Muséographie

cet effet. Du Louvre de Vivant-Denon au projet d’Abu-Dhabi, deux siècles de créations muséales permettent d’apprécier d’une part les différents choix architecturaux mais aussi l’évolution des différents modes de présentation des oeuvres 105 (muséographie, scénographie, étude des dispositifs…). L’histoire du goût, ainsi que des pratiques culturelles du musée s’y illustrent. On envisagera la question des réemplois (modèle palatial, édifices religieux, civils …) ainsi que les projets d’architecture

à janvier 2010. Son objectif est de définir un cahier des charges et des spécifications générales pour des développements futurs de nouvelles interfaces de contrôle et d'écriture de contenus numériques multimédia pour la création artistique, la muséographie et les industries culturelles, notamment en produisant une étude approfondie des usages, pratiques et besoins des professionnels de ces domaines. Cette plateforme regroupe industriels (JazzMutant, Blue Yeti, RSF, Mikros Image), laboratoires académiques

Design global 69 Céline Piacentile Restitution de la villa gallo-romaine d’Echternach Didier Bur, J-P Perrin Participants : D. Bur, D. Laroche, J-P. Perrin [CRAI], J. Metzler, J. Zimmer [SSMNL] La reconstitution comme composante d’une muséographie Lorsqu’au cours des années 1975 et 1976, le Service des Sites et Monuments Nationaux du Luxembourg entreprit des fouilles sur le site de la villa gallo-romaine d’Echternach, les différents relevés, stratigraphies, fragments, fournirent quantité

de l’ampoule. Ces poudres sont excitées par le rayonnement ultraviolet émis dans le tube et transforment cette émission en rayonnement visible. De nombreux types de sources fluorescentes existent. Il faut veiller, dans certaines utilisations (muséographie notamment), aux différents I.R.C. (Indice de Rendu des Couleurs) et températures de couleur de ces lampes. La température de couleur des tubes fluorescents varie entre 2700°K et 6000°K. Culots et douilles - culot : partie de la lampe venant

Internet : http://www.culture.gouv.fr/culture/actualites/lettre/dossiers/Dossier-n64.pdf. p.1 (consulté en décembre 2011), p.1 23 des objets en tant qu’objets de collection qui est mis en valeur et non leur réelle utilité56. D’ailleurs, la muséographie sera elle aussi pointée du doigt puisqu’elle avancerait une vision stéréotypée de l’autre, vision visible dès lors que l’on accède au plateau des collections permanentes puisqu’elle donne l’impression d’être immergée dans une sorte jungle peuplée

1992 Philippe Grandjean, Paul Jouve, La sécurité incendie dans les établissements recevant du public Éditions du Moniteur, Paris, 1988 Matériaux classés au feu SOCOTEC, Paris, nouvelle édition En ce qui concerne les aspects techniques de la muséographie, la plupart des ouvrages existants sont disponibles auprès de l'UNESCO/ICOM et de l’OCIM à Dijon (Office de Coopération et d’Information Muséographique). Quelques titres sont également édités à la Documentation Française. ABC DE L’EXPOSITION

majesté impérial et royale à Paris 1813. Ferasin Valentine, "L'objet patrimonial au service de l'identité d'une région. Le cas du pastel en Occitanie.", Mémoire de Master Patrimoine et Musées (Parcours Valorisation des Patrimoines et Muséologie-Muséographie), sous la direction de Christel Venzal, Pau, Université de Pau et des Pays de l'Adour, 2019 Garcia Michel, Le pastel de Picardie, INHA, janvier 2020 Garcia Michel, De la Garance au Pastel, Aix-en-Provence, éd. Edisud, 2007 Garcia Michel, Plantes

Philippe Morel, Pratique des relations presse Dunod, 2003 Jean-Noël Nouteau, Les relations presse Demos Eds, 2002 Marie-Hélène Westphalen, Communicator Dunod, 1998 ABC DE L’EXPOSITION :: P 105 En ce qui concerne les aspects techniques de la muséographie, la plupart des ouvrages existants sont disponibles auprès de l'UNESCO/ICOM et de l’OCIM à Dijon (Office de Coopération et d’Information Muséographique). Quelques titres sont également édités à la Documentation Française. ADRESSES UTILES ET SITES

et africains. [cf. encadré p. 6-7] • De manière plus générale, les sources de l’Histoire (et donc de l’histoire du droit), ce sont les documents qui permettent de la connaître : outre les objets, qui relèvent plutôt de l’archéologie ou de la muséographie (par exemple une urne à voter), il y a essentiellement des textes, conservés en archives/bibliothèques ou chez des particuliers : ce sont des originaux ou des copies, des textes inédits ou publiés. Sans oublier les nouveaux médias (enregistrements

qu’il remplisse, dans la totalité d’une culture donnée, telle fonction précise. Chaque culture formant un système dont les éléments sont interdépendants, il est exclu de les étudier séparément. » [Denis Cuche, 2001]. Sinon, on s’abîmerait dans une muséographie. Pour l’éthnologie et l’anthropologie française, jusque là quelque peu oblitérées par l’occupation allemande, sans préjudice des pseudos-théories nazies largement encombrées par l’anthropologie physique, ce sont les travaux de Malinowski qui permettront