aima Pour qu'à la saison nouvelle Mûrisse un raisin muscat Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas L'un court et l'autre a des ailes De Bretagne ou du Jura Et framboise ou mirabelle Le grillon rechantera Dites flûte ou violoncelle Le double amour qui brûla L'alouette et l'hirondelle

provient du systéme de valeur et de normes apprisent. Fête populaire Dans la rue , devant un bar . Tenue décontractée Bière, pastis, muscat, vin, sodas . Fête jet-set Somptueux, salle illuminer, lustre, bordure or . Longue robe noir ou clair bien coiffé chignon pour les filles et cheveux plaquer pour les hommes costume cravate pour homme noir ou gris . Champagne et grand vin .

et le côté bureaux. B] Contexte commercial 1] Produits La gamme de produit est composée de : - vins français et étrangers - large gamme de vins de Porto, toutes catégories confondues (aromatisés, mousseux...) - champagnes, whiskys, muscats - chocolats, confiseries - épiceries fines : confitures, pâtés, fromages, thés, sucres aromatisés... 2] Stratégie commerciale Différents types de clients sont recherchés : - les particuliers (B to C) : clients réguliers, occasionnels, ou

l'aube cruelle » «  Passent de vie à trépas ». Ce passage montre la cruauté et l'horreur qu'endurent les résistants. Et c'est avec brio qu'Aragon, à travers cette ultime étape, insiste sur l'utilité du sacrifice. Le vers 54 «  Mûrisse un raisin muscat » succédant au vers «  Et leur sang rouge ruisselle »laisse sous-entendre que le sang des martyrs nourrit une France qui renaîtra. A l'intérieur de ces parties, Aragon ne cesse d’intervenir et de commenter l'action dans une visée argumentative

et je m'étais promis de vous offrir aujourd'hui quelque chose de joyeux, de follement joyeux. Pourquoi serais-je triste, après tout ? Je vis à mille lieues des brouillards parisiens, sur une colline lumineuse, dans le pays des tambourins et du vin muscat. Autour de chez moi tout n'est que soleil et musique ; j'ai des orchestres de culs-blancs, des orphéons de mésanges ; Ie matin, les courlis qui font : “ Coureli ! coureli ! ”, à midi, les cigales ; puis les pâtres qui jouent du fifre, et les belles

depuis que votre fils la recherche, ni eux ni la belle ne veulent plus de moi... J’aurais cru pourtant qu’après ça elle ne pouvait pas être la femme d’un autre. – C’est bien ! dit maître Estève quand il eut regardé les lettres ; entre boire un verre de muscat. L’homme répond : – Merci ! j’ai plus de chagrin que de soif. Et il s’en va. 62 Le père rentre, impassible : il reprend sa place à table ; et le repas s’achève gaiement... Ce soir-là, maître Estève et son fils s’en allèrent ensemble dans les champs

rats » vers 36 - « Celui qui croyait au ciel » vers 37 jusqu'à « Passent de vie à trépas » vers 42 - « Celui qui croyait au ciel » vers 43 jusqu'à « Même couleur même éclat » vers 48 - « Celui qui croyait au ciel » vers 49 jusqu'à « Mûrisse un raisin muscat » vers 54 - « Celui qui croyait au ciel » vers 55 jusqu'à « Le grillon rechantera » vers 60 Le quatrain final est constitué de la portion suivante : - « Dites flûte ou violoncelle » vers 61 jusqu'à « La rose et le réséda » vers 64 Remarque : on pouvait

la ligné du verbe couler... ???????? - On trouve ici une belle image du sang qui feconde, nourrit la terre. Leurs sembles donner leurs vie a d'autres. Elle na donc pas etait veine, elle va ouvrir un nouvel aveunir a la France. - Le choi du raisin muscat est approprier car d'une part c'es un symbol de la France, et d'autres parts c'est un symbol de joie, de fête. - On remarque une alliteration en [l] au vers 51. C'est une consonance douce. Cela traduit bien l'etat d'apaisement qu'ils ont trouver

de celle qu'aucun des deux ne trompa Et leur sang rouge ruisselle même couleur même éclat Celui qui croyait au ciel celui qui n'y croyait pas Il coule, il coule, il se mêle à la terre qu'il aima Pour qu'à la saison nouvelle mûrisse un raisin muscat Celui qui croyait au ciel celui qui n'y croyait pas L'un court et l'autre a des ailes de Bretagne ou du Jura Et framboise ou mirabelle le grillon rechantera Dites flûte ou violoncelle le double amour qui brûla L'alouette et l'hirondelle la

de celle Qu'aucun des deux ne trompa Et leur sang rouge ruisselle Même couleur même éclat Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Il coule il coule il se mêle À la terre qu'il aima Pour qu'à la saison nouvelle Mûrisse un raisin muscat Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas L'un court et l'autre a des ailes De Bretagne ou du Jura Et framboise ou mirabelle Le grillon rechantera Dites flûte ou violoncelle Le double amour qui brûla L'alouette et l'hirondelle