Musique Baroque Au 17ème Siécle

puis de Mazarin, qui dépasse le cadre politique pour toucher le domaine culturel. Il favorise un rayonnement inédit des beaux-arts et surtout de la littérature : c’est le Grand Siècle, dont le classicisme est la plus riche expression. Le classicisme concerne donc la littérature mais aussi le théâtre, la peinture, la musique, et même l’architecture. C’est un courant esthétique regroupant l’ensemble des ouvrages qui prennent comme référence esthétique les chefs-d'œuvre de l'Antiquité gréco-latine. En

Séquence n°1 : La critique sociale et religieuse aux 17ème et 18ème siècles : Les obsèques de la lionne : la fontaine Notions : Satire : discours écrit ou moral qui se moque de quelque chose, utilisant souvent l’ironie. Jean de la fontaine : (1621-1695). - Ayant commencé en tant qu’avocat, jean de la fontaine s’installe a paris et décide de se consacrer a la littérature. - Il publie tout d’abord le poème héroïque l’adonis (1658). - sous la protection de Fouquet

respectueux des " bienséances ". Sur le théâtre au XVIIème siècle 1. Le baroque s'est exprimé dans tous les arts comme dans l'architecture et la peinture où domine le goût de la décoration spectaculaire et du monumental. Le baroque en littérature traite souvent de l'instabilité, de l'illusion et de la mort. De plus, au théâtre les décors sont diversifiés et somptueux, ils cherchent à émerveiller et à surprendre. L'espace baroque est changeant et réserve des surprises. Le classicisme est

| |XVIéme et le XVIIIéme siècle | | | |-La période baroque-

Il y a plus de 30 000 ans, l’homme peignait sur les parois des grottes, ces « chefs d’œuvres », ces fresques sont les premiers vestiges de l’art, qui va au fil des siècles et des millénaires prendre une place de plus en plus importante dans notre société. Pourtant, encore de nos jours, le rôle de l’art et de l’artiste reste flou et ne cessent d’être redéfini. Eugène Ionesco, un auteur contemporain a écrit : « Apporter un message aux hommes, vouloir diriger le court du monde ou le sauver, c’est

poids. Pour cela, il fait tomber simultanément deux objets de poids différents de la Tour de Pise. En 1592, il obtient la chaire de mathématiques à l’université de Padoue, où il resta jusqu’en 1610. Galilée hérite de son père à la fois l’amour de la musique, mais aussi un caractère dépendant et d’un esprit combatif. Galilée a eu deux frères et deux sœurs disparus sans laisser de traces. Grand savant, il fait plusieurs découvertes importantes pour le reste du monde : l’héliocentrisme, le thermomètre,

à l’époque baroque (1600-1750) Cette partie me fait penser aux grands buildings de New-York avec les notes longues faites par les violons qui représente l’immensité de ces batiments. Dans la 2ème : L’écriture n’est plus verticale mais horizontale. Les instruments ne jouent pas en même temps, il y a une impression de désordre. Cette écriture rappelle la fugue de Jean Sébastien Bach au 18ème siècle. Comme je vous l’ai dit au début Clément Janequin a mis lui aussi sa ville en musique mais les techniques

aisément ce qui a motivé le choix ministériel : une œuvre qui a conjugué exigence (la musique baroque, les références au jansénisme, l’omniprésence de la mort) et succès populaire (deux millions d’entrées et sept césars pour le film d’Alain Corneau) ; une relation originale, quasiment incestueuse, entre l’écrit et l’image, puisque le roman de Quignard (qui avait déjà traité le thème dans sa nouvelle La Leçon de musique) est né d’une commande d’Alain Corneau ; une œuvre qui brasse à la fois de grands

des Académies de peinture et de sculpture (1663), d'architecture (1671) , entretint des auteurs comme Corneille et Racine, en leur distribuant des pensions et en faisant représenter leurs œuvres, dont celles de Molière, nomma un surintendant de la musique (Lully) pour faire progresser la qualité dans la composition et l'exécution des partitions. 2. Présentation des trois "ordres": -Clergé : Homme religieux soumis à une règle monastique qui vit dans un monastère, généralement à l'écart du

comme une flotte qui aurait jeté l’ancre, en navire amiral, l’île d’Isola Bella, nef immobile surchargée de ponts, de statues et de fontaines, de paons et d’azalées, avec, en guise de poupe, l’énorme palais où Napoléon rêva son empire. Le palais du 17ème siècle recèle en son rez-de-chaussée d’étonnantes grottes au décor de rocaille. Il faut la petite île Isola dei pescatori, gouailleuse et populaire, ses chats et ses filets étendus au soleil, pour oublier la splendeur des salons et des marbres. Il faut