Musée Victor-Hugo

révèle à lui-même ; – le goût des larmes. Ses thèmes de prédilections sont : la nature ; l'impression de la fuite irrémédiable du temps ; l'univers intérieur ; l'action. Les auteurs et leurs principales oeuvres sont : _Victor Hugo ( 1802 – 1885 ) avec « la préface de Cromwell » en 1827, « la Bataille d'Hernani » en 1830 et « Ruy Blas » en 1838. _ Alfred de Musset ( 1810 – 1857 ) avec « Lorenzaccio », « Fantasio » et « On ne badine pas avec l'amour » en 1834. _ Alfred de Vigny

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Les rayons et les ombres’’ (1840) recueil de poèmes de Victor Hugo pour lequel on trouve ici les analyses de ‘’Fonction du poète’’ (page 3) ‘’Tristesse d’Olympio’’ (page 9) ‘’Oceano nox’’ (page 13) Bonne lecture ! “Fonction du poète” Dieu le veut, dans les temps contraires, Chacun travaille et chacun sert Malheur à qui dit à ses frères Je

Par exemple que sais-je du sujet en littérature ? Je peux me rappeler quelques grands textes de la littérature engagée comme J’accuse de Zola au moment de l’affaire Dreyfus, ou les œuvres polémiques de Victor Hugo contre la tyrannie de Napoléon III, telles que Les années funestes, Napoléon le petit, ou l’engagement des écrivains sous l’occupation, ou encore le combat des philosophes au siècle des Lumières… À la question quand ? je peux aisément m’apercevoir que cet engagement des écrivains est constant

LA POESIE POEME 2 VICTOR HUGO – FONCTION DU POETE → Biographie Il s'agit d'un poème de Victor Hugo (1802-1885), poète du XIXème siècle. C'est un écrivain précoce très engagé politiquement, mais aussi un écrivais prolixe (qui a écrit dans tous les grands genres littéraires). En 1848, il est élu député dans le camp républicain (gauche). En 1851, il s'oppose violemment à Napoléon III qui souhaite remplacer la République par le 2nd Empire. Il écrit alors Napoléon Le Petit, en opposition

pouvons prendre Victor Hugo qui à toujours été un écrivain très engagé dans les maux de son époque. Dans son roman Le dernier jour d'un condamné le personnage éponyme est un forçat condamné à mort dont on ne sait ni le nom, ni le crime commis, durant tout le roman. On suit les derniers jours du condamné pendant lesquels celui-ci raconte sa vie en prison, il nous dévoile ses pensées, ses peurs, ses opinions sur la peine de mort. Comme on le sait ce sujet à toujours beaucoup touché Victor Hugo, on voit donc

Clézio." Cette année, la poésie est plébiscitée. "Depuis le temps que l’on attend ce sujet…", remarque Sophie Saulnier à Argenteuil. Les enseignants citent quelques références-clés : Baudelaire en tête, mais aussi Rimbaud, Apollinaire, suivi de Hugo, d'Eluard, d'Aragon ou encore de Char. "Ce thème inquiète souvent les lycéens, notamment par sa brièveté. Comment écrire 2 copies doubles pour commenter 12 ou 14 vers ?", ironise Sophie Saulnier, qui rappelle que pour s’en sortir, l’essentiel est d’avoir

Valjean ; * le don des flambeaux ; * le second mensonge : celui de la promesse. Le rôle dominant de Mgr Myriel Les personnages secondaires forment deux groupes antithétiques (4 hommes - 2 femmes). Les gendarmes incarnent l’ordre. Victor Hugo le confirme à l’aide de détails : le salut militaire, l’apostrophe respectueuse, l’obéissance totale à la hiérarchie religieuse. Cependant on remarque une certaine brutalité ("tenaient […] au collet" ; tutoiement du vagabond ; l’interjection "silence"

Partager Imprimer Offrez à un ami Alfred de MUSSET   (1810-1857) TristesseJ'ai perdu ma force et ma vie,Et mes amis et ma gaieté;J'ai perdu jusqu'à la fiertéQui faisait croire à mon génie.Quand j'ai connu la Vérité,J'ai cru que c'était une amie ;Quand je l'ai comprise et sentie,J'en étais déjà dégoûté.Et pourtant elle est éternelle,Et ceux qui se sont passés d'elleIci-bas ont tout ignoré.Dieu parle, il faut qu'on lui réponde.Le seul bien qui me reste au mondeEst d'avoir quelquefois pleuré

Victor Hugo né le 26 février 1802 à Besançon – mort le 22 mai 1885 à Paris est un écrivain, dramaturge, poète, homme politique, académicien et intellectuel engagé français du 19ème siècle. Il représente l'une des grandes exposition du moi, de ses sentiments (lyrique) et se définit en s'opposant au style classique ( au théâtre: sujet des règles classiques). Nous étudions ici la scène d'exposition de la pièce Hernani. Cette pièce est représenté pour la première fois à la Comédie Française le 25 février

-Texte A - Victor Hugo, " Demain dès l'aube...", les contemplations (1856) : Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par le montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni