Musset La Nuit De Mai

de France à cause de son hostilité affichée à Napoléon III. · Il est élu député en 1871, puis sénateur en 1876.· Pour ses 80 ans, 600 000 personnes défilent devant ses fenêtres.· Il meurt le 22 mai 1885 des suites d’une congestion pulmonaire.Sa dépouille est exposée sous l'Arc de triomphe durant une nuit, puis portée au Panthéon. La Troisième République l’honore par de grandioses funérailles nationales auxquelles plus de deux millions de personnes ont assisté.Des délégations du monde entier ont fait

rencontre Verlaine et participe aux réunions parisiennes du « Cercle Zutique ». Il en sera exclu peu de temps après. L’année suivante, en 1872, Rimbaud et Verlaine mènent une vie dissolue. En mars, Rimbaud repart dans les Ardennes et revient à Paris en mai à la demande de Verlaine. Ils partent tous deux à Bruxelles, puis, en septembre, à Londres. Rimbaud regagne les Ardennes à la fin de l’année 1872. En 1873, il commence à rédiger Une Saison en enfer. Verlaine et Rimbaud regagnent Londres mais connaissent

Texte A : Nicolas Boileau, Art poétique, chant I, 1674. Texte B : Victor Hugo, Les Contemplations, Livre premier, VII, 1856, « Réponse à un acte d’accusation » 2 Texte C : Arthur Rimbaud, Lettre à Paul Demeny, dite « du voyant », Charleville, 15 mai 1871. I- Après avoir pris connaissance de l'ensemble des textes, vous répondrez d'abord â la question suivante (4 points) : Quelle est la conception de la poésie qui s'exprime dans chacun de ces textes ? II. Vous traiterez ensuite, au choix, l'un

soins prévoyants, Dans les sentiers de cette vie Dirigent mes pas nonchalants, Ma mère, à toi je me confie. Des écueils d’un monde trompeur Écarte ma faible nacelle. Je veux devoir tout mon bonheur A la tendresse maternelle. (Bis.) Alfred de Musset À Ninon Si je vous le disais pourtant, que je vous aime, Qui sait, brune aux yeux bleus, ce que vous en diriez ? L’amour, vous le savez, cause une peine extrême ; C’est un mal sans pitié que vous plaignez vous-même ; Peut-être cependant

à l'égard de ce dont il parle »7. Centré sur l'expression de l'émetteur, le lyrisme privilégie l'utilisation du « je » : c'est le cas de la poésie lyrique où le poète exprime sa sensibilité et sa subjectivité que symbolise le Pélican (Nuit de mai) d’Alfred de Musset. Mais cette poésie va au-delà de la confidence pour exprimer l’humaine condition et Victor Hugo proclame dans la Préface des Contemplations : « Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous ! ». La poésie lyrique présente d'ailleurs

sexagénaire. Quand il meurt, en 1827, Charles n'a que six ans. Cet homme lettré, épris des idéaux des Lumières, et amateur de peinture, peintre lui-même, lui laisse un héritage dont il n'aura jamais le total usufruit. Il avait épousé, en première noces, le 7 mai 1797, Jeanne Justine Rosalie Jasmin avec laquelle il eut un fils, Claude Alphonse Baudelaire, le demi-frère de Charles. Un an plus tard, sa mère, Caroline Archimbaut-Dufays se remarie avec le chef de bataillon Jacques Aupick. Le futur poète ne pardonnera

à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes » c. Fonction expressive : exprimer ses sentiments « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots » (Musset, Nuit de mai). C’est la poésie lyrique, poésie de l’expression du « je », qui illustre cette fonction. On peut exprimer différents sentiments : -le sentiment amoureux : Eluard, Ronsard… -la joie (l’hymne) : -la souffrance -la tristesse Exemple

l'homme et faisant de sa souffrance la source même de sa poésie. Il publie Espana (1840), recueil de poèmes dont est extrait Le pin des Landes, composé de quatre quatrains d'alexandrins. Dans ce poème, le romantisme fait penser à la Nuit de mai d'Alfred de Musset, il fait un parallèle entre le pin, meurtri par les exploitants qui veulent récolter sa résine, et le poète blessé, dont le coeur saigne. Nous verrons dans un premier temps comment il construit la figure du poète, puis nous étudierons

ne fait que 3 pages. o HOFFMAN : l’homme au sable - Poésie : o NOVALIS: Hymnes à la nuit Les Hymnes à la nuit de Novalis constituent une grande œuvre littéraire de la tradition chrétienne. Il s’agit d’un cycle de six poèmes dont l’originalité tient au fait, annoncé dans le titre, qu’ils célèbrent, non le jour, mais la nuit.  La nuit et les ténèbres ont à peu près toujours été retenus comme symboles du mal (la tristesse, le vice, le diabolique, etc.)

dans ses « Correspondances » qui font partis des Fleurs du mal, pour suggérer la notion d’écho : «  Comme de longs échos qui de loin se confondent », ou encore dans « Spleen » avec ses nombreuses assonances en « i » ou « an » : « plus triste que la nuit », «  Quand la pluie étalant ses immenses traînées », « Ainsi que des esprits errants et sans patrie. » Mais la poésie n’est pas seulement que musicale, elle a bien d’autres rôles. Tout d’abord, c’est un moyen pour le poète d’exprimer ses sentiments