Muses

Orphée est le fils du roi de Thrace, Oeagre, et de la Muse Calliope. Il était le poète et le musicien le plus célèbre qui n'ait jamais vécu dans l'Antiquité. On le dit aussi fils ou élève d'Apollon. Apollon lui fit don d'une Lyre à 7 cordes; les Muses lui apprirent à en jouer et en leur honneur il rajouta deux cordes à sa lyre. Non seulement il attendrissait les bêtes féroces mais il charmait aussi par sa musique les arbres et les rochers au point qu'ils se déplaçaient pour le suivre et l'écouter

pied, et la belle meurt sur le coup. Orphée, poète, chanteur et musicien fils de la muse Calliope, capable de charmer monstres, animaux et créatures inanimées par le simple son de sa lyre à laquelle Apollon ajoute deux cordes en hommage aux neuf muses protectrices des arts et des lettres dont sa mère fait partie, est anéanti de chagrin à la perte de son amour. Sa tristesse est si grande qu’il prend sa lyre, descend par le Ténare sur les rives du Styx où il charme son gardien : Cerbère le célèbre

siècle recherchant la perfection artistique de l'art poétique au détriment de l'engagement politique et social. Ce mouvement se définit comme une opposition au romantisme. Le nom « Parnasse » fait allusion au mont Parnasse, où s'assemblait les neufs muses sous la conduite d'Apollon. Qui sont les poètes du mouvement Parnassien ? Les grandes figures du Parnasse sont : José Maria de Heredia (1842-1905) François Coppée (1842-1908) Charles Leconte de Lisle (1818-1894)  Gautier Théophile (1811-1872)

Les origines mythologiques de la poésie. Les origines de la poésie se confondent avec les mythes de la Grèce antique. Les Grecs associaient en effet la poésie à plusieurs divinités ou personnages mythiques : Les neuf Muses, filles de Zeus et de Mnémosyne, à chacune desquelles on attribue un domaine du savoir humain; Ainsi, le poète invoquait-il sa Muse afin de recevoir l'inspiration car les Grecs pensaient que l'inspiration était divine et sacrée, et qu'elle n'était donnée à des êtres

résistance politique. Le poète n'a ni papier, ni crayon pour écrire ; il compose ce poème dans sa tête. Il n'a pas de livres à sa disposition, mais seulement sa mémoire (Mnémosumè, la Mémoire était dans la mythologie gréco-romaine la mère des neuf muses, en particulier Caliope, la muse de la poésie lyrique) Dans cette mémoire surgit une vieille chanson qu'il connaît par coeur (dans les deux sens du terme) : "Le Temps des cerises", composée en 1866-1868 par Jean-Baptiste Clément et Antoine

que tous les grands poètes épiques composent tous ces beaux poèmes. Tant qu’il n’a pas reçu ce don divin, tout homme est incapable de faire des vers et de rendre des oracles. » Platon, Ion Les créatures divines qui inspirent les poètes sont les Muses, filles de Zeus et de Mnémosyme, déesse de la mémoire. Elles accompagnent Apollon, dieu de de la clarté solaire, de la raison, du chant, de la musique et de la poésie et sont au nombre de neuf. À chacune, est attribué un domaine particulier : Clio

mythologie grecque. Fils du roi de Thrace Œagre, et de Calliope, muse de l’éloquence. Orphée fut très vite attiré par la musique et le chant, Apollon lui offrit une lyre à cette corde, les muses lui ayant apprit à en jouer, Orphée, pour les remercier rajouta deux cordes à sa lyre, pour rendre hommage aux 9 muses. Grâce à sa musique, il charmait les Hommes, les rochers, les arbres et mêmes les bêtes les plus atroces ne résistaient pas à l’envoûtement de son chant. Lors d’un voyage en Egypte, où

une déesse donc elle fait Vulcan Mars Ilithye Hébé dieux et déesse Latone déesse donc elle fait Diane Phébus dieux et déesse Maia nymphe donc elle fait Mercure dieux Métis déesse donc elle fait Minerve déesse Mnémosyné une déesse donc elle fait Muses divinités Plouto nymphe donc elle fait Tantale mortel Taygéte nymphe donc elle fait Lacédémon Thémis une déesse donc elle fait moires une divinités Parmi les mortelles : Alcméne donc elle fait Hercule un demi dieux Danaé donc elle fait Pérsée

militaire (notez la rime en opposition chansonnettes / trompettes). Sa muse inspiratrice est désormais Melpomène, muse de la Tragédie, conformément au titre de son recueil Les Tragiques. Celle-ci ne vient plus du Parnasse et de l’Hypocrene des Muses, mais sort des « tombeaux rafraichis ». Elle se présente dans une allégorie terrifiante, « Eschevelée, affreuse » ; « la bouche lui saigne » à cause des mots violents et horribles qu’elle doit prononcer pour parler de la guerre. 2 Agrippa d’Aubigné

qu'on pense, elle aurait été intéressée par les jeunes filles et se serait suicidée pour un homme ; elle aurait dirigé un chœur de jeunes filles, une communauté L'auteur le plus connu est un auteur spartiate nommé Tyrtée. Il nous reste dédiée aux muses). Page 10 du polycopié, on retrouve un poème de Sapho. de lui quelques élégies d'évocation militaire (motifs homériques rapportés Ce poème est un poème amoureux adressé à une femme. Il y a trois personnages (deux femmes et un hommes). La passion