Médée De Corneille Acte Iii

sa passion, à être soumise à ses sentiments. Médée: Dans la mythologie grecque, Médée est la fille d' Eétés, roi de Colchiche. Elle est magicienne, comme sa tante Circé.rès tôt, Médée, comme sa tante Circé, devint une magicienne habile et une prêtresse d'Hécate. Quand les Argonautes débarquèrent en Colchide, pour conquérir la Toison d'or, ils se heurtèrent à l'hostilité du roi Aeétès, gardien du trésor. Cependant ils reçurent l'appui de Médée, la fille du roi, qui s'était éprise de Jason. Experte

José Corti       L'étude de Charles Mauron est expérimentale : il faut y lire un dialogue entre une pensée qui interroge et les faits qui répondent.      À l'appui des poèmes de Mallarmé, Baudelaire, Nerval, Valéry et Mistral, et des pièces de Corneille, Molière et Racine, le psychocritique recherche dans les textes, isole et étudie l'expression de la personnalité inconsciente de leur auteur. La recherche se situe ainsi par rapport à trois courants de la critique contemporaine : classique, médicale

des études qui le destinent à devenir clerc. Mais en 1455, il tue un prêtre au cours d’une rixe et sa vie devient une succession d’aventures et de méfaits. Il semble qu’il ait commencé la rédaction du Testament en 1461. L’œuvre reprend l’idée d’un acte juridique, sur lequel viennent se greffer des poèmes digressifs sur la fuite du temps et la mort, ainsi que des petites pièces très variées dans leur ton. Sur le modèle de la « vanité », litanie dans laquelle les poètes du Moyen Âge ont coutume d’évoquer

dans sa seconde moitié, coïncidant avec le règne de Louis XIV, naître le classicisme, cet idéal d’équilibre et de clarté qui devait concerner tous les domaines de l’art et de la pensée. I. Histoire et pouvoir politique II. Les courants de pensée III. La littérature IV. Les arts V. Les découvertes scientifiques du siècle I. Histoire et pouvoir politique A : Louis XIII Louis naît à Fontainebleau le 27 septembre 1601. Il n'a que 9 ans à la mort de son père Henri IV, le 14 mai

spécifiquement dramatique et dictée par l’espace clos de la scène. Corneille avait conscience de cette contrainte scénique : Nous sommes gênés au théâtre par le lieu, par le temps, et par les incommodités de la représentation qui nous empêchent d’exposer à la vue beaucoup de personnages à la fois […] Le roman n’a aucune de ces contraintes : il donne aux actions qu’il décrit tout le loisir qu’il leur faut pour arriver…(Corneille, Deuxième discours) 1 Contraintes spatio-temporelles

6 2. Le contexte religieux : Racine et Port-Royal 11 3. Le contexte politique 13 1. La Monarchie absolue 13 2. Racine, historiographe du Roi 14 II – LA VIE DES THÉÂTRES : HISTOIRE D’UNE CONCURRENCE 16 III – RACINE ET LE JEU DES RÈGLES « CLASSIQUES » 19 1. L’écriture tragique au XVIIe siècle 19 2. Motifs galants 24 3. L’imitation créatrice : « l’écart » racinien 26 4. Complément : typologie racinienne 27

les critères aristotéliciens de la tragédie (le héros doit commettre une faute), suivant en cela Corneille, qui dans son Discours de la tragédie avait estimé que Rodrigue et Chimène "ne sont malheureux qu'autant qu'ils sont passionnés l'un pour l'autre. Ils tombent dans l'infélicité par cette faiblesse humaine dont nous sommes capables comme eux" (Corneille, Oeuvres complètes, G. Couton éd., vol. III, Pléiade, 1987, p. 146). 9. Virgile, Énéide, livre VII, v. 761-769. 10. Voir en particulier les

nature+ magnificence du spectacle+ «bienséances» I. Aristote revisité 1. Aperçu sur la Poétique - théorie théâtrale du XVIIe siècle vise à analyser et comprendre la Poétique d'Aristote, est d'aider les dramaturges à la mettre en pratique - seul Corneille dans ses Discours ce souci d'élargir les perspectives aristotéliciennes - dans Poétique, question de la comédie jamais examinée - notion d'action : la fin [la tragédie] « représente non des hommes mais des actions » - la représentation ne se

registre [P. Dac, Phèdre] 2.4. Bilan : arborescence ou constellation mythique 3/ De la réécriture à la réinterprétation 3.1. La christianisation des mythes [Hercule] 3.2. La romantisation des mythes 3.3. L’actualisation des mythes au XXe siècle [Médée] Chapitre III/ L’exemple du mythe de Faust, de la Renaissance jusqu’à Goethe 1/ Faust avant la tragédie de Marlowe 1.1. De l’homme à la légende 1.2. L’Histoire populaire de 1587 Le prologue – la construction du texte – le pacte – Explication de texte 2/ Le

grand plaisir du monde, tellement que souvent il se sentait tout ravi en leurs beautés et bonnes grâces et s'endormait à l'harmonie, tant s'en faut qu'il les voulût assaillir ou de leurs études distraire. » — François Rabelais, Pantagruel III, xxxj. Épuisé par la règle franciscaine et voyant ses études en grec entravées (cette langue est considérée comme hérétique par la Sorbonne et les Franciscains), il obtient un indult du pape Clément VII qui l’autorise à passer dans l’ordre bénédictin