Mythe Du Bon Sauvage Conclusion

Rares sont les auteurs qui, dans la première moitié du XVIème siècle, prennent conscience des découvertes géographiques et qui parviennent à en tirer des conclusions morales et philosophiques. Le plus souvent, ces explorations n'entraînent pas un éveil de la réflexion mais sont l'occasion de replonger dans le merveilleux chrétien et de réactiver de vieux discours mythiques. Montaigne s'élève avec vigueur contre la colonisation qui se met en place de l'autre côté de l'Océan. On voit la force de sa

Jean-Jacques Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes, pp 87-88 Au moment où aborde question de l'amour, JJR vient de montrer qu'H ds état de N n'est ni bon ni mauvais mais animé par l'amour propre, c .à. d. instinct de sa propre conservation lui mm modéré par un autre sentiment qui fait office de loi ds état de N : la pitié. Or, pste (qq lignes av passage) le sentiment amoureux comme « une passion terrible », « une rage effrenée et brutale » >>

attitude humaniste. * Comment Montaigne décrit-il les sauvages ? * PLAN I- Une description ethnologique 1- L’auteur adopte une démarche didactique Il utilise la comparaison pour faciliter la comprehension : Description des armes comparées aux nôtres L’auteur cherche à rendre la scène imaginable pour le lecteur, et pour cela il utilise beaucoup de repères spatiaux *relevés* 2- La description des mœurs des sauvages est très précise. -> Précisions géographiques :

3) L’injustice : Création de besoins « factices », notion de possession étrangère aux tahitiens. 4) Conclusion : Apparition d’un monde décivilisé qui repose sur la loi du plus fort par le tahitien. II/Eloge de la vie naturelle : pour le vieillard se traduit par :

n’y a rien de barbare et de sauvage en cette nation, à ce qu’on m’en a rapporté ; sinon que chacun appelle barbarie ce qui n’est pas de son usage ; comme de vrai, il semble que nous n’avons d’autre mire1 de la vérité et de la raison que l’exemple et l’idée des opinions et usances2 du pays où nous sommes. Là est toujours la parfaite religion, la parfaite police3, parfait et accompli usage de toutes choses. Ils sont sauvages de même que nous appelons sauvages les fruits que nature, de soi4

ces sociétés primitives dans lequel les hommes ne sont pas dépendants les uns des autres/indépendants les uns des autres → ils sont liés à un état de nature. Proposition principale : « ils vécurent libre, bon, saint et heureux »  « ils » : les hommes  « vécurent » : verbe d’état  « libre, bon, saint et heureux » : adjectifs attribut du sujet « ils » → caractérise les hommes du paléolithique. L’ordre des adjectifs n’est pas anodins, il est choisi = une gradation. On termine sur l’adjectif qui

Attaque contre les préjugés et la supériorité des européens -attaque contre préjugés européens *juge les sauvages *accepte la différence -européens qui agissait pareil mais d'une autre façon dans la barbarie -indiens : tribus avec leur rites et qualité Conclusion : Pour conclure, André thevet a travers cet extrait, porte un jugement sur la façon dont la mort est perçue mais pas sur les sauvages qui pratiquent le cannibalisme. L'auteur dénonce indirectement les européens. Ces européens se croient

hominidés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »).Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la nature l'aurait pourvu du langage. * rousseau : Deux grandes questions ont préoccupé Rousseau: la liberté, qui est selon lui la véritable destination de l'homme, et l'alliance de la nature et de la société. Rousseau,

intitulé Supplément au voyage de Bougainville qui est un dialogue, Diderot réagit au récit du navigateur français Bougainville. Il prend donc partie contre la colonisation en y dénonçant les dangers. Il donne donc la parole à un vieux Tahitien. Conclusion: Par la voix d'un vieillard, Diderot dénonce une société colonisatrice face à un monde libre, simple. Le vieillard prend garde des siens et les protège du danger que serait Bougainville. Il leur fait ouvrir les yeux dans le discours qui s'adresse

romanesque (roman d’aventures) et ce qui relève du monde sauvage. ( Pour la civilisation, on trouve une situation et des personnages romanesques avec un vocabulaire précieux de l’amour: « les filles qui couraient légèrement, deux demoiselles de condition, embrasser tendrement, fondre en larmes, les cris les plus douloureux, bonté d’âme, les amants ». ( A ces références au roman d’amour, s’opposent le monde sauvage et les détails triviaux et libertins : « deux filles