Myrtho

Myrtho - Gérard de Nerval Je pense à toi, Myrtho, divine enchanteresse, Au Pausilippe altier, de mille feux brillant, A ton front inondé des clartés d’Orient, Aux raisins noirs mêlés avec l’or de ta tresse. C’est dans ta coupe aussi que j’avais bu l’ivresse, Et dans l’éclair furtif de ton œil souriant, Quand aux pieds d’Iacchus on me voyait priant, Car la Muse m’a fait l’un des fils de la Grèce. Je sais pourquoi là-bas le volcan s’est rouvert… C’est qu’hier tu l’avais touché d’un

La mégère apprivoisée Acte deuxième : scène 1 Personnages : Tranio, Bianca, Baptista Pertuchio Germio Catherine Padoue.-Appartement dans la maison de Baptista. CATHERINE et BIANCA. BIANCA.-Chère soeur, ne me faites pas l'injure, ne vous la faites pas à vous-même, de me réduire à l'état de servante et d'esclave ; cela révolte mon coeur. Mais pour ces vains ornements, ces bagatelles de parure, déliez-moi les mains, et vous me verrez m'en dépouiller moi-même : oui, de tout mon ajustement, jusqu'à

Chimères, (1854) Lecture analytique 3 : «Myrtho» * Présentation du poème ⇰ «Myrtho», deuxième sonnet des Chimères, est dédié aux personnages mythiques de Myrtho ⇰ «Myrtho» est un sonnet lumineux, rare et insolite chez NERVAL ⇰ Il présente un idéal féminin, qui aboutit à un idéal poétique PROBLÉMATIQUE Montrer que ce sonnet met en scène un idéal féminin et un idéal poétique ANNONCE DU PLAN I. Myrtho : un idéal féminin II. La quête d’un idéal poétique I. Myrtho : un idéal féminin 1) Le mythe amoureux

Travail d'Analyse de texte Myrtho Gérard de Nerval Je pense à toi, Myrtho, divine enchanteresse, Au Pausilippe altier, de mille feux brillant, A ton front inondé des clartés de l'Orient, Aux raisins noirs mêlés avec l'or de ta tresse. C'est dans ta coupe aussi que j'avais bu l'ivresse, Et dans l'éclair furtif de ton œil souriant, Quand aux pieds d'Iacchus on me voyait priant, Car la Muse m'a fait l'un des fils de la Grèce. Je sais pourquoi, là-bas, le volcan s'est rouvert …

incompréhensible. Tout d’abord, ces poèmes sont « des sonnets composés » : plusieurs histoires s’emmêlent les unes dans les autres. Elles ont donc un caractère ambigu et les idées de ces sonnets sont difficiles à comprendre. En effet, lorsqu’il écrit son poème Myrtho, il enchaîne directement avec le poème Horus : « Le pâle Hortensia s’unit au myrte vert ! HORUS Le dieu Kneph en tremblant ébranlait l’univers : »(l.15-16-17). Nerval change d’idée sans les reliés, ce qui fait qu’on ne les comprend pas puisqu’elles

« Notre-Dame-Des-Pleurs » car elle a eu de nombreux drames durant sa vie. - « À Juana » de Alfred de Musset Ce poème parle de l'amour et des jeux amoureux. Alfred de Musset (1810 ;1857) a écrit ce poème en 1831, cet homme est poète et dramaturge français - « Myrtho », de Gérard de Nerval Dans ce poème l'amour de la femme est mis en avant, il a été écrit en 1854. Gérard de Nerval est né en 1808 et est mort en 1855, c'est un poète et écrivain français. Il est essentiellement connu pour ces poèmes et ses nouvelles

belle Caliste, il n’y faut plus penser Jean de Sponde (1557-1595) Essai de quelques poèmes chrétiens (1588) : - Mais si mon foible corps qui comme l'eau s'escoule Gérard de Nerval (1808-1855) Les Chimères (1853) : - Arthemis - Myrtho Charles-Pierre Baudelaire (1821-1867) Les Fleurs du mal (1857) : - A une passante, - L'ennemi - Je te donne ces vers - La muse malade Paul Marie Verlaine (1844-1896) Poèmes saturniens (1866) : - Femme et chatte  - Apres trois

colline à l’Ouest de Naples. Il offre une vue magnifique sur le Vésuve et la baie de Naples. Ce paysage napolitain est pour Gérard, un lieu privilégié, à cause du bonheur qu’il lui a procuré. Dans Myrtho, le deuxième sonnet des Chimères, Nerval unit le personnage éponyme et le lieu : « Je pense à toi, Myrtho, divine enchanteresse, / Au Pausilippe altier, de mille feux brillant, »… or une des dédicaces du poème était : « à J-y Colonna », autrement dit Jenny Colon. De plus ce prénom féminin évoque le

front est rouge encor du baiser de la reine; J'ai rêvé dans la grotte où nage la sirène... Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron: Modulant tour à tour sur la lyre d'Orphée Les soupirs de la sainte et les cris de la fée. MYRTHO Je pense à toi, Myrtho, divine enchanteresse, Au Pausilippe altier, de mille feux brillant, A ton front inondé des clartés d'Orient, Aux raisins noirs mêlés avec l'or de ta tresse. C'est dans ta coupe aussi que j'avais bu l'ivresse, Et dans l'éclair furtif

front est rouge encor du baiser de la reine ; J’ai rêvé dans la grotte où nage la syrène… Et j’ai deux fois vainqueur traversé l’Achéron : Modulant tour à tour sur la lyre d’Orphée Les soupirs de la sainte et les cris de la fée. 5 MYRTHO Je pense à toi, Myrtho, divine enchanteresse, Au Pausilippe altier, de mille feux brillant, A ton front inondé des clartés d’Orient, Aux raisins noirs mêlés avec l’or de ta tresse. C’est dans ta coupe aussi que j’avais bu l’ivresse, Et dans l’éclair furtif