Muse Vénale

vin du solitaire » et « L'Ame du vin », l'alchimie : « Orgueil » et « L'alchimie de la douleur » , le spleen : «  Spleen 62 » et « L'ennemi », Paris : «  Rêve parisien » et « Paysage », le dandy, la maladie : «  mal » et « La muse malade », la prostitution : «  La Muse vénale » et « Le Crépuscule du soir », «  le poète maudit : «  Une Charogne » et «  L'Albratos », le diable : «  Les Litanies de Satan » et la mort : «  La mort des pauvres » et «  Le voyage »Pour des poèmes qui mêlent la « boue » et

 Baudelaire, Les Fleurs du Mal Section : « Spleen et Idéal » Groupement : Poèmes sur l’art SOMMAIRE I. Bénédiction 11 II. L’Albatros 14 III. Elévation 15 IV. Correspondances 16 V. 17 VI. Les Phares 18 VII. La Muse malade 20 VIII. La Muse vénale 21 IX. Le Mauvais Moine 12 X. L’Ennemi 23 XI. Le Guignon 24 XII. La Vie antérieure 25 XIII. Bohémiens en Voyage 26 XIV. L’Homme et la Mer 27 XV. Don Juan aux Enfers 28 XVI. Châtiment de l’Orgueil 29 XVII. La Beauté 30 XVIII

Rêves parisien » Le temps : « L’Horloge » ; « Crépuscule (Le) du matin/soir » ; « Sonnet d’automne » L’art : Tableaux, « La Musique » ; « Chansons d’après-midi » ; « Chats d’automne » Les poèmes parlant des Muses : « Muse (La) Vénale » ; « Muse (La) malade » Amour/Beauté: Les divers poèmes dédiés aux femmes ( « A une dame créole » , « A une madone » etc. ) ; « Beauté (La) » ; « Hymne à la beauté » La mort : « Charogne » ; « Mort (La) des amants » ; « Mort(La)

un ami des arts (mécène) + référence à la Renaissance et à la poésie amoureuse de l’époque avec « lits », « baisers » (//poésie pétrarquiste reprise à la Renaissance par les poètes de La Pléiade)  La mendiante devient une muse (// « La muse malade » ou « La muse vénale » dans « Spleen et Idéal ») Mouvement 3 : strophes 11 à 13 → retour à la réalité Retour à la réalité marqué par le tiret au début de la strophe + adverbe « cependant (rupture) + présent d’actualité : - Retour de la pauvreté

méchant, plus immonde » insiste sur la dureté de l’homme. Dans « La muse vénale », Baudelaire utilise le champs lexical du corps « palais, pieds, épaules » et aussi du temps, de la saison «  ses borées, des neigeuses soirées, nocturnes rayons » L’auteur veut rentrer dans le sujet du malheur en mettant en scène une femme sans argent dont il fait l’oxymore dans le titre. Vénal qui veut dire qui n’agit que pour l’argent, tandis qu’une muse n’en a pas besoin. On voit l’utilisation d’une comparaison: « ta

encadrement plus important au niveau international remettant en cause l’idée d’une restitution systématique. I une restitution de plus en plus exigeait A/ une restitution justifiée par de grands principes au niveau interne Les œuvres d’art des musées dirigés par un propriétaire de droit public comme l’état, une collectivité publique ou établissement public, sont régies par le régime de la domanialité publique. Or Il existe en droit un principe fondamental en France concernant la propriété de biens

chante qu'aux rayons du soleil qui se couche. Bénédiction Et, quand je m'ennuierai de ces farces impies, Je poserai sur lui ma frêle et forte main; Et mes ongles, pareils aux ongles des harpies, Sauront jusqu'à son coeur se frayer un chemin. La muse vénale Ô muse de mon coeur, amante des palais, Auras-tu quand Janvier lâchera ses Borées, Durant les noirs ennuis des neigeuses soirées, Un tison pour chauffer tes deux pieds violets? Ranimeras-tu donc tes épaules marbrées Aux nocturnes rayons qui percent

s’insinue autour de lui : « Le Démon, dans ma chambre haute, / Ce matin est venu me voir » (v.1-2 « Tout entière ») et même dans les personnes de son entourage et dans son inspiration : « Tes yeux creux sont peuplés de visions nocturnes » (v. 2 « La Muse malade »). Ce qui ne l’empêche pas de souffrir  « Martyr docile, innocent condamné » (v. 19 « Le Léthé »). Le poète se plaint  «Le tombeau, confident de mon rêve infini, / -Car le tombeau toujours comprendra le poète, - » (v. 9-10 « Remords Posthume »)

c'est la notion sensorielle la plus présente dans la poésie de " l'olfactif " qui caractérise le recueil de Baudelaire : odeur de la terre après l'orage (" Hymne à la beauté "), puanteur du cadavre (" Une charogne "), vapeurs d' encensoir (" La Muse vénale ", " Harmonie du soir "), ivresse des senteurs exotiques (" La Chevelure "), " âcre odeur du temps, poudreuse et noire " (" Le Flacon "), le parfum de la femme glorifiée en maintes poésies car le désir, " tout se fera Benjoin, Encens, Oliban, Myrrhe

d'optimisme et de gaieté; elle distrait l'œil et l'esprit(…) Oui, vraiment la publicité est la plus belle expression de notre époque, la plus grande nouveauté du jour, un Art." Blaise Cendrars Bientôt, "Coca-Cola" fera fureur dans nos musées ! Dans le bus, dans nos rues, dans nos écrans, dans des vitrines ou même dans nos portables, la publicité est partout ! Elle est représentée de différentes façons : affiches, vidéos, images, sons... Elle s'est amplifiée, depuis ces dernières années