Muséographie

Musée Guggenheim New York Sommaire: I. Origine de la commande / Etude du site environnement II. Analyse architectural: Matériaux, lumière / Extérieur III. Architecture intérieur / Muséographie IV. Intérieur, Muséographie plan au sol, la distribution V. Récapitulatif / Réponse de architectural / Notoriété du bâtiment VI. Biographie de l'architecture VII. Photo des réalisations I - Origine de la commande / Etude du site environnement Qui ? Quand

Ils vont beaucoup travailler sur Beaubourg et faire de nombreuses enquêtes. La revendication d’une nouvelle muséographie et d’une nouvelle muséologie. Pontus HULTEN est remarqué par le couple POMPIDOU en 1969 pour un article dans lequel il écrit : « Le musée doit être le lieu de la communication ». Il deviendra le 1er directeur du centre Beaubourg (1973-1981) et privilégiera une muséographie de la transparence et de la modularité. Réflexion sur la ré-animation des centre-villes autour de projets

LE MUSEE DE L IMPRESSION SUR ETOFFES Dossier d’analyse de la muséographie Ce travail a été réalisé à l’Université de Haute Alsace, dans le cadre du cours SIM 8 – Aménagement er des espaces et des sites patrimoniaux donné au 1 semestre 2008 (remis le 5 janvier 2009) I.Historique du musée.................................................................................. 2 a) Contexte de création du musée............................................................. 2 b) Le parcours..............

«Nous avons toujours cru dans ce projet. Mais il fallait investir, programmer à la hauteur du lieu. Il fallait introduire de la culture, celle qui mobilise, qui fait le buzz. On l'a joué petit bras», regrette Stéphane Bigata, l'élu Vert. Revoir la muséographie Face à la grogne de certains élus et aux vents contraires, Norbert Métairie entend maintenir le cap. Selon le maire, ce passage difficile était prévisible. «On le constate partout en France, ce type d'équipement est confronté à une baisse de la

de certains musées. Cette idée que l'on entre dans une sorte de sas, presque un coffre-fort, renvoie précisemment à la politique même du musée: faire de cette institution un espace de protection, comme un cocon, avant un espace d'exposition. La muséographie intérieure dirigée par Jean Nouvel renforce cette idée avec une atmosphère sombre où la lumière extérieure ne transparait pas. Il crée un véritable écrin de protection pour produire un sentiment d'intimité avec les oeuvres, à l'image des grottes

sensation ». Selon Raymond Montpetit : « un medium de l’espace ». C’est la mise en valeur des collections d’un musée la plus évidente, la plus médiatique et la plus sensible. Outil de médiation culturelle. Au cours des 20 dernières années, la muséographie a évolué : intégration de techniques liées aux scénographies théâtrales, décors conçus spécifiquement pour les objets. L’exposition s’élargit progressivement de l’objet au concept. Elle vise à raconter une histoire. Les expositions sont multiples

favoriser la connaissance de ses collections, par tout moyen approprié ; d’assurer l’étude scientifique de ses collections ; de concourir à l’éducation, la formation et la recherche dans le domaine de l’histoire de l’art, de l’archéologie et de la muséographie ; de gérer un auditorium et d’élaborer sa programmation ; de préserver, gérer et mettre en valeur les immeubles dont il est doté. Conformément à sa mission, l’établissement est composé de fonctionnaires qui font office de médiateurs culturels,

cultures, des langues, des savoirs et des croyances. Ces dernières décennies, les historiens ont renouvelé leur regard sur ces siècles d’histoire, en relisant les archives et en ouvrant de nouvelles pistes de recherche. Leurs travaux ont enrichi la muséographie de l’esclavage et les travaux des artistes, romanciers et cinéastes. Les héritages de l’esclavage sont complexes et multiples : expérience de l’exil et de la déportation, création de nouvelles cultures, croyances et savoirs, les sociétés et cultures

des « Arts d’Afrique, d’Asie, d’Océanie et des Amériques » du Pavillon des Sessions au Louvre fut inaugurée le 13 avril 2000 par le Président de la République, Jacques Chirac. Chère à ce dernier, l’exposition fut réalisée par Jacques Kerchache (muséographie) et Jean-Michel Wilmotte (architecture). Elle présente un regroupement d’une centaine d’œuvres des quatre continents illustrant les arts, dits jusque-là comme primitifs ou premiers, de ces civilisations lointaines du continent européen. Les

en proposant des solutions intégrées. Cette entreprise lyonnaise, a beaucoup diversifié son activité, en offrant une variété de produits et prestations de services: la prestation de services pour expositions, pour événements, l’agencement, la muséographie, la gestion d'espaces. Avant 2000, GL proposait à ses clients, que ce soit les organisateurs de salons, expositions, congrès ou événements, des services d’installation générale (plan, mobilier, décoration, sécurité, animation). A sa création