Mythe Du Bon Sauvage Conclusion

minimum et rejette le confort matériel et le luxe des européens jugés comme inutile. * C’est une utopie régressive : le bonheur est un retour à la vie naturelle. * Diderot offre une vision idyllique des peuples primitifs et prône le mythe du « bon sauvage » (Montaigne, Essais 1580). II- La stratégie argumentative * Elle consiste à gagner l’adhésion d’autrui. * Un homme emporté par la colère, la révolte, l’indignation, a recours à la rhétorique. * Il va exploiter toutes les

▪ « Macaniques victoires ! » ; indignation marquée par le point d’exclamation et d’une phrase nominale. ▪ Chiasme II. Un hômage aux civilisations détruites. a. Une civilisation enfant ➢ Origine (mythe du Bon Sauvage développé par Rousseau au 17ème siècle) ▪ Naïveté et possibilité de grandir ; « un monde enfant » ▪ Image reprise dans le 3ème paragraphe : « ignorance et inexpérience » b. Les qualités indiennes naturelles

rattachée à un ensemble d’archipels qu’on appelle Polynésie française. Le Supplément au Voyage de Bougainville participe pleinement d’une révolution du regard sociologique: le naïf indigène, le barbare prétendu devient le juge de l’Européen. Le sauvage comprend mieux la civilisation que Bougainville lui-même. Ainsi, l’indigène devient l’observateur, voire l’ethnographe de ceux qui voulaient l’observer. Introduction.  Commencez par la présentation de l'auteur et du contexte historique (à faire avec

Thème 3. Science, mythe et philosophie1  Présentation PPT (trente diapositives) http://www.unites.uqam.ca/pcpes/ppt/hiv05/mythologiegrecque.ppt     Nous vivons dans une culture2 qui entend avoir dépassé le stade du mythe, nous pensons pouvoir ignorer la représentation mythique parce que la représentation objective de la science moderne nous en a débarrassé. Claude Lévi-Strauss3 écrit dans ce sens : pendant des millénaires, le mythe a été un certain mode de construction intellectuelle... Mais

un éloge ; une sorte de mythe d'or, mythe du monde sauvage dont l'Homme en société s'est profondémént éloigné. L'argumentation de Rousseau se présente comme une démonstration puisqu'il part d'une affrimation qu'il considère comme vrai : la société dont l'avenement est marqué par la naissance de la propriété et est à l'origine de violence et d'inégalité. Rousseau développe donc un raisonnement déductif, c'est-à-dire qu'il part d'un fait général pour aboutir à une conclusion particulière.Il développe

imposteur; vous êtes perdus, si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne. »). • Conclusion : « inutiles lumières ». Mais ce n’est pas le point de vue de Diderot, plutôt l’occasion de se livrer au genre de l’utopie et de développer le mythe du « Bon sauvage », en vogue au XVIIIe. (idée que l’homme primitif, vivant au contact de la nature, est foncièrement bon)(Rousseau notamment). III) L’éloge de la vie naturelle a) Valorisation des Tahitiens : • Nombreux

dans l’histoire des conséquences négatives, ne serait-ce que sur les populations elles-mêmes – acculturation (processus ou phénomène par lequel un groupe humain assimile tout ou partie des valeurs sociales ou culturelles d'un autre groupe humain), mythe du cargo, etc…-, ou encore sur la positionnement de l’homme européen vis-à-vis d’autres civilisations – idées de barbarie, de racisme, etc…-. Mais, il ne faut pas cependant se dépouiller totalement de sa propre identité, car, face à la diversité des

tranquillité de l’âme résultant de la modération et de l’harmonie de l’existence. Rousseau introduit la figure du bon Sauvage afin de montrer que le bonheur en accord avec la nature est incompatible avec une vie en société. Il va approfondir dans son discours sa réflexion sur l’état de nature et l’état de culture. Problématique : Comment Rousseau en opposant rigoureusement le mythe du Bon Sauvage à la réalité de l’homme social dénonce-t-il le malheur dans lequel l’homme civilisé s’est enfermé ? Axes :

important, comment l’autre est-il perçu ? Développement : I- Le portrait élogieux des cannibales 1- Des qualités de civilité : * Il ya le savoir vivre, la politesse, connaître les règles de la vie en société. => Paradoxe entre « sauvage » ( =Qui vient de la forêt) et « civilité » * Au début du texte, nous retrouvons une énumération (lignes 7 et 8) ; Ligne 6, ils font preuve de Patience : «  Le roi parla à eux longtemps .» Ligne 7, « Après cela » Lignes 8 e t9, « Demanda leur

La nature est-elle un mythe ? ● Définitions : – la nature : 1/ le monde physique et vivant : l'ensemble des phénomènes sensibles et des êtres indépendants de l'intervention de l'homme ; la nature forme ainsi un système caractérisé par une même puissance productrice de vie et de phénomènes régis par des lois universelles et constantes, ayant donc une tendance à l'auto-organisation. 2/ l'essence d'un être , son principe originel et autonome ( = ce qui est premier et inné