Muse Vénale

peu long ce qui nous perd un peu lors de la lecture. · La Muse malade : Le poème évoque la muse, source d'inspiration, mais malade et affaiblie. Ça ne m’a pas particulièrement touché car l’histoire est riche lexiquement parlant, j’ai eu une mauvaise compréhension du poème cependant je remarque que les images sont jolies, comme lorsque Baudelaire parle de la muse qui saigne des étoiles. C'est à la fois beau et tragique. Ça m'a fait réfléchir la complexité

et en notant quelques mots résumant leur art. Il définit un point commun à tous : l’exclamation des sentiments, qu’il semble donner en offrande au Ciel. VII. LA MUSE MALADE Dans ce poème, l’auteur interroge sa muse qu’il décrit comme malade. Il fait référence à la mythologie antique. VIII. LA MUSE VENALE Il interroge à nouveau sa muse. Il lui demande ce qu’elle va faire pour ne pas subir la pauvreté : faire la quête ou vendre ses charmes? IX. LE MAUVAIS MOINE L’auteur parait décrire les monastères

Duval et la troisième Marie Daubrun. 11. L'amour que je leur porte les rendent différentes les unes des autres. J'entretiens avec ma mère une relation complexe. Elle est ma source de réconfort et d'angoisse. Jeanne Duval est ma muse poétique. Elle était de nature vénale disons. Marie était ma compagne dans ma carrière, elle m'aidait a voyager au cœur de l'art. 12. D’après le diagnostic du médecin, je suis aphasique, je souffre d’hémiplégie et j'ai bien peur que j'ai la syphilis de même. 13. Se

rendu aux grands artistes qui nous font goûter l'autre lieu ( lire originel). Ces deux poèmes : évocation de la beauté artistique. Mais face à ces grands exemples que vaut l'art de B., enfant d'un siècle décadent et corrompu ? • • "La muse malade" et "La muse vénale" se lisent en contrepoint des poèmes "V" et "Les Phares" : qu'est devenue l'inspiratrice ? Par ces allégories, B. campe deux femmes aux corps usés ou statufiés, loin de l'idéal plastique et esthétique des Parnassiens " l'art pour l'art"

· Le printemps ( Le Goût du Néant ) · L’été ( Le Balcon ) · L’automne ( Causerie ) · L’hiver ( La Muse vénale ) · La nuit · La lune · Rayonne presque toujours d’ondes positives exprimant l’opulence, la douceur, la compassion, la complicité et la beauté enchanteresse) ·

dans ses ouvrages, Pierre Loti essaie désespérément de retenir le temps qui passe. Hanté par l'angoisse de la mort, l'écrivain s'attache aux objets, collectionne de petits riens et de grandes œuvres avec un amour égal. Ce n'est pas tant la valeur vénale des choses qui l'intéresse que leur puissance évocatrice, la charge émotionnelle qu'elles susciteront lorsque le regard les effleurera. Au fil des ans, dans cette maison des mondes et du temps inventoriés, l'écrivain tisse la toile du souvenir. La

et en notant quelques mots résumant leur art. Il définit un point commun à tous : l'exclamation des sentiments, qu'ils semblent donner en offrande au Ciel. 7 - LA MUSE MALADE Dans ce poème, l'auteur interroge sa muse qu'il décrit comme malade. Il fait référence à la mythologie antique. 8 - LA MUSE VENALE Il interroge à nouveau sa muse. Il lui demande ce qu'elle va faire pour ne pas subir la pauvreté : faire la quête ou vendre ses charmes? 9 - LE MAUVAIS MOINE L'auteur paraît décrire les monastères

goudron. Longtemps ! toujours ! ma main dans ta crinière lourde Sèmera le rubis, la perle et le saphir, Afin qu'à mon désir tu ne sois jamais sourde ! N'es-tu pas l'oasis où je rêve, et la gourde Où je hume à longs traits le vin du souvenir ? La muse vénale Ô muse de mon coeur, amante des palais, Auras-tu, quand Janvier lâchera ses Borées, Durant les noirs ennuis des neigeuses soirées, Un tison pour chauffer tes deux pieds violets ? Ranimeras-tu donc tes épaules marbrées Aux nocturnes rayons qui percent

perdus dans les grands bois! Car c'est vraiment, Seigneur, le meilleur témoignage Que nous puissions donner de notre dignité Que cet ardent sanglot qui roule d'âge en âge Et vient mourir au bord de votre éternité! La Muse malade Ma pauvre muse, hélas! qu'as-tu donc ce matin? Tes yeux creux sont peuplés de visions nocturnes, Et je vois tour à tour réfléchis sur ton teint La folie et l'horreur, froides et taciturnes. Le succube verdâtre et le rose lutin T'ont-ils versé

faut admettre que les marchands sont dans le Temple et parlent haut et fort Quiconque rait expérience de guider travers les salles un musée ou une exposition un public censé connaisseur et averti prend le risque de se faire interroger sur la valeur vénale des uvres il commentées Question impensable il encore peu années présent toute spontanée ec appuyée sur la lecture plus ou moins bien assimilée des publications pé riodiques qui ront de la cote de art et principalement de la peinture essentiel de