Mutin

d’une culture de guerre. Celle- ci est alimenté par la propagande, le bourrage de crâne qui présente l’ennemi comme un ennemi singulier. Des ouvrages font des éloges sur le sacrifice des poilus. La censure étouffe les critiques des défaitistes ou des mutins (soldats sui se révoltent). Les mutineries de 1917 relèvent plus des mauvaises conditions de vie des soldats (fatigues, manque de nourriture, assauts inutiles.) que de refus de combattre pour la patrie.

C'est à Craonne sur le plateau Qu'on doit laisser sa peau Car nous sommes tous des condamnés C'est nous les sacrifiés  Le 15 mai, Pétain est nommé chef d'état-major à la place de Nivelle pour rétablir la situation. Il sévit : entre 60 et 70 mutins de guerre seront tout de même fusillés, mais avec une certaine modération : augmentation du nombre des permissions, amélioration de la vie quotidienne des soldats… Fin juin, l’ordre est rétabli Pétain acquiert la réputation d’un être soucieux de ses

bien que censurées, de leurs proches. Certains entretiennent une relation épistolaire avec une personne inconnue. Les permissions se font rares et les mutineries font leur apparition. Le général Pétain va régler ces problèmes en exécutant certains mutins et en accordant plus de permissions. Clémenceau, lui, va emprisonner les leaders des grèves à l’arrière. Enfin, l’Eglise va jouer un rôle important, la foi va être mise au service de la guerre. Mais il ne faut pas oublier le sentiment patriotique

-> superlatifs. La remarque est confirmée par les dires de Cicéron. Ces deux parangons d’humanité et de vertu n’hésitent cependant pas à adopter des moyens énergiques pour rétablir l’ordre comme le montre les expressions : "punissait aigrement les mutins et les séditieux du peuple d’Israël" et "punit rigoureusement les fauteurs de rébellion." B) L’application personnelle qu’en fait Gargantua, instruit par ces deux exemples, énonce les punitions adoptées. Il fait prisonnier tous les responsables

Objet d’étude 1 : Littérature d’idée Analyse Linéaire 1 : Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, Olympe DE GOUGES (1748-1793), Dédicace à la reine Olympe de Gouges (1748-1793) : Veuve elle change de prénom Marie=> Olympe Révolutionnaire (« première » féministe française)Elle publie des ouvrages pour l’égalité des droits de la fin de l’esclavage jusqu’à sa DDFC en 1791Condamnée a mort pour ses prises de positions en faveur d’une monarchie parlementaire,

qu’au moment décisif il n’a pas eu la force « d’utiliser son Code pénal militaire » (Kriegsartikel). Paralysée par le mode de penser d’un « État de droit » libéral, la bureaucratie, dépourvue d’instinct politique, n’a pas eu le courage de traiter les mutins et les ennemis de l’État selon le droit qui devait leur être appliqué. « La 1. N.d.T. : Paru dans Deutsche Juristen-Zeitung, Heft 15, Question, 1er août 1934, p. 945-950. Repris in Carl Schmitt, Positionen und Begriffe, Berlin, Duncker & Humblot

révolte rapidement. Ayant repris la mer après l’incident, le navigateur atteint enfin un détroit vers l’océan de l’ouest. Il lui donnera son nom. Mais la traversée de ce passage s’avère longue et difficile. Un navire s’échoue, tandis que l’autre se mutine et regagne l’Espagne. Après plus d’un mois, le 28 novembre 1520, l’expédition arrive enfin dans l’océan. Surpris par l’extrême tranquillité de ses eaux, Magellan lui donne le nom de "Pacifique". Il poursuit sa route, loin d’imaginer l’immensité de

1917, pour voir des changements suite aux nombreuses mutineries qui gagnent les 1eres lignes. La lassitude du front et de l’arrière : A partir de 1917, des mouvements contestataires se développent sur le front et à l’arrière. Sur le front, les mutins se révoltent contre l’inutilité des offensives. La répression est finalement modérée avec les interventions du général Pétain qui ont été les bienvenues. A l’arrière, le patriotisme est remis en question. Les civils se plaignent de pénuries, de

retraite de Dunkerque.  Ecrivain aux talents multiples, il a également publié des pièces de théâtre, des essais critiques et des traductions de classiques anglais. L'auteur nous offre ici un formidable roman maritime qui s'inspire de la fuite des mutins de la Bounty à travers le Pacifique à la fin du XVIIIème siècle. Mais il ne livre pas un roman historique, il imagine les personnages et les situations. Cet ouvrage est un grand roman humain et maritime dans la tradition du genre. Avec L'île, Robert

morales tels le risque de mourir lors d’une attaque et ne plus revoir sa famille ainsi que voir ses camarades tombés sous le feu de l’ennemi. Le nombre de morts élevé lors des attaques, comme à Verdun en 1916, poussent même certains soldats à se mutiner en 1917 aux Chemins des Dames dans le but d’améliorer leurs conditions de vies. le froid, les rats, les poux, les odeurs pestilentielles et l’absence d’hygiène, l’ennemi le plus redoutable des combattants est la pluie, qui transforme les tranchées