Mythologie celtique

sous l'influence des traditions étrusques que ces deux dernières divinités ont été remplacées par Junon et Minerve. Cette conception de triades indoeuropéenne est importante , j’y reviendrai. Partons, maintenant faire un petit tour dans le monde celtique. L’Irlande, n’ayant pas connu l’occupation romaine et la culture gréco-latine a conservé une littérature, d’abord orale, très riche, bien conservée par des copies réalisées dans les monastères, et pas trop déformée par l’influence chrétienne (c’est

fr/pedagogi/Lettres/nouveau.htm Chrétien de Troyes, Perceval ou le roman du Graal. Un monde de l’imaginaire Les romans de Chrétien de Troyes doivent beaucoup aux légendes celtiques et à des poètes anglo-normands, Geoffroy de Monmouth et Robert Wace, qui ont pratiquement "inventé" le mythe du roi Arthur et de La Table Ronde. 1- L'influence de la mythologie celte dans les romans de Chrétien de Troyes La colonisation romaine n'avait pas empêché la maintenance d'un fonds de culture celte très important, à la

March Malaen est cité, dans le « folklore celtique », comme un cheval maléfique associé au Diable et à la sorcellerie, dont l'origine mythique ou historique demeure obscure. Au xviiie siècle, sa tradition était dite répandue chez les Gallois, à travers une expression populaire et la déesse gauloise Andarta. À partir de 1807, et de la publication des Triades galloises de Iolo Morganwg, le March Malaen devient selon lui une créature de la mythologie celtique galloise, et l'un des trois fléaux de « l'île

religieux polythéiste, sous l’autorité d'une classe sacerdotale omnipotente (les druides). Cette religion s’est progressivement dissoute dans la culture de l’Empire romain à partir du Ier siècle av. J.-C., à l’exception de l’Irlande où la civilisation celtique à perduré jusqu’à l’évangélisation de l’île au Ve siècle. Les druides ayant systématiquement privilégié l’oralité, les Celtes ne nous ont pas laissé de témoignages directs sur leurs croyances, leurs dieux et leurs rites. Les trois sources d'informations

sídheGroupe Créature de la mythologie et du folklore Sous-groupe Aos sidhe / SidheCaractéristiques Lien avec la mort et l'Autre monde Proches Bean nighe,  HYPERLINK "http://fr.wikipedia.org/wiki/Sluagh" \o "Sluagh" Sluagh Origines Origine Mythologie celtique des Gaëls ( HYPERLINK "http://fr.wikipedia.org/wiki/Bansidh" \o "Bansidh" Bansidh) Région Irlande, Écosse modifierUne banshee1, banshie ou bean sí est une créature féminine surnaturelle de la mythologie celtique irlandaise, considérée comme

partage l'île d'Irlande avec l'Irlande du Nord (les six comtés) restée partie constitutive du Royaume-Uni. La république d'Irlande revendique son identité celtique si bien que, sur le plan culturel, elle représente habituellement l'île d'Irlande considérée comme l'une des six « nations celtiques ». Le symbole officiel du pays est la harpe celtique (qui figure sur les pièces d'euro), mais le trèfle à trois feuilles est souvent utilisé comme autre symbole, notamment par l'équipe irlandaise de rugby

fins. De nombreux éléments et thèmes sont empruntés à lamythologie celtique, tout comme certains personnages Amaethon, le dieu-laboureur, Mabon ap Modron, le « fils divin » de Modron, Gwynn ap Nudd souverain de l’Annwvyn à la fonction psychopompe. La malédiction maternelle dont souffre le héros est similaire à celle de Llew Llaw Gyffes par Arianrhod et son arrivée à la cour du roi Arthur rappelle l’épisode de la mythologie celtique irlandaise où Lug se présente à la cour de Nuada, dans la Cath Maighe

l’Héroic Fantasy posera les bases du genre empruntant à l’identité celtique son imaginaire afin de définir les contours du « merveilleux »: où des magiciens côtoient des démons, les rites se faisant à l’aube dans les landes brumeuses et où sorcellerie et médecine ne font qu’un. Depuis, de nombreuses autres œuvres littéraires et cinématographiques ont repris la recette, en y installant des mondes entiers basés sur cette mythologie. Du Cycle de Thongor, aux Chevaliers de l’Emeraude en passant par le

divinités mineures de la nature et de la fertilité. En fait, il s’agit d’êtres de la mythologie nordique (Danemark, Suède, Norvège, Islande, Finlande et les îles Féroé) et leur souvenir dure toujours dans les plus anciennes traditions scandinaves. Les elfes ont été repris un peu plus tard dans la littérature comme élément merveilleux des contes de fées. On les retrouve souvent dans la mythologie celtique ; d’ailleurs c’est pour cela que quelques textes irlandais et écossais les reprennent

Loreley » ainsi que dans « Mélusine » le paratexte nous indique qui elles étaient et ce qu'elles ont fait : « Nymphe ou génie féminin des eaux dans la mythologie germanique », « figure de légende, attachée à un rocher qui domine le Rhin et qui renvoie une écho aux appels venus des bateaux qui passent à sa hauteur », « fée de la mythologie celtique qui pouvait se métamorphoser [...] comme l'aïeule et la protectrice de la maison de Lusignan. » Ces femmes ont donc peut-être vraiment existé ou ont donc