Musée des beaux-arts

Le musée savoisien est un musée départemental situé sur la commune de Chambéry dans le square François de Lannoy de Bissy. Il est installé dans un ancien couvent franciscain datant du treizième siècle. Le bâtiment, après avoir été inutilisé suite à la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat, en 1905, devint, en 1913, un musée consacré à des collections artistiques, archéologiques et ethnologiques qui sont toutes en lien avec l'histoire de la Savoie. Le musée comprend 8 salles d'expositions avec

perspective et l'utilisation de formes pleines et volumineuses. Influencé par l'environnement tropical et la culture polynésienne, son œuvre gagne en force, il réalise des sculptures sur bois et peint ses plus beaux tableaux, notamment son œuvre majeure, aujourd'hui au Musée des Beaux-Arts de Boston : D'où venons-nous ? Que sommes-nous ? Où allons-nous ?, qu'il considère lui-même comme son testament pictural. À Tahiti, il fait la connaissance de Tehura, jeune tahitienne âgée de treize ans, qui devient

Musée du qui Branly Jean Nouvel architecte, construit le Musée du quai Branly inauguré le 20 juin 2006 au VIIe arrondissement de Paris, au pied de la tour Eiffel. Le Musée du quai Branly présente des collections d’objets des civilisations d’Afrique, d’Asie, d’Océanie et des Amériques. Le musée contribue à la recherche issue de disciplines diverses : anthropologie et sociologie, histoire, histoire de l’art, linguistique, ethnomusicologie, technologie culturelle. Le genre des collections :

Art, ruptures et continuité. .1. Présentation général . L’œuvre que je vais vous présenter est Comédiens ou bouffons arabes . .1.1. L’œuvre et l’artiste  C’est une peinture huile sur toile , qui est exposé au Musée des beaux-arts . Il est réalisé par Eugène Delacroix qui a vécu de (1798-1863) , réalisée en 1848 . .1.2. Le contexte historique Une mission diplomatique  : Une mission diplomatique est un groupe de diplomates originaires d'un même État ou d'une organisation inter-gouvernementale

[modifier] L'ombrelle, 1777, (Musée du Prado), tapisserie, peintures La Gloire, 1771, (église de la chartreuse de l'Aula Dei) Don Manuel Osorio de Zuniga, 1788, (New york, Metropolitan Museum of Arts) La Marquise de la Solana, 1793, (Musée du Louvre) Autoportrait, 1794 (Castres, Musée Goya) La duchesse d'Albe avec la petite fille noir qu'elle avait adoptée, dessin 1796-1797, (Musée du Prado) La duchesse d'Osuna, 1888 Ferdinand Guillemardet, 1798, (Musée du Louvre) Le Miracle du Saint,

HISTOIRE DES ARTS Duane Hanson, « Lady’s market », 1969 Fibre de verre, polyester et vêtements, caddie avec emballages de produits, environ 166 x 70 x 70 cm, Musée de Budapest, Hongrie. DUANE HANSON : « Je remplis mon caddie je remplis mon frigo, on se remplit la panse, je tire la chasse,

d'enseignants, Jean Nouvel passe sa jeunesse à Sarlat. Alors qu'il souhaite être peintre, ses parents l'orientent vers les études d'architecture[1]. Il s’inscrit en architecture à l'École des Beaux-Arts de Bordeaux en 1964, et est admis en 1966, premier au concours d’entrée, à l'École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris dont il sort diplômé en 1972[2]. Influencé par Paul Virilio et Claude Parent, dont il est l'assistant entre 1967 à 1970[3], il fonde en 1970 sa première agence avec François

plusieurs années déjà (Vauxcelles créa aussi le terme Cubisme en 1908). Les œuvres choquèrent la grande majorité du public et des critiques; l'impressionnisme qui a tant inspiré les fauves n'était lui-même pas encore entré dans les mœurs. Ainsi, le musée du Louvre refusait en 1894 la donation Caillebotte, une exceptionnelle collection d’œuvres impressionnistes. Tous les peintres de la salle VII ne feront toutefois pas partie du mouvement. Si Vauxcelles fut un fervent défenseur du mouvement, le

Recueil de documents Niveau 3ème / 1ère LES DESSINS COMME FORME DE RESISTANCE DANS LES CAMPS Doc 1. Portraits réalisés à Ravensbrück par France Audoul Née à Lyon dans une famille d’artistes, France Audoul passe 3 ans à l’Ecole des Beaux-Arts. Arrêtée comme résistante dans la région de Toulouse, elle est déportée à Ravensbrück en 1943. Elle réussit à rapporter 32 croquis exécutés au camp avec quelques bouts de papier et de minuscules bouts de crayons volés aux SS. Elle participe en 1946

des thèmes que dans le traitement, avec des oeuvres comme La Valse (Paris, Musée Rodin) ou La Petite Châtelaine (Paris, Musée Rodin). Cette mise à distance va jusqu'à la rupture définitive en 1898. Blessée et désorientée, Camille Claudel voue alors à Rodin un amour-haine qui la mènera à la paranoïa et l'enfermement psychiatrique. La rupture est narrativisée dans l'oeuvre à juste titre célèbre qu'est l'Age mûr.(Paris, Musée d'Orsay). Elle s'installe alors 19 quai Bourbon et poursuit sa quête artistique