Musset Il Ne Faut Jurer De Rien

LE R ~ A L I S M E BALZAC DE peu de chronologie : Lamartine est n i en 1790; Vigny en 1797; Balzac en 1799; Victor Hugo en 1802; Dumas p i r e en 1803; George Sand en 1804. C’est la grande giniration romantique, les vrais “enfants du si2cle”, dont Musset, n i en 1810, Thiophile Gautier, n i et en I 8 I I, sont les Benjamins. Quelques dates encore: le premier roman de Balzac qu’il ait signi, L e s Chouans, parut en I 829 ; les derniers qu’il ait terminis Iui-mEme sont de 1847. Ses deux dicades sont

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 ÉVALUATION Tester ses connaissances sur le théâtre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40 VERS LE BAC Question sur un corpus : Musset, Labiche, Beckett . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42 Commentaire • Dissertation • Écriture d’invention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44-49 14 15 16 17 18 19 20 « Je » et l’Autre . . . . . . . . . . . . . . . . .

renverse et prend un aspect plus social. Le héros s'engage dans les combats pour la liberté. Ses passions se mettent au service de ses actions. La figure du héros romantique la plus représentative est sûrement celle de Lorenzo (Lorenzaccio, Alfred de Musset). A travers le romantisme on trouve une image aboutie de la figure du valet de la comédie classique, notamment dans les pièces de Victor Hugo (Hernani, Ruy Blas). La topique romantique L'amour L'amour romantique ne se réduit pas au cliché

ALFRED DE MUSSET IL NE FAUT JURER DE RIEN PROVERBE PERSONNAGES VAN BUCK, négociant. VALENTIN VAN BUCK, Son neveu. UN ABBÉ. UN MAITRE DE DANSE. UN AUBERGISTE. UN GARÇON. LA BARONNE DE MANTES. CÉCILE, Sa fille. La scène est à Paris. ACTE I SCENE I La chambre de Valentin. VALENTIN assis. Entre VAN BUCK. VAN BUCK Monsieur mon neveu, je vous souhaite le bonjour. VALENTIN Monsieur mon oncle, votre serviteur. VAN BUCK Restez assis ; j'ai à vous parler. VALENTIN Asseyez-vous ; j'ai donc à

temporelles. Il en découle également que le passé de certains personnages mirbelliens restera définitivement dans l'ombre, leur construction diffère sur ce point de celle des personnages zoliens, qui sont fortement marqués par le poids du passé7. Il faut également insister sur une deuxième différence considérable entre les deux romans. Le dernier chapitre du roman de Mirbeau se révèle excessivement mélodramatique et théâtral, et l'application de cette technique « contribue à ouvrir la voie

jamais demandé autant et j'ai jamais rien eu.  C'est tout ? Voilà à quoi se résume notre histoire, à vivre comme jamais en se traitant tous comme des chiens gamins qui pourrissent tout l'entourage, voilà comment tout ce finit. La voilà la fin du monde. Alors pourquoi tant de haine sachant que nous somme que quelques poussières éparpillé sur une autre poussière qui brille entre plusieurs autres poussières et qu'en fait la vie c'est tellement presque rien ? Moi j'en ai eu un tas de questions

Auteurs · Victor Hugo (1802-1885) : Cromwell (1827), Hernani (1830), Ruy Blas (1838.) · Alfred de Musset (1810-1857) : Les caprices de Marianne (1833), On ne badine pas avec l’amour (1834), Lorenzaccio (1834). Notons simplement que ses pièces n’étaient

le nom sans épouvante »), mais cette ascension lui a demandé « vingt ans » de labeur et d’intrigue. Sur son passé plus récent, il dévoile que, dans son parcours, il a commis une erreur qui lui a été fatale : il a séduit « une suivante, une fille de rien » qui lui a donné un « enfant », mais qui appartenait à l’entourage de la reine ; sommé de l’épouser, il refuse. C’est ce faux pas, cette « amourette » qui détermine sa situation présente : mis en disgrâce, il voit son « crédit, (son) pouvoir », tous

dans sa tirade de la scène 2 (p. 14-15), fait preuve d’hybris. La fin de la réplique de Dom Juan des pages 14-15 met en évidence l’hybris du personnage. En effet, il se compare à Alexandre et pense son désir illimité et capable de tout : « Il n’est rien qui puisse arrêter l’impétuosité de mes désirs : je me sens un cœur à aimer toute la terre » (l. 74-75). Il se pense au-dessus des lois humaines et divines. Deux personnages tentent de rappeler à Dom Juan qu’il doit respecter la loi, celle des hommes

opposent des idées nouvelles où se manifestent l’indépendance d’esprit et le désir de connaître le monde : Pg. No 5 Pg No.6 Il faut juger les choses par soimême, sans considérer. Ce que dit la religion chrétienne ; Il faut jouir de la vie parce qu’elle est brève ; Il faut s’instruire et apprendre les sciences nouvelles (physique, astronomie, etc.) ; Il faut surtout imiter les Anciens parce qu’ils on atteint la perfection de l’Art. La pensée chrétienne, d’autre part, déjà attaquée par ces idées