Mystères joyeux

quand un homme voit d’autres hommes parfois Qui veulent dans sa soupe aller tremper leurs doigts, Il en montre aussitôt une colère extrême. Georgette. Oui ; mais pourquoi chacun n’en fait-il pas de même, Et que nous en voyons qui paraissent joyeux Lorsque leurs femmes sont avec les biaux Monsieux. Alain. C’est que chacun n’a pas cette amitié goulue Qui n’en veut que pour soi. Georgette. Si je n’ai la berlue, Je le vois qui revient. Alain. Tes yeux sont bons, c’est lui.

Voos Arnaud, 5B Athénée royale de Spa Préface: Mon anthologie ayant pour thématique la mort est composée de 2 poèmes de Baudelaire, de 2 poèmes issus d'autres auteurs de divers mouvements et d'une musique. J'ai choisis ce thème qui est fort peu joyeux car la mort est quelque chose de mystérieux, elle fait peur ... Mais qu'est ce qui fait peur ? L'homme a toujours voulu y apporter une réponse. Dans beaucoup de croyances, une réponse était donnée. Paradis , réincarnation, montée au ciel , nouvelle

quartier. Ces gens doivent tout savoir de la vie de chacun. Trang avait rencontré son futur mari lors d’une de ses innombrables missions à Saigon. Elle venait de divorcer d’un premier époux paresseux et buveur de bière. Toan était un homme calme, joyeux et tendre. Il y avait cependant en lui une sorte de tristesse ou de fatalisme. Peut-être était-ce là son charme ? Il lui raconta son passé, rien de glorieux. Professeur d’anglais à peine diplômé, promu officier de liaison dans l’armée sudiste puisqu’il

voulut changer le titre de son poème, ce n’est pas par hasard. Car en effet, Verlaine a supprimé une deuxième allusion explicite à Watteau (le vers 6 aurait été « Au calme claire de lune de Watteau »). Si l’auteur est si soucieux d’entretenir le mystère, c’est parce que Verlaine est l’une des têtes de file du mouvement symboliste qui prône l’établissement de l’analogie entre l'Idée abstraite et l'image chargée de l'exprimer. * Donc, en masquant le véritable titre de son poème, Verlaine le place

figuraient en 1857 dans « Spleen et Idéal » : « Le Soleil », « Le Jeu », « Brumes et pluies », « Le Crépuscule du matin », « La Servante au grand cœur dont vous étiez jalouse », « Je n’ai pas oublié, voisine de la ville », « Le Revenant », « Le Mort joyeux »)= partie ajoutée, exemplaire de la modernité du poète, qui ne fait pas de tableau de Paris, ne décrit pas des paysages urbains ni ne raconte des scènes de la vie urbaine, mais rapporte les expériences discordantes qu’il y fait et qui compromettent

à votre avis, ce prélude et coup d’essai ? C’est que vous, mes bons disciples, et quelques autres fous oisifs, en lisant les joyeux titres de quelques livres de notre invention, comme Gargantua, Pantagruel, Fesse pinte, La Dignité des braguettes, Des pois au lard avec commentaire, etc., vous pensez trop facilement qu’on n’y traite que de moqueries, folâtreries et joyeux mensonges, puisque l’enseigne extérieure (c’est le titre) est sans chercher plus loin, habituellement reçue comme moquerie et plaisanterie

à votre avis, ce prélude et coup d’essai ? C’est que vous, mes bons disciples, et quelques autres fous oisifs, en lisant les joyeux titres de quelques livres de notre invention, comme Gargantua, Pantagruel, Fesse pinte, La Dignité des braguettes, Des pois au lard avec commentaire, etc., vous pensez trop facilement qu’on n’y traite que de moqueries, folâtreries et joyeux mensonges, puisque l’enseigne extérieure (c’est le titre) est sans chercher plus loin, habituellement reçue comme moquerie et plaisanterie

entend filtrer les sources vives, Buissons que les oiseaux pillent, joyeux convives! Quand je suis parmi vous, arbres de ces grands bois, Dans tout ce qui m'entoure et me cache à la fois, Dans votre solitude où je rentre en moi-même, Je sens quelqu'un de grand qui m'écoute et qui m'aime! Aussi, taillis sacrés où Dieu même apparaît, Arbres religieux, chênes, mousses, forêt, Forêt! C’est dans votre ombre et dans votre mystère, C'est sous votre branchage auguste et solitaire, Que je veux

toutes les familles font la récolte générale le même jour. Les hommes sont responsables de la moisson proprement dite; les femmes, de leur côté, sont responsables de nourrir les travailleurs et les enfants. La moisson est présentée comme un événement joyeux auquel la communauté participe avec allégresse, chantant et travaillant au rythme du tam-tam. Quant au narrateur, il participe à la moisson en aidant son jeune oncle. Son travail consiste à prendre les bottes d'épis récoltées par son oncle, les débarrasser

tristesse, de désespoir → rôle dramatique et psychologique *par moment : plus éclairé (ex : avec Anne au début ou avec Jean Azévédo) => personnage plus joyeux, moins dépressive →rôle psychologique 2. Le son : a) la parole : *dialogue repris quasi mot à mot du roman de Mauriac. *très important dans la compréhension de l’histoire. *nombreux monologues intérieurs