Mémoire Conteneurisation

révolutions pour s’adapter au fil du temps à l’évolution des échanges. La conteneurisation est sans doute l’une des révolutions les plus marquantes du transport maritime. Mais qu’est ce en fait la conteneurisation et comment elle est née ? La conteneurisation est l’utilisation de conteneurs pour le transport maritime de marchandises. Apparu dans les années 20 aux Etats-Unis dans les transports ferroviaires, la conteneurisation a gagné la France peu de temps après car les premières utilisations en

UNIVERSITE PAUL CEZANNE – AIX-MARSEILLE FACULTE DE DROIT ET DE SCIENCE POLITIQUE CENTRE DE DROIT MARITIME ET DES TRANSPORTS LA CONTENEURISATION DANS LES ECHANGES MARITIMES INTERNATIONAUX Mémoire pour le Master II DROIT MARITIME ET DES TRANSPORTS Présenté par Vola Marielle RAJAONARISON Dirigé par M. Christian SCAPEL Aix-en-Provence 2005 TABLE DES ABREVIATIONS AIS Automatic Identification System CFS Container Freight Station CSI Container Security

marchandises pour les transporter à travers le monde. ORIGINE DU CONTAINER Bien que crée au XIX siècle le conteneur, ou container n’est aux normes mondiales que depuis la deuxième guerre mondiale. Nous pouvons considérer comme point de départ de la conteneurisation, l’invention d’un entrepreneur nord américain (Malcom Mclean) qui possédait une entreprise de transport terrestre sur la côte Est des Etats-Unis. Il commença à transporter de grandes boîtes sur des plates-formes ferroviaires et à embarquer

des ports selon les activités d- les types des ports selon la génération II- Evolution technique des conteneurs : 1- Définition d’un conteneur 2- les premiers pas vers la conteneurisation III - les Aspects techniques et pratique de la conteneurisation : 1-la normalisation des conteneurs 2-La signification et abréviation clés liées aux Conteneurs 3-L’unité de mesure des conteneurs.

(caisses, fûts, vrac…)  Navires tout cargo.  Navires spécialisés : céréaliers  Navires spécialisés : pétroliers  Navires spécialisés : méthaniers  Navires spécialisés : pinardiers  Navires spécialisés : vraquiers La conteneurisation : 2 hypothèses : Exportation importante : l’exportateur va expédier un conteneur complet. FCL (Full Container Load) La marchandise est empotée chez l’exportateur. Groupage plusieurs expéditions sont regroupées dans un conteneur

sur soi pour rappeler ses souvenirs peut également recréer le passé dans le sens où, à force de se rappeler, il est parfois des choses oubliées peuvent revenir. Des souvenirs qui s’étaient enfuis et qui, de fils en aiguille et à force d’efforts de mémoire, se retrouvent d’eux-mêmes. Ce phénomène se voit dans l’œuvre de Georges Perec, W ou le souvenir d’enfance, qui dit au début « Je n’ai pas de souvenirs d’enfance » mais qui, au fur et à mesure, renoue avec cette enfance qui ne résumait selon lui qu’à

[1- Certes, l'autobiographie peut sembler fausse] [A. Les défaillances de la mémoire] L'autobiographe est confronté à plusieurs obstacles qui l'amènent inévitablement à déformer la réalité, voire à inventer des épisodes de sa vie, ce qui lui donnera ensuite l'impression que son œuvre est fausse. Le premier obstacle entre la réalité vécue par l'auteur et l'écriture autobiographique est la mémoire. La mémoire est en effet souvent déficiente. Soit que l'auteur commence à écrire à la fin de sa

Un Mémoire est un récit que fait une personne des événements auxquels elle a participé ou dont elle a été témoin. Ce genre littéraire existe en France depuis la fin du XVème siècle. Il s’est imposé peu à peu pour atteindre son apogée avec les Mémoires D’outre Tombe de Chateaubriand. Il est tombé ensuite en désuétude pour renaître sous mille formes différentes. C’est seulement en 1954 que De Gaulle ressuscite le genre avec Mémoires de guerre. Le récit occupe une place importante dans ses mémoires

peut avouer ses erreurs et chercher à les justifier (saint Augustin, J.J. Rousseau). Journal intime : l'auteur confie au jour le jour à ses carnets anecdotes et réflexions (A. Gide, J. Green). Mémoires : l'auteur est conscient d'avoir joué dans l'Histoire un rôle digne d'être rapporté (Chateaubriand : Mémoires d'outre-tombe) et décide de fondre son "misérable tas de secrets" dans ce par quoi il rejoint les mythes universels (A. Malraux : Antimémoires). Il choisit au contraire de dénoncer sa légende

établit ainsi une distinction avec les Mémoires qui mettent l'accent sur le contexte historique de la vie de l'auteur, en donnant souvent en exemple les Mémoires de Retz ou ceux de Saint-Simon. Furetière, dès le XVIIe siècle définissait les Mémoires comme " des livres d’historiens, écrits par ceux qui ont eu part aux affaires ou qui en ont été témoins oculaires, ou qui contiennent leur vie ou leurs principales actions. » (Dictionnaire universel, 1684); dans les Mémoires les écrivains racontent leur vie