Médée Corneille Sénèque

Sénèque Sophocle Les différentes formes de théâtre La tragédie antique Jean Racine Le théâtre de la comédie Française Pierre Corneille L’origine de la tragédie grecque • La tragédie grecque nait en -534, lors des premières célébrations consacrées à Dionysos (les Dionysies) organisées sous forme de concours. La tragédie évoque la destiné de l’homme face aux dieux. C’est un siècle plus tard à Athènes qu’elle devient le genre littéraire majeur. Le mot tragédie vient du grec qui

place vacante ! Est-ce donc là ce visage fameux par l’éclat céleste dont il étincelait et qui fléchit les yeux ennemis ! Voilà à quoi s’est réduite cette beauté ! » SÉNÈQUE, « Phèdre », Tragédies, éd. Léon Herrmann, Paris, Les Belles Lettres, « C. U. F. », 2008, v. 12651270, p. 226. Voir aussi : Florence DUPONT, Les Monstres de Sénèque. Pour une dramaturgie de la tragédie romaine, Paris, Belin, « L’Antiquité au présent », 1995, p. 17. 6PLUTARQUE, Les Vies des hommes illustres..., trad. Jacques

philosophes.1er concours de tragédie en -455.Peu de succès de son vivant, beaucoup plus après sa mort, grande influence, notamment sur Sénèque et Racine.Rôle des dieux minime dans ses pièces : souvent critiqué car considéré comme un athée.A la fin de sa vie, part en macédoine, peut-être en exil, où il mourra. Il aurait écrit en 92 et 95 pièces. - Médée . (résumé page 28). Aristophane (450-385 ACN) : comédie grecque.Auteur de plus de 40 comédies, il nous en reste

Eschyle, elle entend et commente la mort de Clytemnestre et livre Égisthe à son frère chez Sophocle, et participe au meurtre de sa mère chez Euripide. Euripide est habitué aux innovations spectaculaires : on lui attribue l'invention de l'infanticide de Médée[59]. Il utilise également dans son Hélène une version du mythe selon laquelle la femme de Ménélas n'aurait pas suivi Pâris, mais aurait été enlevée par Hermès sur l'ordre de Zeus, et confiée au roi d'Égypte tandis qu'un fantôme prenait sa place à Troie[60]

diffusion plus large des œuvres et un développement de la lecture. Le XVIIe siècle est un siècle majeur pour la langue et la littérature française en particulier pour les œuvres du théâtre classique avec les comédies de Molière et les tragédies de Corneille et Racine. Mais si le classicisme s’impose dans la seconde moitié du siècle sous le règne de Louis XIV, les chefs-d’œuvre qu’il a produits ne doivent pas éclipser d’autres genres comme les textes des moralistes et des fabulistes (Jean de La Fontaine)

Sartre dans Qu’est -ce que la littérature ? Une toute autre manière de faire : examiner après coup ses propres ouvrages C’est la démarche adoptée par Corneille, un auteur de tragédies (Médée en 1635) qui sont des transcriptions du genre antique. La tragédie devient alors le Grand Genre Théâtral, celui sur lequel on va théoriser. Cependant Corneille a du mal à se maintenir dans le carcan des règles classiques, il va tout d’abord les dépasser pour y rentrer en 1640, après la Querelle du Cid, et éprouve

véritable dramaturge français, Racine. Dans la littérature, l’histoire de Phèdre et d’Hippolyte est utilisée par plusieurs écrivains. Dans la période hellénique, Euripide a écrit une pièce de théâtre sur ces deux personnages. A l’époque romaine, Sénèque en a écrit une aussi et après Racine, Eugene O’Neil et Robinson Jeffers ont fait le même travail au XXe siècle. Ce mythe, à part sa forme de tragédie, se présente dans les folklores ou les contes de fée. Cependant parmi toutes ces versions de la réécriture

saper le mariage religieux). Puis au mariage légal et civil. « L’Etat, c’est le mariage forcé, et nous levons contre lui la bannière de l’union libre ». Derrière le mariage légal, il y a « indissolublement lié, la question du droit d’héritage ». Sénèque dans Lettres à Lucilius : « la preuve du pire c’est la foule ». II/ FOURIER Charles Fourier explique dans un texte inachevé Le nouveau monde amoureux, Des Harmonies Polygames en Amour, que la société pourrait spontanément s’organiser si on laissait

Cours 6 : Le nœud tragique, ou les passions sous tension. Etude suivie de l'acte III. I. Un acte sous le signe de la manipulation politique et amoureuse (scène 1) 1. Espoir et désespoir d'une reine · Phèdre prend conscience de la non-réciprocité de sa passion pour Hippolyte. Au début de la scène 1, elle interprète les réactions d'Hippolyte : « Ciel ! comme il m'écoutait ! Par combien de détours / L'insensible a longtemps éludé mes discours

« Andromaque » de Jean Racine…………………………………………………………………..7 2. « Britannicus » de Jean Racine……………………………………………………………………17 II. Tragédies de Corneille…………………………………………………………………………………27 A. L’auteur……………………………………………………………………………………………………….28 B. Exemples………………………………………………………………………………………………………29 1. «  Le Cid » de Pierre Corneille…………………………………………………………………….30 2. « Cinna » de Pierre Corneille……………………………………………………………………….32 III. Comédies du XVIIe siècle……………………………………………………………………………34 A. L’auteur………………………………………………………………………………………………………