Mutinerie

La participation de la population française dans cette première guerre mondiale passe donc par l’implication des hommes au front afin de repousser l’ennemi. Mais des mutineries apparurent en 1917 et mirent en évidence l’importance d’une autre partie de la population. Par ailleurs, l’implication des civils (plus particulièrement des femmes) à l’arrière était nécessaire afin de soutenir l’effort fourni au front. Ainsi

lieu entre soldat français et soldat allemand ce qui montre la nature de ce combat non consenti par la plupart des combattants. Puis, il y eut les mutineries qui se définissent par le refus de monter au front par un soldat, désertions, actes violents contre la hiérarchie supérieur et automutilations se multiplièrent, , il y eut beaucoup plus de mutineries en France et en Allemagne qu’en Angleterre. Un peu comme un réconfort et une motivation de finir vite cette guerre, il existait ce que l’on appel

1917, année terrible et tournant de la guerre : - « Il y en a marre ». Les soldats en ont marre, ils n'eurent pas permission durant 6 mois, et sont restés trop longtemps dans le secteur et on du attaquer trois fois de suite. Cela entraina des mutineries et les soldats refusent d'attaquer. - Ces troubles se situent dans un contexte de crise, les conditions politiques sont mauvaises. Des grèves sont mises en place dans de nombreux pays. Durant cette guerre, la Russie connu deux révolutions : en

des scènes de fraternisation entre soldats russes et allemands. A l’arrière, les grèves se multiplient. En Russie, l’agitation révolutionnaire se fait déjà sentir. En 1917, les déceptions et les souffrances entraînent une grave crise morale. Des mutineries naissent comme sur le chemin des Dames. En France, les populations civiles et militaires partagent une vision commune du conflit : la guerre est due à l’envahisseur allemand. Il s’agit de défendre la patrie, la République et donc la liberté

morts dans chaque camp. Verdun : les Français avec le Maréchal Pétain tiennent bon pendant 10 mois. Sur la Somme : maintien difficile des positions allemandes. C. 1917 : ANNEE CHARNIERE Guerre semble sans issue. Découragement : grèves et mutineries. Allemagne : lancement guerre sous-marine à outrance scandalisant les Etats-Unis. Déclaration guerre à l’Allemagne 6 avril 1917 compensant défection de la Russie (paix de Brest-Litovsk). III. 1918 Rupture des équilibres des forces. Allemagne :

guerre totale. Sur le front, les morts sont nombreux et les soldats survivants vivent sans hygiène ce qui leur vaut leur surnom de « poilus ». Leurs lettres subissent la censure d’Etat. Épuisés par la guerre, ils multiplient les désertions et les mutineries. Les femmes remplacent les hommes à leur travail à l’arrière. L’Etat transforme son économie en économie de guerre. Les populations sont rationnées et leurs bien réquisitionnés. En 1917, la Russie se retire après la révolution bolchevique pendant

milliers tous les mois. En 1917, les soldats sont lassés par les affrontements et la vie des tranchées. Ils ont de plus en plus le sentiment d'être envoyés à la mort pour rien. L'armée française est touchée par ce rasle- bol des « poilus » et des mutineries éclatent. Ici, les paroles de la chanson expriment clairement cet épuisement et cette colère des soldats contre la guerre et ceux qui ne se battent pas. L'auteur ne cherche pas à convaincre ceux qui écoutent la chanson que ses idées sont les

bataille de Verdun en est un exemple, de février à décembre 1916, l’armée allemande veut « saigner à blanc » l’armée française ; DONC ILS ONT CHOISIE Verdun. Au printemps 1917, les armées sont engagées dans une nouvelle offensive. C’est la mutinerie. Les mutineries sont très vite réprimées. 2/ Sur les autres fronts : L’Italie change de camp en 1915, elle fait donc partie de la triple Alliance. Il faut attendre février 1918 pour que l’Italie écrase l’Autriche. Il faut attendre octobre 1917, pour

brutalisation des comportements : Guerre industrielle, moyen de destruction massif… corps pulvérisés, déchiquetés, broyés… Combat d’une violence inouïe tuer ou être tuer…perte d’humanité… 4- Des comportements à la marge : fraternisation et mutineries en 1917 : - les fraternisations : Point de départ : noël 1914…. Ex. : on échange de la nourriture, des boissons, on se rencontre dans le No man’s Land (zone entre les lignes de front), on joue au foot, on enterre ses morts… On chante

milliers tous les mois. En 1917, les soldats sont lassés par les affrontements et la vie des tranchées. Ils ont de plus en plus le sentiment d'être envoyés à la mort pour rien. L'armée française est touchée par ce ras- le-bol des « poilus » et des mutineries éclatent. Ici, les paroles de la chanson expriment clairement cet épuisement et cette colère des soldats Contre la guerre et ceux qui ne se battent pas. L'auteur ne cherche pas à convaincre ceux qui écoutent la chanson que ses idées sont les bonnes