Musulman

LA « KAFALA » A L’EPREUVE DU DROIT FRANCAIS Institution du droit musulman pratiquée de manière habituelle dans les pays du Maghreb, la « kafala » peut se définir comme le recueil légal d’un enfant par un parent nourricier (J.P. Charnay « La vie musulmane en Algérie d’après la jurisprudence de la première moitié du XXème siècle » collect. Quadrige). Elle échappe par sa nature et en raison de son contexte à une catégorie précise du droit français. La « kafala » « un droit qui veut s’intégrer

gouvernement de l’Eglise. Le droit musulman lui, comporte le coran, la sunna, le hidjma qui sont des sources connu mais appliqué différemment dans les pays musulmans. Ex : en Égypte, on applique le droit canonique mais le juge peut se référer au droit musulman dès qu’il le souhaite. Ce qui est différent de l’Arabie saoudite qui lui, se réfère uniquement au droit musulman. Les finances islamique sont une activité bancaire conforme aux prescriptions musulmane, tel que le coran qui interdit les prêt

immobiliers incomplets: - L’usufruit: L'usufruit est un droit réel de jouissance sur un immeuble appartenant à autrui et qui s'éteint nécessairement à la mort de l'usufruitier. - Les habous : Les habous sont des biens immobilisés par le fondateur musulman et dont la jouissance profite aux catégories de bénéficiaires qu'il désigne. - Les droits d'usage et d'habitation: Le droit d’usage: user d’une chose à titre personnel dans la limite de son affectation. Le droit d’habitation : droit de résider

du CIFIE.   Interview exclusif et inédit avec Shaykh Tarik Abou Nour autour du premier contrat français placement/épargne Chari'a compatible porté par Swisslife:  Shaykh Tarik Abou Nour est Expert en Finance islamique, chercheur en droit musulman, auteur, représentant du Chari'a Board du CIFIE (Comité Indépendant de Finance Islamique en Europe)     Question 1 : On a appris en juillet dernier la bonne nouvelle concernant la sortie en France de la première assurance-vie (placement/épargne)

les pays occidentaux prétendant être les pionniers de la démocratie ? Cette révolution, organisée et encouragé par les pays du Golf, appuyant les extrémistes sunnites, dont les Salafis et les frères Musulmans, pour une révolte contre le gouvernement syrien, seul gouvernement laïc des pays arabo-musulmans, dirigé par un président appartenant à la minorité alaouite est un complot organisé et très bien planifié. Ces organisateurs du complot ont investi massivement en temps et en argent pour renverser

pas d'ici avant le retour de notre président", a lancé à la foule du Caire un haut responsable islamiste, Safwat Hegazi. Rejetant le processus politique engagé par les nouvelles autorités, Safwat Hegazi a martelé les exigences du camp des Frères musulmans : retour immédiat du premier président élu démocratiquement, tenue de législatives et création d'un comité chargé d'élaborer un plan de réconciliation nationale. ›  1 / 9 Samir Al-Regili, prêcheur d'Al-Azhar, 36 ans, réside

(mort en 884), qui profita du déclin du califat chiite de l'époque pour fonder une nouvelle religion, le babisme, dont la doctrine reposerait sur une révélation du onzième imam chiite Hassan al-Askari (mort en 874). Dynastie religieuse/secte peuple musulman mais pas trop dans les montages/ branche chiite. CHIITES/SUNNITES : Les chiites et les sunnites ne lui reconnaissent pas le même successeur. Ceux qui choisissent Ali, gendre du prophète, deviendront les chiites, tandis que ceux, majoritaires,

affection qu'aucun organisme ou service ne saurait leur assurer malgré tout son dévouement. C'est aussi la joie des parents adoptifs, car cela leur procure d'immenses joies de paternité ou de maternité. Dans la plupart des pays musulmans, où le droit musulman inspire, à un degré ou un autre, le système juridique, l'adoption n'existe pas en tant que telle (sauf en Turquie, Indonésie et Tunisie). Plusieurs dispositifs de substitution existent, dont en particulier la kafala (ou «recueil légal»)

harmoniser les législations. Edouard Lambert, un juriste français a eu l'idée de comparer des droits et de construire à partir des éléments communs une vision universelle. Si on compare le droit sur le mariage en France et le droit sur le mariage musulman, ce qui fausse ici la comparaison est le fait que la religion y joue une influence. La première règle est donc de respecter le cadre spécifique du droit étudié, il faut tenir compte du contexte. La deuxième règle est de replacer la comparaison

des personnages incontournables dans la société syrienne. 2. La tragédie d’Hama – l’étouffement des voix dissidentes C’est un régime répressif qui ne tolère pas les dissensions. Entre 1979 et 1982 la Syrie a connu la révolte des Frères musulmans contre le régime Baathiste laïque et séculaire des alaouites qu’ils jugeaient indignes de vivre dans le Dar el Islam et illégitime en tant que gouverneurs. Cette confrontation culmine dans le bain de sang de Hama en 1982, ville symbole de l’influence