Muses

Je pense qu'il faut aussi en connaître l'histoire parce-que cela permet de comprendre l'évolution jusqu'à leur actuel. Le mot musée vient du grec museion, temple des Muses, divinités des arts. C'est à la Renaissance, notamment en Italie, qu'on nomma ainsi ces galeries renfermant des objets d'arts : des lieux habités par les Muses. Le mot musée, dans son acception moderne, apparaît en Italie dans la seconde moitié du XVe siècle, sous sa forme latine, museum, à la suite de la Renaissance. Les princes

fruit d’un laborieux travail ? I) Thèse : la création poétique naît de l’inspiration Le poète serait un être inspiré, à travers lui parlerait une voix qui vient d’ailleurs et qui mettrait dans sa bouche des mots étranges. 1- → C’est grâce à des Muses, des divinités inspiratrices qui s’emparent du poète que celui-ci peut écrire des poèmes merveilleux. Dans Ion de Platon, celui-ci évoque l’hypothèse suivante pour expliquer le génie dont fait preuve le poète lorsqu’il crée : une divinité s’introduirait

supérieur à tout le monde, il méprise la vulgarité. Cette conception est mise en relief par l'inversion au vers 4. L'inversion permet de mettre en relief : « non commune ». Le deuxième quatrain constitue une sorte de tableau mythologique avec les muses. Ce qui est à craindre, c'est que cela produit un résultat artificiel. Ici, au contraire, c'est un quatrain délicieux qui dégage un charme magique. Il a aussi une grande légèreté avec des créatures et pourtant, ces quatre vers forment une longue phrase

cythare et la poésie. Sa musique pouvait aussi charmer les animaux, les hommes, les dieux, les forêts et les montagnes. Le dieu Apollon lui offrit une splendide lyre à laquelle il ajouta deux cordes afin qu'elle en ait neuf ; ceci pour honorer les neuf muses, dont sa mère faisait partie. Le jeune homme était aussi un aventurier ; il partit avec les argonautes de Jason pour aller chercher la Toison d'or. Au cours de leur périple, il resta discret car il n'avait ni la puissance d'Héraclès, ni celle de Jason

externes Dans l'Antiquité[modifier | modifier le code] Les grecs de l’Antiquité n’ont pas eu ni le concept ni le mot correspondant à « art », mais distinguaient parmi certaines activités, appelées « tekhne », celles qui étaient parrainées par les Muses, dont le nombre a fini par se stabiliser à neuf : Calliope : la poésie épique ; Clio : l’histoire ; Érato : la poésie érotique et lyrique; Euterpe : la musique; Melpomène : la tragédie ; Polymnie : la pantomime, la rhétorique et les chants religieux

formé de tels blocs lui-même. MOSAIQUE vient du latin « opus musivum » qui signifie « type de revêtement appliqué à la décoration des fontaines et des grottes dédiées aux muses », le mot MUSE issu du grec « mouseion » qui signifiait à l’origine « lieu où viennent les muses ». Ainsi l’ont nommés les anciens pour que les muses président à son tracé. Le mot MOSAIQUE est aussi retenu comme la référence à MOISE qui a su rassembler les 12 tribus d’Israël qui étaient divisées. Voici donc l’étymologie

contre l'adversité (ici : ce que représente le commun des mortels) , poète souffre mais ne travaille pas pour aujourd'hui (pas pour gagner de l'argent mais pour laisser une trace ) . 2) Le sentiment d'appartenance à une élite fréquentation des Muses , centre d'intérêt différent de ceux des mortels , rituels magique , il est seul ne fait pas parti des hommes rivage écarté . Tableau idéalisé . Se prend pour Apollon , enthousiasme ( dedans dieu) , le poète est un intermédiaire il laisse Apollon

Phèdre à poursuivre la conversation, lui raconte le mythe des cigales: il y avait des hommes qui étaient charmés par le chant des muses et qui les imitaient en chantant sans cesse au point d'oublier de boire et de manger alors ils étaient morts sans le savoir car ils continuaient à chanter et les dieux les ont transformés en cigales qui chantaient et qui rapportaient aux muses les paroles et les noms des hommes qui les vénéraient. Socrate et Phèdre posent une question importante: qu'est ce qui définit

C'est là qu'il meurt le 5 septembre 1803 des suites de la dysenterie. Son oeuvre : Épître à Margot, 1770, lettre satirique à l'encontre de la comtesse Du Barry, maîtresse du roi Louis XV) "Souvenirs", dans Almanach des Muses, 1773 "Épîtres à Eglé", dans Almanach des Muses, 1773 La Procession (conte licencieux en vers), sans date Le Bon choix (conte licencieux en vers), sans date Ernestine (livret d'opéra, d'après le roman de Mme Riccoboni, 1713-1792 ; opéra joué une seule fois mais échec)

meilleure, maintenant la nacelle de mon esprit déploie ses voiles, laissant derrière une mer si cruelle ; et je chanterai ce second royaume où l’âme humaine se purifie, et devient digne de monter au ciel. Mais qu’ici renaisse la poésie morte 1, ô Muses saintes ! puisque je suis à vous, et qu’ici un peu se lève Calliope, accompagnant mon chant de ces sons qui tellement frappèrent les filles de Piérius 2, qu’elles désespérèrent du pardon. Une douce teinte de saphir oriental qui, jusqu’au premier