Musée des beaux-arts de Rouen

à ce conflit et ainsi prendre conscience de tous les aspects de cette Grande Guerre. ANNEXES Roland Dorgelès (1886-1973) De son vrai nom Laurent Lecavelé, Roland Dorgelès est né à Amiens en 1886. Il fit de brèves études à l'École des beaux-arts de Paris dans le but de devenir journaliste et écrivain. Il mène une vie de bohème jusqu'à la guerre. En effet, dès 1914, il s'engage comme volontaire dans l'infanterie. Il sera décoré de la Croix de guerre. Dès 1917, il publie dans Le Canard Enchaîné

Après les Rougon-Macquart, un nouveau Zola ? 2.5.1 Les trois villes 2.5.2 Les Quatre Évangiles 2.6 Adaptations théâtrales et lyriques de l'œuvre de Zola 2.6.1 L'auteur dramatique 2.6.2 L'auteur lyrique 3 Esthétique zolienne 3.1 Le monde des Arts 3.2 La photographie 4 Liste des œuvres d'Émile Zola 5 Voir aussi 5.1 Bibliographie 5.1.1 Bibliographie de référence 5.1.2 Autres ouvrages 5.1.2.1 Biographies 5.1.2.2 Littérature 5.1.2.3 Affaire Dreyfus 5.2 Cédérom 5.3 Filmographie 5

Eluard par exemple. n 4. Choses vues et visions fantastiques (questions 3 à 5) Le baroque se marque dans cette ode par la transition qui s’opère au fil des strophes d’une description des éléments naturels identifiables et colorés (« bois », « beaux et verts ») à une évocation de motifs instables, voire en décomposition (« châteaux ruinés », « bois maudit »). Ce qui, dans le premier dizain, était vu comme un héritage de la permanence des origines (« nativité des temps », « aux premiers jours de

Grandmorin. Séverine Aubry n'était que la cadette d'un jardinier, mort au service des Grandmorin ; mais le président, son parrain et son tuteur, la gâtait tellement, faisant d'elle la compagne de sa fille, les envoyant toutes deux au même pensionnat de Rouen, et elle−même avait une telle distinction native, que longtemps Roubaud s'était contenté de la désirer de loin, avec la passion d'un ouvrier dégrossi pour un bijou délicat, qu'il jugeait précieux. I 5 La Bête Humaine Là était l'unique roman de

5.1 Les trois villes 2.5.2 Les Quatre Évangiles 2.6 Adaptations théâtrales et lyriques de l'œuvre de Zola 2.6.1 Auteur dramatique 2.6.2 Auteur lyrique 3 Esthétique zolienne 3.1 Monde des Arts 3.2 Photographie 4 Liste des œuvres d'Émile Zola 5 Annexes 5.1 Bibliographie 5.1.1 Bibliographie de référence 5.1.2 Autres ouvrages 5.1.2.1 Biographies 5.1.2.2

Grandmorin. Séverine Aubry n'était que la cadette d'un jardinier, mort au service des Grandmorin ; mais le président, son parrain et son tuteur, la gâtait tellement, faisant d'elle la compagne de sa fille, les envoyant toutes deux au même pensionnat de Rouen, et ellemême avait une telle distinction native, que longtemps Roubaud s'était contenté de la désirer de loin, avec la passion d'un ouvrier dégrossi pour un bijou délicat, qu'il jugeait précieux. Là était l'unique roman de son existence. Il l'aurait

Grandmorin. Séverine Aubry n’était que la cadette d’un jardinier, mort au service des Grandmorin ; mais le président, son parrain et son tuteur, la gâtait tellement, faisant d’elle la compagne de sa fille, les envoyant toutes deux au même pensionnat de Rouen, et elle-même avait une telle distinction native, que longtemps Roubaud s’était contenté de la désirer de loin, avec la passion d’un ouvrier dégrossi pour un bijou délicat, qu’il jugeait précieux. Là était l’unique roman de son existence. Il l’aurait

Grandmorin. Séverine Aubry n’était que la cadette d’un jardinier, mort au service des Grandmorin ; mais le président, son parrain et son tuteur, la gâtait tellement, faisant d’elle la compagne de sa fille, les envoyant toutes deux au même pensionnat de Rouen, et elle-même avait une telle distinction native, que longtemps Roubaud s’était contenté de la désirer de loin, avec la passion d’un ouvrier dégrossi pour un bijou délicat, qu’il jugeait précieux. Là était l’unique roman de son existence. Il l’aurait

Grandmorin. Séverine Aubry n’était que la cadette d’un jardinier, mort au service des Grandmorin ; mais le président, son parrain et son tuteur, la gâtait tellement, faisant d’elle la compagne de sa fille, les envoyant toutes deux au même pensionnat de Rouen, et elle-même avait une telle distinction native, que longtemps Roubaud s’était contenté de la désirer de loin, avec la passion d’un ouvrier dégrossi pour un bijou délicat, qu’il jugeait précieux. Là était l’unique roman de son existence. Il l’aurait

Extraits de la pièce page 23 TEXTES EN PARALLÈLE A propos de L’Avare page 25 Textes échos : le thème de l’avarice à travers les temps page 29 HISTOIRE DES ARTS – METTRE EN SCENE L’AVARE HdA Molière mis en scène page 35 HdA Découvrir les métiers du théâtre page 41 HdA Quelques mises en scène de L’Avare page 41 HISTOIRE DES ARTS – PROLONGEMENTS HdA L’avarice en peinture page 45 HdA L’avarice au cinéma page 47 L’ÉQUIPE ARTISTIQUE page 50 BIBLIOGRAPHIE / SITOGRAPHIE page 55 3   Harpagon