Musée social

nos visites répétées au petit musée de Pontarlier, j'ai développé le goût pour la peinture et l'Art en général. J'ai alors profité de mes escales pour parcourir les musées, mais aussi pour m'imprégner de l'esprit des différentes cultures en suivant les itinéraires les plus éloignés possible du carcan touristique, en leur préférant le contact avec les habitants et la découverte des sites méconnus. Le véritable déclic fut à mes vingt ans, ma première visite au Musée d'Orsay, amateur depuis longtemps

Dans le monde interconnecté d'aujourd'hui, force est de constater que la culture a le pouvoir de transformer les sociétés. Ses diverses manifestations – qui vont de nos précieux monuments historiques et musées aux pratiques traditionnelles et formes d'art contemporain - enrichissent tous les aspects de notre vie quotidienne d'innombrables façons. Le patrimoine constitue une source d'identité et de cohésion pour des communautés perturbées par l’accélération des changements et l'instabilité économique

et de l’époque moderne, n’ont pas le réflexe de sauvegarder ces édifices importants. Ils ont sans cesse détruit puis reconstruit par la suite. Puis, la conception du patrimoine apparaît. En effet, en 1792, le Louvre est choisi pour être le premier musée de la république. Naît alors l’idée, qu’il faut protéger objets et édifices de la destruction. On voit alors apparaître l’idée de monument historique. C’est durant le second empire que le Baron Haussmann reçut l’ordre de Napoléon III, de réaménager

loin dans l'acquisition de connaissance dans ce domaine. J'ai eu la possibilité d'effectuer un stage à ... au Musée ..., antiquaire très connu pour ses ventes et expositions d'art de la ..., et qui, même ici à Paris, a influencé la préparation de certaines des salles du Musée .... Dans le cadre de cette expérience j'ai pu assister la direction dans certains aspects de la gestion du Musée: la recherche du mécénat, l'information culturelle et l'organisation d'événements. J'ai participé aussi à la recherche

 La Société des musées québécois et le Conseil québécois des ressources humaines en culture sont les auteurs de cette ressource. Il s’agit d’organismes sans but lucratif visant à regrouper et représenter les institutions et les individus qui s’y rattachent. En plus d’être une des auteures, la Société des musées québécois en est l’éditeur. En ce qui a trait aux évaluateurs, en plus de nommer les membres du comité éditorial, il est précisé que ce document a reçu l’aval de nombreux experts rencontrés

Dès ma première année à l’Ecole de Gestion et de Commerce, je n’ai cessé de répéter que c’est à Londres que je ferais mon stage à l’international. Comme dit, comme fait, je me suis envolée le 25 mai 2014 vers ladite destination de mes rêves. En posant mes bagages et mes pieds sur le sol londonien, plusieurs émotions se sont faites ressentir : émerveillement, peur, hâte, accomplissement, rêve, grandeur… et la liste pourrait être bien plus longue. En effet, en arrivant à « Saint Pancras International

conservateur, pour organiser une exposition, a une correspondance avec un artiste, un artiste qui peut être connu comme Raynaud par exemple. Ce conservateur va considérer que c’est « sa » correspondance personnelle avec l’artiste, malgré l’entête du musée sur ses lettres. Il y a donc une énorme difficulté à sensibiliser cette personne, tu dois dire à cette personne : « mais non c’est de la correspondance administrative produite dans le cadre de votre fonction, vous vous devez de la verser ». Le second

mettre en œuvre une véritable politique d'acquisition. Aujourd'hui l'art africain est une mine inépuisable d'inspiration pour les créateurs qui le réinterprètent mais « hors de son milieu, retiré de son contexte, non seulement géographique mais aussi social, l'objet perd son identité culturelle. (...) De la panoplie du "colonial" au mur du "collectionneur" associé aujourd'hui à l'art contemporain, on tend à oublier la relation de l'objet africain avec son milieu d'origine, faisant abstraction de l'évidente

d'école à Mahébourg, qui, en 1865, découvrit les premiers squelettes de Dodos dans un lieu-dit «Mare aux Songes», non loin de la ville de Mahébourg. L'ensemble de ces découvertes fut envoyé à Londres en Angleterre, où Richard Owen, conservateur du musée d'Histoire naturelle, tenta la première reconstitution d'un squelette de Dodo entier. .C'est dans cette même «Mare aux Songes» que George Clark découvrit également un élément de mâchoire inférieure d'un perroquet disparu qu'Owen baptisa aussitôt du

Stockholm, ville verte L’Hôtel de ville de Stockholm, Stadshuset en suédois, prend le développement durable et l’environnement très au sérieux. Les Stockholmois aussi, car ils vivent dans une des capitales les plus propres et les plus vertes au monde et ils veulent que cela dure. View over Riddarholmen in Stockholm Hammarby Sjöstad in Stockholm Swedish Sea food at Restaurant J in Stockholm View over Stockholm Huvudskär islet, Stockholm