Mystères douloureux

paru en 1913 seulement quelques mois après cette deuxième et dernière rencontre et soient huit années après l’avoir commencé. Il est dédié à sa sœur Isabelle et est l’histoire à peine transposée de tout ce qu’il a vécu jusqu’alors et du grand et douloureux amour qui a dominé sa vie. Il est mort pour la France le 22 septembre 1914, sur le front de Lorraine, à la fin de sa vingt-huitième année, dix mois après avoir publié son unique roman, Le Grand Meaulnes. Le Grand Meaulnes a manqué de peu le prix

contribue encore à mettre en évidence son allure distinguée et digne d’une reine : on peut ainsi relever l’emploi de l’adjectif « majestueuse » (v. 2). B. Une femme mystérieuse et duelle Pour une part, le charme de cette passante tient sans doute au mystère qui l’entoure. En effet, ni le titre du sonnet ni le poème lui-même ne donnent d’indications précises sur l’identité de cette femme. On remarque d’ailleurs l’utilisation que Baudelaire fait des articles indéfinis : « À une passante », « Une femme

arrive alors l’instant inoubliable, troublant et surprenant, du relèvement suivi des 5 points parfaits de la maîtrise … Oui nous sommes dans le symbole, mais oui, au travers de nous le maître « reparaît aussi radieux que jamais ! ». Au-delà de ce mystère insondable, quelle écrasante responsabilité. Je suis devenu symboliquement Maître Hiram. « je dois chercher ce qui a été perdu, rassembler ce qui est épars et répandre partout la lumière ». Au-delà de la perte immense subie, du deuil, et de la confusion

littérature, la peinture, la sculpture, la musique et la politique. Il se caractérise par une volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer ses états d'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique. Ses valeurs esthétiques et morales, ses idées et thématiques

militant et a donc plus de succès. I - Les constantes des textes romantiques * Le Moi souffrant * Les Sentiments exaltés : la solitude, la mélancolie, la nostalgie… * La Nature * L’Histoire (avec un goût pour le Moyen-Âge) * Le Mystère (goût pour le fantastique) * Le Voyage (l’exotisme, l’ailleurs, l’orient) Procédés * Le Lyrisme : forte présence du « je », lexique des sentiments…. * Les Images (le naufrage, les ruines, les paysages nocturnes…) * Mélange des genres

tirade de Dom Juan. Ensuite nous verrons l’image constructive qu’il dresse de soi. Enfin nous aborderons la vraie image qui est censée ressortir de cette tirade. Dans cette extrait Dom Juan compare la fidélité à la mort ou quelque chose de douloureux en utilisant un champ lexical comme “ s’ensevelir” , “ se piquer “ , "d'être mort”, et “frapper les yeux” pour montrer son dédain contre la constance en elle même . Molière utilise une question rhétorique pour commencer son argumentation et affirmer

littérature, la peinture, la sculpture, la musique et la politique. Il se caractérise par une volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer ses états d'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique. Ses valeurs esthétiques et morales, ses idées et thématiques

il essaya de sourire, et une sorte de lumière  éclaira un bref instant son visage pâle. Il y avait toujours l’amère solitude d’une créature fragile, innocente, humiliée, sans défense; le désir désespéré d’un peu de consolation ; un sentiment pur, douloureux et très beau qu’il était impossible de définir. Pendant un instant – et ce fut la dernière fois – il fut un petit garçon doux, tendre et malheureux, qui ne comprenait pas et demandait au monde environnant un peu de bonté. » « Pauvre petit garçon »

sorte de terreur sacrée devant une divinité aux pouvoirs quelque peu maléfiques. Cette image très subjective s’explique sans doute par la conception de l’amour développée par le poème, un amour idéalisé, et donc hors de portée et nécessairement douloureux. b) Une allégorie de l’inaccessible Idéal (étude des réactions du narrateur) : Dans le climat intérieur dépressif qui est le sien (le « Spleen » baudelairien) le narrateur perçoit la rencontre avec la passante comme un événement

pouvoir rêver et de permettre ainsi le culte du « moi » et l’exaltation du désir de la connaissance de soi. Le Romantisme s'écrit d'abord à la première personne. La poésie lyrique exalte un "je" qui s'exprimerait au nom de tous. C'est souvent un "moi" douloureux atteint par le "Mal du siècle" que met en scène le Romantisme. La nature n'est pas qu’un simple décor pour les romantiques. Le rôle crucial de la nature, elle est décrite non pas pour planter le décor, mais elle devient un moyen caché d'exprimer