Mutilation génitale

qui correspond à leur avancée (silhouette, 1/2 habit, mutilation) Le portrait est stylisé : l'atrocité est symbolisée par quelques éléments significatifs. L'esclave est un homme qui se définit avant tout par ce qui lui manque (habit, main, jambe). Ce manque réduit l'esclave à un 1/2 homme ce qui symboliquement correspond à son statut social. il y a d'ailleurs un effet supplémentaire d'atrocité dans la précision en parallèle avec la mutilation.?. 2. la dramatisation par la parole Le passage tout entier

écrit par Sophocle au Ve siècle avant J-C. Celui-ci relate l’histoire d’un jeune homme qui a tué son père et qui est tombé amoureux de sa mère, tout en ne connaissant pas leur véritable identité. L’extrait étudié présente la mort de Jocaste et la mutilation d’Œdipe. Nous essayerons de répondre à la problématique suivante : Comment la théâtralisation contribue-t-elle à renforcer l’élément tragique ? Ainsi, nous ferons une étude consistant à traiter deux points principaux. Premièrement, il serait intéressant

nous coupe la main ; quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe" ce parallélisme connote une certainne logique à ces punitions . La description de cet esclave est surprenante dans la banalité de la description même qui en est faite, sa mutilation est décrite en même temps que sa tenue vestimentaire; de plus, il est mutilé de la moitié de ses membres et n'est habillé que de "la moitié de ses habits " a moitié habillé et mutiler . Ainsi, l'esclave n'est plus que la "moitié" d'un homme.

 1- INTRODUCTION : Bonjour, je m’appelle Colin Junillon et je vais vous présenter un tableau : « Les joueurs de skat » de Otto Dix. Nous sommes dans l’art du visuel ; le genre de l’œuvre est la peinture. Elle date de 1920. La technique utilisée est la peinture à l’huile et collage sur toile. L’œuvre est exposée à Berlin. Je peux dire que cette œuvre rentre dans la problématique : « comment l’art peut-il servir ou desservir le pouvoir ? », car elle dénonce des faits réels, celui des gueules

extrait du livre VIII, deuxième partie de L’homme qui rit de Victor Hugo. Ce livre nous raconte l’histoire d’un jeune homme, Gwynplaine, qui a été enlevé par des trafiquants d’enfants et qui a été mutilé pour être présenté dans les foires. Cette mutilation est une fente qui part d’une oreille à l’autre en passant par la bouche, ce qui lui vaut le nom de L’homme qui rit. On apprend par la suite que Gwynplaine est un aristocrate et pour raconter son histoire et interpeller l’assistance il prend la

"nous" qui représente les esclaves qui souffrent - Culpabilité des esclavagistes des nègres - Jeu sur l'onomastique (= dénomination des personnages): reproche du traitement dégradant des esclaves et de l'atteinte à l'intégrité physique - Mutilation "spirituelle" (les nègres sont privés de leurs croyances et racines et l'homme blanc impose au nègre de l'adorer) - Ils sont exploités + les mères sont aussi victimes (elles vendent leurs enfants) - Intolérance et oppression 2. L'efficacité

elle lui dit : «ne vous inquiétez pas, je vais en parler à votre mari ». L’infirmière informe le mari des raisons de l’anxiété de sa femme, en effet, la mastectomie constitue un évènement bouleversant dans la vie d’une femme, elle représente une mutilation de soi. Le mari répond qu’il va la réconforter, mais lors de nos passages pour les soins de madame B, nous remarquons qu’elle était toujours en pleurs, peut-être que nous ne sommes pas arrivés à répondre à ses attentes. Lors de cette situation

l’esclave se fait progressivement. Il y a une sorte de graduation dans l’horreur : -La position de l’esclave : « un nègre étendu par terre » -Son allure : « n’ayant plus que la moitié de son habit, c’est-à-dire d’un caleçon de toile bleue » -Sa mutilation : « il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite » Au début, on croit qu’il est pauvre et on se rend compte qu’il est misérable. Le terme « Mon ami » place Candide et le nègre sur un pied d’égalité. La comparaison avec « les

La chirurgie plastique est l'une des plus anciennes pratiques chirurgicales connues. Son origine remonte certainement à l'aube de l'humanité : les premiers hommes, victimes des guerres tribales, d'accidents ou de mutilations diverses, ont très vite ressenti le besoin de réparer, redonner forme ou améliorer les séquelles de leurs blessures ou des disgrâces dont ils étaient affublés : vers 600 avant J.C les Indiens savaient déjà réparer un nez mutilé à l'aide d'un lambeau cutané prélevé sur le front

grandes que le poing.   [pic] Cadavre dans les barbelés. Otto DIX © ADAGP, © Collection Historial de la Grande Guerre - Péronne (Somme) - Photo Yazid Medmoun     Dix peut  reconstituer les étapes de la destruction, suggérées par les degrés de mutilation des corps, en gravant de plus en plus profondément dans la matière organique du vernis comme en témoignent Cadavre dans les barbelés et Morts devant la position de Tahure. [pic] Des morts devant la position de Tahure. Otto DIX © ADAGP, © Collection