Mutilation

pour gagner sa vie et ne peut donc s'occuper de sa femme (l 12-16) Sa mère est donc seule face à sa tâche de mère qui la submerge (l 20 : allitération en -t marque la dureté de cette vie) la souffrance : chp lex : voc très fort : la mutilation est une image violente : elle semble privée d'une part d'elle même. A la fin de l'extrait, nbreuses négations : « la vie ne te traverse plus, il n'est rien qui puisse » : évoque la pulsion de mort qui la conduira au suicide. Elle semble

collégial de médecins. V – Conclusion Le cancer du sein entraîne des conséquences morales déterminantes et des douleurs physiques. La mutilation mammaire correspond aussi en général, pour les femmes, à une mutilation psychologique et sociale, les seins étant un des symboles de la féminité parmi les plus forts. Certaines femmes peuvent vivre cette mutilation comme une négation de leur féminité, et donc de leur personnalité. Par conséquent, il est essentiel d’accompagner le malade par un soutien

récit Narrateur externe à la P3 qui paraît ne pas prendre parti. Esclave caractérisé seulement par le physique. Juxtaposition vêtements / mutilation = au même plan → description banale de ce que l'on voit Insistance par tournure restrictive (n'ayant plus que) sur un détail de couleur (bleu) → froide objectivité, insistance sur l'habit et pas sur la mutilation. L'esclave expose lui-même son cas de façon résignée et calme Rapport maître esclave : Maître présenté en apposition ( " Mr Vanderdendur

familiaux iii. UN DISCOURS RELIGIEUX ANESTHESIANT ET FALLACIEUX Le champ lexical de la religion En Guinée A Surinam Discordance discours / réalité iv. UN SYSTEME SOUS LE SIGNE D’UNE TRIPLE AMPUTATION… Mutilation physique (les parallélismes) Mutilation sociale et intellectuelle Mutilation spirituelle v. ….ET DE L’ANIMALISATION ( LE DENI D’HUMANITE) F. UN REQUISITOIRE CONTRE LA SOCIETE ESCLAVAGISTE 23 II. LA DEROUTE (PROVISOIRE ? ) DE L’OPTIMISME A. LA MERE : DISCIPLE DE PANGLOSS

droite , qui va jusqu'à faire une partie de cartes avec sa Croix De Guerre . Les mutilations sont évidemment exagérés , pour dénoncer plus facilement la violence de la guerre , le but principal d'Otto Dix . Ces mutilations servent aussi à donner à celui qui regarde le tableau un sentiment de dégoût . Otto Dix a dessiné le tableau en brisant les lignes des corps des personnages du tableau pour accentuer les mutilations , déformations , blessures , dues aux combats . Sur le réverbère de l'arrière

être un aussi bon miroir, l'interlocuteur ne perçoit qu'un vide, un silence émotionnel. Mais cet handicap provoque aussi une altération de la perception de la nature humaine. La personne perd peu à peu le schéma intuitif naturel. La vue d'une mutilation rappelle enfin au spectateur l'idée angoissante qu'il est totalement impuissant devant les aléas de la vie. Un accident, une maladie..etc, un rien peu faire basculer notre vie. Freida, en dessinant ces hommes gravement blessés, n'a fait que dessiner

office de rites de passage et de reconnaissance de la petite fille dans sa société. Selon les organisations internationales, la proportion de femme excisées varient de façon importante environs 2millions de fillettes sont susceptibles subir une telle mutilation tous les ans. Mais face aux dangers que révèle cette pratique, certaines organisations international telles que l’ONU, L’OMS, L’UNICEF se sont franchement opposées à son existence dans la société. Vu de ce constat, les problématiques dégagées a

en fer. Contrairement aux deux autres personnages il a ses deux mains mais l’une des deux est articulée comme un robot et l'autre est aussi une prothèse. Sur son veston il porte une croix germanique: signe de ralliement des Allemands. Les mutilations renvoient bien sûr à la violence subie pendant la guerre mais aussi de l’impuissance des médecins à réparer les corps dont témoigne le recours à l’appareillage prothétique. Celui-ci s’apparente à une forme de camouflage ou de cache misère : il s’agit

mal a l’aise tout en l’amenant à accepter les idées du peintre. La minutie avec laquelle il s’applique à représenter les mutilations oblige le spectateur à un effort de représentation du réel, qui apparaît à ses yeux presque irréel. Le recours à la technique du collage renforce l’idée d’un assemblage des corps réalisé à partir de pièces hétéroclites. Les mutilations renvoient bien sûr à la violence subie pendant la guerre mais aussi à l’impuissance des médecins à réparer les corps dont témoigne

années passant il devient l'homme de sa vie. Pupille de la nation, il part au front en 1917. Ne supportant pas la vie dans les tranchées, Manech s'auto-mutile pour être démobilisé. Avec 4 autres camarades de front il est condamné à mort pour : "mutilation volontaire". La sanction est de lâcher ces 5 hommes dans le no-man's land en face de la tranchée nommée "Bingo Crepuscule". Porté mort, Mathilde ne veut croire à la version officielle et entame une longue série de recherches pour retrouver l'homme